« J’en connais qui seraient capables de tuer pour avoir le prix Nobel de la Paix. »
À cette tirade signée Jean Yanne (1), on peut ajouter ceci : « Barack Obama l’a prouvé. »
En effet, Hussein Barack Obama est le Président des États-Unis d’Amérique qui, dans toute l’Histoire de son pays, a mené le plus de guerres militaires. Pourtant, comble du foutage de cynisme manifeste en lesquels consistent tous ces prix, récompenses et autres décorations fantoches, que les puissants se remettent entre eux, c’est au beau milieu de toutes ces guerres qu’il a menées, que le prix Nobel de la Paix 2009 lui a été décerné.
Et bien, vous savez quoi ? Oui. Il est temps que tout cela cesse !
« Tout », car je ne parle pas ici uniquement de la mascarade de ces auto-congratulations morbides. Non. Celles-ci sont seulement subsidiaires, des apparats insanes, accessoires du pire : les guerres elles-mêmes. Les guerres militaires tout d’abord, évidemment, mais également les autres. Les guerres économiques, financières, sociales, alimentaires, sanitaires et culturelles, notamment, que les puissants mènent contre les peuples du monde. Ces guerres, qui, en plus de meurtrir déjà très substantiellement les peuples, avec les préjudices désastreux qu’elles leur causent directement, sont en outre les prétextes invoqués fallacieusement par les puissants, pour imposer aux peuples de se décimer entre eux, en utilisant ces meurtres de masse que sont les guerres armées.
Ces boucheries horribles, où hommes, femmes et enfants des peuples, meurent par millions, atrocement, et au terme desquelles, les lieux d’existence de ses peuples, magnifiques avant la guerre, ne sont plus que champs de ruines, attestant de l’apocalypse et de la médiocrité destructrice des hommes. Des génocides auxquels bien sûr échappent toujours ceux qui les ont déclenchés. Diable ! À l’instar des loups qui (paraît-il) ne se mangent pas entre eux, il en est de même des faisans. Ces parasites qui « sucent » notre sang dans tous les sens du terme, les véritables criminels de guerre que sont les malfaisants ultimes que j’appelle ici « les puissants », à savoir, la mafia planétaire des ultra-riches autoproclamée « Le Nouvel Ordre Mondial », tirent les ficelles en coulisses,à l’aide de leurs marionnettes politiciennes dévouées à cet effet.
Pourtant, ce sont les peuples, en vérité, qui sont les puissants. En tout cas qui devraient l’être. Mais, qui ne le sont plus dans les faits, juste parce qu’ils ont oublié qu’ils l’étaient. Manipulés, bernés depuis des siècles par leurs dirigeants. La caste « aristocratique » au pouvoir, dirais-je, érigée qu’elle est, en la nouvelle noblesse qu’elle revendique officiellement être, depuis le placement des « Young leaders » à la tête des pays occidentaux. Les Emmanuel Macron, Gabriel Attal, Édouard Philippe (France), Justin Trudo (Canada) Alexander De Croo (Belgique), Jacinda Ardern (Nouvelle-Zélande), Leo Varadkar et Cie (Irlande), instrumentalisant l’inclusion pour masquer leurs orientations sexuelles. Ils incarnent la dégénérescence en tous points (économique, intellectuelle, structurelle, morale, sociale, image du pays, etc.) à laquelle conduit la politique qu’ils mènent.
Par leurs frasques, par leurs comportements déplacés (indignes de leurs fonctions), par la relation au pouvoir malsaine, égocentrique et infantile qui les caractérise, par le mépris et la haine des peuples qu’ils transpirent, et par l’aversion pathologique qu’ils ont pour tout ce qui, dans l’histoire des peuples, a fait la beauté de l’humanité : la solidarité, l’entraide, la famille naturelle, les grandes constructions, la communion avec la Nature, et, qu’on soit athée ou croyant, la communion « spirituelle » universelle humaine (« paix et amour ») autour des valeurs de tolérance, de respect et d’ouverture à l’autre, qu’on retrouve tant dans toutes les religions, que dans le cœur de tout homme qui aspire à vivre simplement, libre, et à œuvrer pour le bonheur de ses enfants. « En bon père de famille », comme dit l’expression.
Or, outre les dernières provocations de l’OTAN à l’encontre de la Russie, qui pourraient déjà suffire en elles-mêmes à nous y conduire, toutes les conditions pour que les peuples du monde soient entraînés dans une guerre militaire mondiale, sont hélas en passe d’être réunies très rapidement. Seuls manquent à l’appel pour l’instant le krach boursier planétaire et les famines subséquentes, censés finaliser le « Parce que c’est notre projet ! », des assassins en col blanc qui ont programmé ce conflit armé, aux fins démoniaques… instaurer une dictature inextricable pour les peuples.
C’est la raison pour laquelle, dans la lignée des éditos précédents que j’ai consacrés à ce sujet, j’exhorte dans celui-ci les peuples du monde à reprendre leur destin en mains. À se lever, et à imposer aux dirigeants belliqueux, de stopper l’escalade guerrière, ou à en désigner d’autres immédiatement.
À ce titre (c’est le cas de le dire), je reprends, ici, les paroles de la reprise faite par « 432 HZ » de « Ève, lève-toi ! », « Chanson pour la Paix au diapason » :
« Oh Terre unique bien mise à mal, par tous ces fanatiques et leurs lois immorales.
Feux de l’enfer, odeur d’ vautours, oppriment par la guerre, des innocents toujours.
Menteurs pervers, hommes tyranniques, ont commis des tueries, que Dieu punit.
Ooh, âmes vénales, fous pathétiques, détestés par le Ciel, c’est le mal !
Peuple lève-toi et pense à ta survie. L’écho de la paix doit sonner jusqu’à toi.
France lève-toi ta conscience a mûri. En sauvant la vie tout brillera en toi.
Arche du Divin, âmes de lumière, pour un bonheur sans fin, à la porte d’une nouvelle ère.
Peuple de l’Amour, viens au secours, demain un autre jour, entre tes mains.
Oeh, Terre future, pleine de trésors, réveille-toi bien, sinon c’est la mort.
Peuple lève-toi et pense à ta survie. L’écho de la paix doit sonner jusqu’à toi.
France lève-toi ta conscience a mûri. En sauvant la vie tout brillera en toi. »
Oui. Tous ensemble, prenons la défense de la France, et, pour ce faire, reprenons en main le destin de la France. Car, défendre la France, c’est prendre la Défense de la Paix.
Diplomate émérite s’il en est, Dominique de Villepin, l’homme qui a dit « Non ! » à la guerre en Irak l’a clairement explicité à maintes reprises dans les médias dernièrement, et mieux que je ne saurais le faire : avant l’arrivée d’Emmanuel Macron, la voix de la France a toujours été la voix de la Paix. Dans le climat actuel de guerre mondiale imminente (via le conflit en Ukraine), auquel, justement, le locataire actuel locataire de l’Élysée a hautement contribué, plus que jamais la voix de la France doit résonner dans le monde avec un message de paix.
Alors puisque le président de la République de France, lui, refuse de faire résonner ce message, nous, peuple de France, faisons-lui entendre raison.
Pardi !
Le président de la République a beau être le « chef de l’État », le souverain, en France, n’est pas le président de la République, mais le peuple français. Et, les théoriques « représentants du peuple » que sont nos parlementaires, ayant trahi la confiance du peuple français en votant, en août dernier, et en catimini, la loi dite « de mobilisation » en application de laquelle Emmanuel Macron et Cie veulent, de manière de plus en plus visible, nous contraindre à aller à la guerre. Ceci, qui plus est, après avoir réquisitionné (saisi, volé, racketté) tout d’abord nos libertés, nos droits, puis nos biens.
Alors faisons ceci. Partout en France, tous autant que nous sommes, adultes et valides, descendons dans la rue et faisons entendre nos voix. Pacifiquement, mais sans faillir, demandant ainsi à ceux qui nous dirigent, de renoncer à la guerre. Et, tant que nous y sommes, exigeons également qu’ils mènent dorénavant une politique qui ne sert plus les intérêts privés de quelques privilégiés, mais uniquement les intérêts publics du peuple français. Et, fini, terminé aussi la pratique de se rémunérer grassement sur notre dos, qui plus est généralement à ne rien faire, et à se voter des augmentations obscènes pendant qu’on demande aux Français de se rationner. Un dernier effort, une dernière goutte de sueur à la gloire du mérite perdu de ces élites qui nous demandent de réparer les erreurs qu’ils ont commises en nous ayant mené dans le mur.
Et, s’ils n’acceptent pas ces nouvelles conditions, qu’ils dégagent. Nous en élirons d’autres. Et, cela, sans qu’aucun de ceux qui se seront opposés à la volonté du peuple de France, exprimée à l’occasion de cette descente dans la rue, soient éligibles. Au contraire. Comme ils se seront ainsi opposés à la volonté du souverain, ils devront répondre de leurs actes devant celui-ci.
Et attention ! Non pas à la barre d’un tribunal « ordinaire », dont les juges ont été nommés par eux, mais devant un tribunal populaire. Les tribunaux populaires d’exception qui auquel cas devront être institués partout sur le territoire national, ceci afin que tous soient jugés le plus rapidement possible, et qu’aucun ne puisse échapper à justice. En équité, bien sûr, et en tenant compte des circonstances personnelles de chacun, mais sans laxisme ni compassion. La justice, oui, et non pas la vengeance. Toute la différence est là
Sans nous, ils ne sont rien, les parasites qui nous mènent en bateau. Et, pareil leurs commanditaires.
« La vie ne vaut rien », surtout celles des autres. J’entends pas là pour les dirigeants va-t-en-guerre qui n’y risque pas la leur, eux, sur les champs de bataille. « Mais rien de vaut la vie. »
Ces puissants-ci, tous côté OTAN, veulent la guerre à tout prix, notamment pour ne pas avoir, sinon, à devoir répondre publiquement comme susdit, des crimes de masse « civils » qu’ils ont commis : destruction économique, financière, sociale et infrastructurelle des pays où ils ont sévi ou sévissent, et les crimes liés à la crise covid (vaccination et escroquerie en bande organisée avec les labos) qu’ils ont orchestrée afin de servir les desseins despotiques, et de se remplir les poches, indûment et à foison, avec l’argent des peuples.
Et puisque côté opposé à l’OTAN, Russie et Chine en tête, les puissants que sont Vladimir Poutine et Xi Jinping, eux, semblent vouloir la paix (ou en tout cas appellent officiellement à celle-ci), dans cette voix en faveur de la paix que la France doit de nouveau faire résonner dans le monde, faisons appel également, aux peuples plutôt qu’aux puissants.
La balle est dans notre camp. Ne nous la tirons pas dans le pied. Servons-nous en plus utilement. Plus efficacement. Plus intelligemment. Utilisons-la pour tirer un dernier coup de semonce, à savoir comme je vous l’ai explicité plus haut. (2)
Et, si nos dirigeants font mine de n’avoir rien entendu, ou pire, si, par extraordinaire, ils sont tentés de recourir à la force publique, pour réprimer la volonté du souverain ainsi, aussi durement qu’illégitimement, alors nous aviserons.
Militaires et policiers font pleinement partie du peuple français. Et, ce sont toujours eux qui, hélas, se retrouvent en première ligne. Tant pour ce qui est, pour les premiers, de mourir à la guerre, que, pour les seconds, d’affronter la colère justifiée d’un peuple opprimé, là aussi, malheureusement, avec morts des deux côtés. Donc, tous militaires et policiers que vous soyez, vous êtes des femmes, des hommes, mères et pères avant tout, joignez-vous à cette grande manifestation populaire qui s’organise, et qui doit contraindre ceux qui nous dirigent, d’une part, à renoncer céans à leurs velléités guerrières immédiatement (sinon tous autant que nous sommes nous en mourons), et, d’autre part, à se conformer strictement, désormais et à l’avenir, à la devise de la République :
« Gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple. »
Et Vive la France ! Défendre la France, c’est défendre la Paix.
1) de son vrai nom Jean Gouyé.
2) si quelqu’un a mieux, je suis preneur.