Voici encore une fois la démonstration que l’entité sioniste scélérate n’est rien d’autre qu’un groupe de voyous, de bandits et de criminels qui se sont rassemblés sur un petit territoire palestinien pour commettre les pires crimes que l’humanité ait connus. Non seulement ils multiplient les crimes de guerre sur les civils palestiniens en continuant la colonisation, le massacre des civils, le nettoyage ethnique, le blocus et la famine… mais de surcroît lorsque la justice internationale rattrape ces criminels, ils n’hésitent pas à menacer les juges comme le démontre cet article du Guardian britannique.
Ce n’est certainement pas en France que vous pourrez trouver de tels articles écrits par des journalistes chevronnés qui ont enquêté pendant plus d’un an pour démontrer que Tel-Aviv est dirigée par une association de malfaiteurs et de criminels. Ils sont très beaux avec leurs costumes à 5000€ en expliquant à longueur de journée que l’israël est une “grande démocratie” sauf que nous savons ce qui se cache derrière le rideau, pire encore, maintenant tout le monde le sait.
Ce n’est plus qu’une question de temps avant que cette escroquerie ne s’effondre sur elle-même car la mascarade n’a que trop duré.
Pendant neuf ans, l’État hébreu aurait agi dans l’ombre pour tenter de torpiller les enquêtes menées contre lui par la Cour pénale internationale, selon une enquête conjointe du quotidien britannique “The Guardian” et de deux médias israéliens.
Cette même cour dont le procureur a récemment demandé l’émission de mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens et du Hamas pour crimes de guerre.
« Depuis près d’une décennie, Israël surveille de hauts responsables de la Cour pénale internationale […] dans le cadre d’une opération secrète visant à contrecarrer l’enquête de la CPI sur des crimes de guerre présumés », peut-on lire dans une enquête fleuve notamment publiée mercredi 29 mai sur le site de +972 Magazine et intitulée « Surveillance et interférence : la guerre secrète d’Israël contre la CPI dévoilée ».
La publication de cette enquête, réalisée conjointement par le site israélo-palestinien, sa publication mère israélienne Local Call et le journal britannique The Guardian, intervient huit jours après que le procureur de la CPI, Karim Khan, a annoncé avoir requis l’émission de mandats d’arrêt contre trois des leaders du Hamas pour les attaques du 7 octobre, mais aussi contre le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ministre de la Défense, Yoav Gallant, pour crimes de guerre dans la bande de Gaza.
Que révèle cette enquête ? Qu’Israël, écrit The Guardian, « a déployé ses agences de renseignements pour surveiller, pirater, faire pression, diffamer et prétendument menacer les hauts responsables de la CPI dans le but de faire dérailler les enquêtes de la cour ».
Espionnage et menaces
Par exemple, poursuit le journal britannique, les renseignements israéliens ont « intercepté les communications » – appels, messages, courriel, documents – du procureur Karim Khan, dont l’État hébreu connaissait les intentions.
Mais également de sa prédécesseure, Fatou Bensouda, qui avait lancé en 2021 des enquêtes sur de possibles crimes de guerre en Cisjordanie occupée, qui auraient pu valoir des poursuites contre des responsables israéliens.
Cette dernière aurait même été « menacée » par le chef du Mossad de l’époque, Yossi Cohen, qui menait une opération parallèle, et qui lui aurait dit :
« Vous ne voulez pas vous mêler de choses qui pourraient compromettre votre sécurité ou celle de votre famille. »Étaient également surveillés, notamment par le Shin Bet, les groupes palestiniens de défense des droits humains qui « fournissaient fréquemment au bureau du procureur [de la CPI] des éléments sur des attaques israéliennes sur les Palestiniens », explique aussi +972.
PHOTO RONEN ZVULUN/REUTERS
Courrier international