Source Insolentiae
Je peux vous dire que les gens sont aimables. Etant de nature un peu difficile avec la hiérarchie, cela aurait fait belle lurette que j’aurais envoyé paître mon employeur en lui expliquant que je n’ai pas signé pour travailler dans la zone verte de Bagdad et que je refuse de devoir travailler sous la protection des “blackWater”. Ceux qui ont vécu la seconde guerre du Golfe apprécieront la délicatesse de mon humour noir et décalé.
Dans ce pays nous marchons sur la tête.
Les entreprises doivent payer des agents de sécurité pour protéger les gentils des méchants qui sont dehors.
Nous raisonnons tellement mal contaminés par 40 années d’un socialisme permissif devenu à vomir qu’il ne vient plus à l’esprit de personne de vouloir tout simplement mettre les méchants dedans (comprendre en prison) pour que les gentils puissent vaquer à leur vie… dehors et en toute liberté.
Ce reportage est surréaliste.
Les zones dangereuses se multiplient dans les grandes villes et la violence devient endémique et digne des favelas de Rio.
Il faut remettre le bon sens au coeur de l’action publique.
Pour cela il faut gagner la bataille des idées.
L’idée est simple.
Un méchant est un méchant.
Un vilain un vilain.
Il n’a aucune excuse.
Aucune.
Des millions de gens modestes, pauvres, partis de rien et arrivés pas très loin ne sont jamais devenus violeurs, voleurs ou violents.
C’est faire insulte à la dignité de dizaine de millions de gens plus ou moins modestes qui sont respectueux des autres.
Les méchants c’est dedans. Les gentils c’est dehors.
Du bon sens, dans la démagogie gauchiste permissive qui va du droit à la paresse au droit à sa drogue. Ca suffit maintenant.
Le premier devoir d’un Etat à l’égard de sa population c’est de la protéger.
Martelez ces vérités chaque jour à vos députés.
Ecrivez-leur.
Et si vous ne savez pas quoi leur dire… envoyez leur cet article pour leur dire tout le bien que vous pensez que leur lâcheté et de leurs comprissions.
Charles SANNAT
Tous les articles, la tribune libre et commentaires sont sous la responsabilité de leurs auteurs. Les Moutons Enragés ne sauraient être tenus responsables de leur contenu ou orientation.