Il s’en remet à la divinité. À son patron. À la machine. Aux médias et politiques. À tous ceux qui a priori le dépassent, en pouvoir et en connaissance. À tout ce qui le domine socialement, techniquement, intellectuellement, spirituellement.
L’homme s’abandonne. Par manque de discipline personnelle il s’en remet, puis s’abandonne, aux systèmes de discipline collective. Jusqu’au totalitarisme. Jusqu’à tolérer et défendre l’idée d’une discipline criminelle.
Devoir respecter l’autorité : c’est peut-être là (…)
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