Tout ceci n’est qu’une vaste escroquerie, une gigantesque supercherie car ce plan est impossible à mettre en place étant donné les rapaces de Big Pharma dont le seul objectif est de vendre, le plus cher possible, leurs produits dangereux, pseudo innovants et totalement inefficaces, au maximum de personnes sauf que le monde entier n’a pas le même budget ! Quelles que soient les causes de cet échec, c’est une excellente nouvelle car rien de positif ne peut venir de l’OMS qui n’est rien d’autre qu’une institution corrompue n’ayant que faire de la santé des gens ; le désastre de la dernière crise sanitaire Covid-19 l’a démontré.
“Nous ne sommes pas là où nous pensions que nous serions”, a admis devant les Etats le coprésident du groupe de négociations, le Néerlandais Roland Driece. “N’oublions pas que nous devrions terminer cela” pour sauver de nombreuses personnes, a-t-il ajouté.
Il a précisé que le mandat de groupe intergouvernemental de négociation allait prendre fin. L’Assemblée mondiale de la santé, qui se réunira dès lundi, devra décider de la suite.
“Vous avez donné votre meilleur”, a estimé de son côté le directeur général de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus, refusant de parler d’un “échec”. “Continuons d’essayer”, a-t-il enjoint, rappelant qu’il fallait éviter que la prochaine pandémie fasse autant de victimes que les millions de personnes qui ont succombé au coronavirus.
Un délai de deux ans pour aboutir “était peut-être trop ambitieux”, avait dit récemment la directrice de Medecines Law & Policy, Ellen’t Hoen. Des dizaines de parties parmi les plus de 30 articles ne font toujours pas consensus.
Divergences sur l’accès aux vaccins
Au final, les divergences opposent pays riches et pays en développement et portent aussi sur la solidarité et le financement. Parmi les questions qui divisent figure notamment celle d’un accès équitable aux futurs vaccins et autres technologies contre les pandémies.
Un dispositif Covax avait été lancé pendant la pandémie pour tenter de compenser ces disparités, mais des retards et des problèmes de distribution avaient été subis. Les ONG estiment que le projet d’accord ne règle pas suffisamment ce problème.
Transfert “volontaire” des technologies
Pour préserver l’innovation, la Suisse et d’autres Etats avec des entreprises pharmaceutiques importantes préféreraient un transfert de technologies et de savoir-faire “volontaires et dans des conditions validées d’un commun accord”.
Berne avait tenté en vain d’influencer les discussions en proposant cette formulation il y a quelques semaines dans un projet de résolution sur la santé mondiale à l’Assemblée générale de l’ONU à New York.
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