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2020 : Pandémie de propagande, de peur et de confinements (épisode 15)

ByVeritatis

Sep 7, 2024


Comment seront perçues les années Covid dans 25, 50 ou 100 ans ? En tant que contemporain de cette période, si vous deviez, vous, les décrire, quelle serait votre approche ? Quels éléments décideriez-vous de mettre en avant pour, de manière la plus intelligible et la plus consensuelle possible, expliquer aux générations futures et aux historiens de demain la réalité à laquelle vous avez fait face ?

C’est avec cet état d’esprit que Wolf Wagner a écrit : Vaccin de Pfizer et transmission du Covid : flagrant déni de propagande !.

Un livre dont France-Soir vous propose de découvrir les premiers chapitres.

Note de l’auteur :

Là où de nombreux succès en librairie se sont attachés, souvent dans l’urgence, à révéler et dénoncer les différentes incohérences, malversations et autres manipulations observées durant la pandémie de Covid, ce livre, toujours en cours d’écriture, vise, lui, à prendre le temps de vous les « raconter » avec un regard journalistique.

En ce sens, ce texte s’appuie sur un contenu rigoureusement vérifié, daté et sourcé (vous renvoyant vers d’innombrables documents officiels, déclarations, témoignages, articles de presse, émissions TV ou radio, interviews, etc.), de sorte à recontextualiser avec précision le point de vue de la population, des autorités et de la presse de l’époque, tout en vous permettant de vérifier, par vous-même, chacune des informations que vous serez amenés à lire.

Il est cependant important de prendre en considération que certains des éléments rapportés dans cette rétrospective ont parfois été extrêmement difficiles à retrouver ou recouper. Si des copies ou des extraits circulent toujours sur les réseaux sociaux, les sources officielles/originelles – souvent compromettantes pour les médias et/ou pour les diverses autorités en charge – sont de moins en moins bien, voire ne sont plus du tout référencées sur les moteurs de recherche… quand elles n’ont pas été purement et simplement supprimées de leurs sites d’origine.

Il est ainsi à redouter qu’une partie des documents joints en démonstration à cet ouvrage disparaisse au fil du temps. Pour autant, de larges citations en animent les pages, de sorte à tout de même laisser une trace de certaines interviews télévisuelles et radiophoniques qui n’avaient, jusqu’alors, jamais été retranscrites.

Bien évidemment, cette œuvre est, et restera, à la fois subjective et incomplète. Elle n’a pas pour prétention de référencer l’ensemble des éléments les plus pertinents qu’il conviendrait de retenir de cette époque. À sa façon et à son humble niveau, ce « livre de la mémoire » souhaite participer, en complément de tous les ouvrages existants ou à venir, au témoignage collectif que nous sommes nombreux à vouloir laisser en héritage.

À ce titre, citons, par exemple, les écrits méconnus d’un internaute, Liutwin. S’il n’a pas cherché à écrire son livre dans une démarche purement journalistique, l’auteur y propose néanmoins un travail de documentaliste indubitablement riche et précieux pour tout individu désireux de s’informer sur cette période (son livre : Covid-19 : Le Grand cauchemar).

L’œuvre, que vous vous apprêtez à découvrir ci-après, se découpe, elle, en plusieurs tomes, eux-mêmes précédés d’une introduction. Cette dernière s’attarde sur les réactions de l’opinion publique et de la presse à la suite des déclarations tonitruantes de Janine Small, une haute dirigeante de Pfizer ayant attesté lors d’une audition au Parlement européen en octobre 2022 que, jamais avant sa commercialisation, l’efficacité du vaccin de son entreprise n’avait été testée sur sa capacité à pouvoir empêcher la transmission du Covid-19.

En partant de ce postulat, ce livre va ensuite chercher à retracer le parcours de la propagande politique et médiatique observée autour des questions propres à la transmission du Covid-19, aux restrictions « sanitaires » instaurées pour la limiter et au vaccin commercialisé par Pfizer pour l’annihiler.

En plus de son introduction, France-Soir vous propose d’en découvrir le premier tome. Consacré à l’année 2020, il étudie la passivité dont a fait montre la presse pour s’opposer à la mise en place de mesures politiques liberticides et déroutantes pour la population… mais surtout aberrantes au regard des informations scientifiques disponibles.

Enfin, dans les derniers chapitres de ce tome 1, une plongée dans l’histoire de France vous démontrera pourquoi la décision de confiner la population a en réalité été calquée sur une stratégie de domination ancestrale de la bourgeoisie.

En outre, même s’il est parfois obligé d’en évoquer les grandes lignes, voire d’en approfondir certains aspects (cf. chapitres sur l’INSEE), ce travail ne vise pas à réaliser une analyse scientifique ou statistique minutieuse de la crise sanitaire (en ce sens, les traitements précoces, l’origine ou la nature du virus ne sont pas abordés dans ce livre). La raison est simple : un tel exercice ne relève pas de mon champ de compétences. Journaliste depuis plus d’une quinzaine d’années, mes thèmes de prédilection tournent davantage autour de sujets politiques, sociétaux, ayant trait à l’observation du bon respect de la déontologie au sein de la presse ou à la défense des libertés individuelles et collectives qu’aux mathématiques, à la virologie, à l’infectiologie, à l’épidémiologie et à la biologie !

Par ailleurs, si la critique du journal Libération sert de « point de départ » et de « fil conducteur » à cette analyse, le quotidien étant celui qui s’est le plus attelé à relativiser la portée des propos de Janine Small, qu’il soit toutefois bien acté que l’AFP, BFMTV, CNEWS, Le Monde ou Le Parisien, dont le travail est également longuement décrypté dans cet ouvrage, sont tous autant coupables de s’être enfermés dans le plus profond des dénis journalistiques au cours des dernières années.

Puisse la mise en perspective qui va suivre permettre à cette agence de presse et à l’ensemble de ces titres de s’en libérer un jour. Puisse-t-elle également leur faire prendre conscience de l’ahurissante propagande politique dont ils se sont rendus, et continuent de se rendre complices. 

Wolf Wagner
Journaliste indépendant.

Table des matières (complétée au fil des publications) :

  • Introduction  : Déclarations de Janine Small, entre scandale et « non information ». (épisode 1)
     
  •  Tome 1 : 2020 : Pandémie de propagande, de peur et de confinements. (épisode 2)
  1. Première partie : Une pandémie de Covid-19 confine la France.
    – I : En 2009, l’OMS fait évoluer le sens du mot pandémie. Le nombre de morts n’est plus pris en compte.
    – II : En mars 2020, la France se confine sur l’avis d’un Conseil scientifique faussement indépendant. (épisode 3)
    – III : « Dans l’immense majorité des cas, le Covid-19 est sans danger » (épisode 4)
    – IV : Grâce au Conseil de défense sanitaire, plus besoin de « s’embarrasser de la lourdeur des discussions inhérentes au fonctionnement normal d’un gouvernement »
     
  2. Deuxième partie : Libération refuse tout débat scientifique sur le confinement. (épisode 5)
    – I : Une étude de l’université de Stanford conclue que le confinement n’a pas empêché la propagation du Covid.
    – II : Libé confond journalisme et prosélytisme…
    – III : … en s’affranchissant de toute forme de déontologie (épisode 6)
    – IV : Des méthodes indignes du métier de journaliste. (épisode 7)
     
  3. Troisième partie : Les données officielles sur le Covid, source de confusion et de manipulation. (épisode 8)
    – I : Selon le statisticien Pierre Chaillot, l’instauration du confinement n’aurait permis d’éviter aucun décès.
    – II : En 2020, aucune anormalité sur la mortalité de 80% des Français… les journalistes de CNEWS n’y croient pas. (épisode 9)
    – III : La surcharge hospitalière imputable au Covid-19 a été extrêmement faible en 2020. (épisode 10)
    – IV : Les infectés au Covid détectés à l’aide de tests PCR (beaucoup) trop sensibles. (épisode 11)
    – V : « Il n’existe pas au sein de l’INSEE de données sur le Covid ». (épisode 12)
    – VI : D’innombrables biais faussent le décompte des cas et des décès attribués au Covid.
    – VII : En 2020, l’INSEE a enregistré une hausse de mortalité « sans commune mesure avec celles des années précédentes »… (épisode 13)
    – VIII : … parce que « l’INSEE a tout fait pour construire un modèle qui surestime la mortalité en 2020 ». (épisode 14).
    – IX : Les plus de 70 ans, principales victimes de la politique sanitaire. (épisode 15)

 

IX/ LES PLUS DE 65 ANS, PRINCIPALES VICTIMES DE LA POLITIQUE SANITAIRE

S’il est à présent avérer que les morts inattendues en 2020 ont en réalité été bien moindres que les 46 700 officiellement enregistrées par l’INSEE, il existe d’autres causes capables d’expliquer la surmortalité « inédite » recensée par l’institut en cette première année de « pandémie ». 

À commencer par la manière avec laquelle cette crise sanitaire a été gérée.

Par exemple, dès mars 2020, de nombreux patients atteints par d’autres pathologies que le Covid n’ont soudainement plus pu bénéficier de la prise en charge à l’Hôpital à laquelle ils avaient droit.

La faute à… Emmanuel Macron.

Lors de son allocution du 12 mars 2020, le chef de l’État s’était en effet montré très clair sur le sujet en déclarant que, pour éviter aux établissements médicaux d’être surchargés : « les soins non essentiels à l’hôpital seront reportés, c’est à dire les opérations qui ne sont pas urgentes, tout ce qui peut nous aider à gagner du temps et suivre celles et ceux qui sont les plus fragiles ».

Le président de la République souhaitant ensuite ajouter que « protéger les plus vulnérables d’abord est la priorité absolue », avant d’oser un : « la santé n’a pas de prix ».

Un discours pour le moins paradoxal puisque les retards de diagnostics, les interventions chirurgicales déprogrammées, les reports et les abandons de soins « non urgents » engendrés par la décision prise ce jour-là par Emmanuel Macron ont précisément aggravé l’état de santé d’une partie de ces patients exclus des établissement hospitaliers… à un tel point que, selon TF1, 6 000 d’entre eux auraient même fini par en mourir.

Autre exemple contradictoire entre les propos tenus par le chef de l’État et la réalité observée : au cours de cette épidémie, des patients de plus de 70 ans, victimes de graves troubles respiratoires (Covid ou autre), ont eux aussi été refusés à l’Hôpital. Raison invoquée à l’époque : il fallait donner aux plus jeunes la priorité d’accès aux services de réanimation. La vie de ces derniers étant jugée plus précieuse que celle des plus âgés. In fine, le personnel soignant a donc, par moments, été obligé de trier ses patients en fonction de leur année de naissance. Une situation que le corps médical a naturellement mal vécu.

Une exclusion d’accès aux meilleurs soins pour les plus anciens aussi invraisemblable qu’incompréhensible puisque selon les déclarations d’Emmanuel Macron de ce 12 mars 2020, selon celles de l’OMS et de la Chine un mois plus tôt et selon la quasi totalité des données officielles de l’époque – peu importe la source prise pour référence – la mortalité liée au Covid-19 concerne, surtout et avant tout, ces mêmes personnes âgées rejetées des hôpitaux…

(ndla : cf. ce rapport de la DREES (page 29) qui confirme que l’âge médian des morts causés par le Covid en France était de « 82 ans »)

À cette période, les patients de plus de 70 ans frappés par le Covid (ou par tout autre trouble respiratoire) auraient donc dû, au contraire, être traités en priorité par le corps médical puisqu’ils étaient l’unique frange de la population (hors pathologie connexe) a avoir été identifiée, dès le début de l’épidémie, comme courant un risque face à ce virus.

En définitive, si, comme l’affirme l’INSEE, « l’excédent de décès en 2020 par rapport à 2019 a été (…) d’autant plus élevé que les personnes étaient âgées », c’est aussi parce qu’au nom d’une surcharge hospitalière attribuée au coronavirus, certains hôpitaux ont refusé de soigner les vieux.

Ce modus operandi abracadabrantesque, la France n’a pas été la seule à l’adopter. Le 30 avril 2024, l’ambulancier Robert Pollock, auditionné dans le cadre de la commission d’enquête écossaise sur l’impact du COVID-19 sur les soins de santé et les soins sociaux, rapportait lui aussi que, dans son pays, un tri de patients avait été effectué. L’homme y décrit comment il lui avait notamment été demandé de marquer les orteils des malades qu’il transportait en fonction de si les individus avaient 70 ans ou plus… de quoi ensuite, en cas de surcharge hospitalière, permettre aux établissements recevant ces patients de favoriser le traitement des plus jeunes contre celui des plus anciens (extrait).

Plus sordide encore, à cette même époque en France, le personnel de plusieurs EHPAD a parfois été forcé d’abréger les souffrances de ses résidents… en les endormant pour toujours avec un sédatif. Un acte que certains professionnels ont ensuite clairement qualifié d’euthanasie dans l’émission Pièces à conviction, diffusée le 18 novembre 2020 sur France TV. Meurtris par l’acte qu’ils ont eu à accomplir, ces soignants se disent convaincus que leurs patients auraient pu éviter la mort s’ils avaient été admis en temps et en heure en soins intensifs ou en soins de réanimation.

Et, quand ils n’étaient pas privés de soins ou définitivement endormis, c’est un mal plus sournois qui pouvait toucher les plus âgés, notamment ceux résidents au sein des EHPAD : l’isolement et la solitude.

En ce sens, dans un article publié le 20 octobre 2021, Le Monde relatait l’expérience vécue lors du confinement du printemps 2020 par Annie et Aimée Rousseau. La première, fille de la seconde, explique au quotidien pourquoi, à cette époque, elle « pressentai[t] que [s]a mère risquait sa peau dans cette affaire ! ».

Le Monde écrit : « De mars à mai 2020, à la maison de retraite du Parc, au Coteau, une commune près de Roanne, Aimée est confinée dans sa chambre, comme la plupart des quelque 600 000 résidents des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) en France ».

Le quotidien ajoute « [qu’]avec le retour des beaux jours, la situation s’arrange un peu. Aimée peut recevoir ses proches. Mais seulement sur rendez-vous, deux fois par semaine, trois quarts d’heure montre en main, hors de sa chambre ». « Sortir dans le parc reste interdit», précise toutefois Le Monde, qui explique que les visites se déroulent « dans la salle commune ». Une situation difficile à vivre pour Annie qui se souvient avoir fait face à sa mère en étant « assis[e] à deux mètres d’elle, sans pouvoir la toucher [et alors qu’]elle n’entendait rien du fait du brouhaha ambiant. C’était triste à pleurer », assure ainsi la fille au journal.

Et même à en mourir… puisque lors de ses visites à l’EHPAD, Annie Rousseau fait la rencontre de Bernadette Ojardias, dont la mère est également résidente du même établissement. Le Monde raconte que : « Outrées, perturbées de voir leurs mères et d’autres souffrir autant, Annie et Bernardette montent en juin 2020 le collectif Ehpad Familles 42 et autres départements ».

Le quotidien rapporte que « la presse locale s’en fait [ensuite] l’écho » et que, très vite, « dans leur boîte e-mail pleuvent des récits de proches de résidents, qui racontent la perte d’envie de vivre de leurs parents ». Annie se souvient être alors subitement devenue, « sans le vouloir, le réceptacle de plein de situations insoutenables ».

Des situations visiblement récurrentes en France à cette époque puisque, dans un reportage diffusé le 4 juin 2020, France 3 révèle qu’un rapport de l’association, « les Petits Frères des Pauvres, explique que le confinement a généré un impact négatif sur la santé morale pour 41 % des personnes âgées et 31 % sur la santé physique ».

Un impact négatif dont a justement été victime Nicole. Une octogénaire qui, forcée de rester isolée loin des siens, confie à la chaîne de télévision l’étendue de sa détresse : « Je n’ai plus que ça, je ne peux plus lire ma vue a tellement baissé. Moi j’en ai marre. Je veux sortir maintenant. Je veux aller manger chez ma fille pour la fête des mères. Si ça continue je vais mourir de dépression».

« Mourir de dépression », c’est précisément ce qui est arrivé à cette autre « dame de 94 ans [qui, selon France 3,] est morte. Pas du Covid. Mais de chagrin ». Le fils de la défunte raconte à la chaîne de télévision régionale la façon dont il a vu sa mère partir : « Elle s’est laissée aller, à quoi bon vivre sans relation sociale. Ce n’est pas parce qu’ils sont vieux qu’ils n’ont pas besoin d’humanité », s’attristait ainsi le pauvre homme.

Ce lâché-prise observé chez les plus anciens porte un nom : le syndrome du glissement, que France 3 décrit « comme une immense dépression intense et soudaine qui peut arriver en quelques jours chez les plus âgés. Un syndrome qui se développe après un choc : une opération, le décès d’un proche ou un long silence, comme celui de ce confinement ».

En résumé, les décisions politiques à l’origine de ces multiples et macabres mises à l’écart des plus anciens (qu’il s’agisse de leur accès aux soins ou à leur cercle social) expliquent, en partie, les causes du surplus de morts enregistré dans les EHPAD en 2020, où, selon Le Monde, les résidents représentaient, à eux seuls, presque la moitié (44 %) de l’intégralité des décès alors estampillés Covid en France.

Au final, si, d’un côté, l’INSEE a (largement) surévalué la mortalité inattendue enregistrée en 2020 et que, de l’autre, les autorités ont, par leurs décisions, favorisé le décès d’une part sensible de personnes âgées qui n’étaient pas destinées à mourir cette année-là, tout en employant des méthodologies biaisées pour gonfler artificiellement le recensement de cas et de morts imputables au Covid, alors, le nombre de décès officiellement attribués à ce virus en 2020 est, en réalité, factuellement bien plus insignifiant que celui annoncé.

(Ndla : 
Ce dossier de la DREES établit le bilan des années Covid au sein des EHPAD ;
– Pierre Chaillot, lors d’une interview accordée à TVL le 6 février 2023 (à partir de 15 mns et 40 secondes), aborde lui aussi cette question ;
– Pour approfondir le sujet concernant le Rivotril (ou le Propofol et le Midazolam), ce puissant sédatif administré en fin de vie aux personnes âgées victimes du Covid ou de toutes autres difficultés respiratoires trop douloureuses – mais qui a aussi été donné à des personnes en parfaite santé compte tenu de leur âge ;
consultez le « Quatrième point » de l’un de mes précédents papiers qui décrivait une large partie de ce processus. Vous y trouverez de nombreux éléments et témoignages sourcés, ainsi que les décrets du 23 mars et du 28 mars 2020, signés par Édouard Philippe et Olivier Véran, ayant permis de légaliser cette mesure) ;
– Il est également (de nouveau) conseillé de visionner la vidéo de réponse de Pierre Chaillot aux deux articles (1 et 2) du 18 mars 2023 du Parisien. L’ancien pensionnaire de l’INSEE y démontre (à partir de 28mns 41) que, peu importe si le test réalisé à l’entrée à l’hôpital révélait qu’un patient était négatif au Covid, si son historique de santé affichait que, lors de l’un ses précédents tests, il avait déjà été déclaré au moins une fois positif à ce virus, alors cela suffisait à le considérer comme infecté… de quoi parfaitement coller avec la demande exprimée par Santé publique France de « comptabiliser tous les décès pour lesquels il y a une suspicion de Covid-19, même si le patient a fait l’objet d’un test négatif (du fait de l’existence de faux négatifs) »… et de quoi également offrir l’opportunité à l’établissement hospitalier concerné d’obtenir un meilleur remboursement de l’État en déclarant un patient « Covid » supplémentaire ;
– Enfin, regardez cet autre reportage du 23 mai 2020 de France 3 montrant comment un EHPAD dans les Hauts-de-France avait mis en place une « bulle sanitaire »… en plastique pour permettre aux familles de se voir dans des conditions plus « intimistes » que celles décrites par Annie Rousseau (lien youtube).)
 

  • Wolf Wagner, journaliste indépendant.  

Rendez-vous lundi, dans France-Soir, pour découvrir la fin de cette troisième partie… consacrée à l’entêtement maladif des journalistes de CNEWS.





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