Clairement, nous avons dépassé depuis longtemps le stade de décadence aux USA, ce pauvre pays a définitivement sombré dans la folie. Les décisions qu’ils sont en train de prendre n’ont absolument aucun sens dans tous les domaines. Ça ne veut rien dire au niveau médical et biologique, ça n’a absolument aucun sens au niveau sociétal, au niveau économique c’est une gigantesque mascarade étant donné que les soins essentiels ne sont pas prodigués aux USA… Bref, c’est bientôt la fin, on sent l’odeur du brûlé.
Un tribunal a statué que l’Ontario doit payer pour une vaginoplastie épargnant le pénis pour une personne qui ne s’identifie ni comme une femme ni comme un homme.
L’Ontario a reçu l’ordre de payer une intervention chirurgicale pour un résident qui cherche à faire construire un vagin tout en laissant son pénis intact. Refuser la procédure porterait atteinte au droit à la sécurité de la personne protégé par la Charte, a déclaré un tribunal de l’Ontario dans sa décision.
La décision unanime d’un panel de juges de la Cour divisionnaire de l’Ontario’s pourrait élargir l’accès à une nouvelle chirurgie “bottom” pour les personnes qui s’identifient comme non-binaires, ce qui signifie ni entièrement masculin ni entièrement féminin.
Le résident de l’Ontario, identifié dans les documents judiciaires comme K.S., est enfermé dans une bataille juridique avec le Régime d’assurance-maladie de l’Ontario depuis 2022, lorsque le RAMO a refusé une demande de financement pour une vaginoplastie de préservation du pénis effectuée dans une clinique à Austin, au Texas.
La chirurgie, qui n’est disponible nulle part au Canada, consiste à créer un canal vaginal, ou l’ouverture, sans enlever le pénis.
K.S., 33 ans, est né mâle mais s’identifie comme femelle dominante et utilise un nom féminin.
Le RAMO a rejeté sa demande de financement, arguant que la procédure ne figure pas sur sa liste de procédures de cession sexuelle et qu’elle n’est donc pas un service assuré.
K.S. a interjeté appel de la décision d’OHIP’s Ontario’s Health Services Appeal and Review Board, arguant que la forcer à faire enlever son pénis invaliderait son identité et serait semblable à un acte illégal de thérapie de conversion.
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