Les cloches sonnent de nouveau, c’est écrit dans France-Soir…
A l’heure où Notre-Dame de Paris retrouve des couleurs et du son en prévision de la célébration de Noël, la vie de la cité tente de s’imposer en ce lieu sacré par le truchement du président de la République.
Par un manque d’éducation, certain, ou plutôt une éducation à contre-sens, le locataire de l’Elysée, a réussi à imposer avec force et véhémence, son discours politique de réouverture de Notre-Dame, en son sein, et non sur le parvis comme il est d’usage. Le très cher, mais toutefois trop faible Laurent Ulrich archevêque de Paris, aura cédé, laissant pour la première fois de son histoire la politique rentrer au cœur de la vieille dame. De ce que j’en lis, aucun roi, ni aucun chef d’état jusque-là n’avait osé ce “blasphème”… la séparation de l’église et de l’Etat est comme le reste, pour les gueux.
Il est dit que ce serait pour des raisons techniques, mais néanmoins fort incompréhensibles. Les voies du seigneur sont impénétrables.
Comme toujours pour la bonne cause « BonSens.org » est là, et nous informe avoir mis en demeure l’archevêché de Paris de respecter la loi du 9 décembre 1905, et notamment ses articles 35-1 et 36 lors de cette cérémonie.