Une truie obèse qui chie toute sa haine sur Jésus-Christ… Comme disait l’illustre intellectuel juif Éric Zemmour, « Jésus-Christ ce n’est pas la liberté, c’est la mort ». Cette cérémonie d’ouverture de la dernière olympiade parisienne fut vraiment merveilleuse… Disons-le, chantons-le, crions-le pour l’éternité. La fête du millénaire a édifié le vieil univers aux confins du cosmos. Haute en couleurs et musiques endiablées dans le sang, la boue et la merde. Moloch fut insatiable ce soir-là. Au firmament de l’obscénité, des succubes horribles désarticulées se déhanchaient sur des rythmes démoniaques. Le cauchemar hurlant l’effroi et la mort sous la pluie nocturne fut interminable. Tout était possible ce soir-là. C’était la nuit du crime, du sordide, du bestial. La nuit tumultueuse de la Bête. Mais il n’y eut pas de meurtre. Macron ne fut pas assassiné, et la délégation israélienne ne fut pas mitraillée. L’événement n’advint pas. La Bête de l’événement ne creva pas le spectacle. C’était pourtant ce soir ou jamais. Satan superstar ne se montra pas. Alors que l’ivresse dionysiaque était à son comble de laideur et de dégueulasserie talmudique. La frénésie fécale bouillonnante aurait dû logiquement déboucher sur l’arrivée de Satan sur scène. Pourquoi le maître de cérémonie s’est dérobé ?… Il a peut-être eu honte. Les disciples du Démon auraient-ils déshonoré le Démon… Je n’entrerai pas dans toutes ces spéculations sordides. Qu’une seule envie, tirer la chasse céleste. Le chef de l’Etat semblait en tous cas ravi de cette eschatologie excrémentielle déversée à la face du monde. Le message avait au moins le mérite d’être clair au milieu du chaos : la vermine est fière d’être de la vermine. Plus qu’une gay-pride, ce fut une vermine-pride. La Seine souillée à jamais, où se noya la fille aînée de l’Église, traçait la fin de l’histoire de France sous les pas sinistres du dernier cavalier de l’Apocalypse… apportant la mort aux enfants… sous des chants méphitiques aux convulsions morbides. La fin de la si belle histoire de France… Du sacre de Clovis au sacre de l’anus dilatée comme jamais, en passant par la reine Marie-Antoinette portant sa tête décapitée chantant la Terreur exterminatrice… Non, décidément, ce fut une cérémonie merveilleusement sanglante, que l’élite culturelle de la nation a d’ailleurs particulièrement appréciée : André Bercoff, Raphaël Enthoven, Jacques Attali… l’esthétique des égouts de l’Enfer s’est fabuleusement imposée aux peuples ignorants. Et ça c’est important. Allez, place au sport !