Concernant les propos que Donald Trump a tenus dans son clip de campagne à propos des actions qu’il veut mettre en œuvre pour démanteler l’état profond, tout semble possible. Même s’il est attendu au tournant et guetté pour voir si ses actes corroborent ses mots (l’histoire a montré que Donald Trump est plutôt du genre à faire ce qu’il dit)
(doublé par IA)
Donald Trump a aussi pris du temps pour mûrir son projet puisque déjà le 15 décembre 2022, il l’avait évoqué :
Enfin !
➠ La censure
➠ La liberté d’expression
➠ Les portes tournantes
etc.On 🤞🏼🤞🏼🤞🏼
Version 1 avec voix de Trump en arrière-plan
Version 2, voix d’arrière-plan très discrète. https://t.co/3vTqBiaeJX pic.twitter.com/TCPES13Xmp— Viv 🐭 (@CuendetV) November 9, 2024
De plus, si l’on reprend la déclaration qu’il avait faite lors de son discours en Floride le 21 avril 2022, l’hystérie climatique aurait aussi du souci à se faire : « L’une des tâches les plus urgentes est de mettre fin au canular de l’hystérie climatique. » (1)
J’entends par là, si les engagements qu’il a pris, et qui s’inscrivent dans l’actualité du jour comme le prolongement de la promesse qu’il a faite à ce sujet durant la campagne électorale, se matérialisent par des actes. Dans ce cas, oui, le « canular » en question risque fort d’être visé par « l’apocalypse » et sa révélation au grand public sonnera effectivement la fin de la récréation. (2) D’autant plus qu’il a mandaté Robert Kennedy Jr pour se battre contre les agences gouvernementales qui délivrent de la fausse science, corrompant ainsi le système.
Trump va donc se battre contre l’état profond. Ce système qui a capturé la démocratie américaine et perverti la vie des citoyens américains avec des dogmes idéologiques et une instrumentalisation de la science. Trump veut « redonner le pouvoir » à chaque dollar de dépense publique avec le D.O.G.E. (département d’efficacité gouvernementale), et pour cela, il devrait confier le D.O.G.E. à Elon Musk.
Petit aparté. Il est intéressant de noter que pendant ce temps-là, en France, Gabriel Attal et Bruno Le Maire étaient auditionnés par la Commission des finances. C’était sur les gigantesques dérives budgétaires, dont ils se défendent, soit avec arrogance ou alors en démontrant qu’un D.O.G.E mériterait d’exister en France, tellement ils donnent le sentiment de prendre les rapporteurs et les Français pour des imbéciles.
En dépensant 1000 milliards, vous n’avez pas défendu le système social, mais vous avez aggravé sa situation. Qu’avez-vous construit avec 1000 milliards ? Qui avez-vous éduqué ? Le poids de la dette vient aggraver la situation économique française, les libertés se sont dégradées,… https://t.co/cuX2Iy6bku
— Xavier Azalbert FreeSpeech 🇧🇷 🇫🇷 (@xazalbert) November 8, 2024
Pour ce faire, ils sont soutenus par des personnes qui tiennent le même discours totalement déconnecté de la réalité du terrain, comme la constitutionnaliste Anne-Charlène Bezzina qui regrette « une chasse aux sorcières qui fait du mal à la démocratie » ! On aimerait lui poser la question : qui était au pouvoir, premier ministre ou ministre de l’Économie et des Finances pendant sept ans ? Hors sol, dogmatique et « ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer », comme dirait un autre ancien ministre de la Macronie. « Demander des comptes est la chose la plus normale et obtenir des mensonges ou défaussement comme réponse cautionnée par ce genre de discours entraîne la perte de confiance dans les institutions. Et c’est bien là le problème. Les gens ont perdu confiance dans le discours d’élites qui ne veulent pas rendre des comptes. Et dans une entreprise, le refus de donner les comptes est trop souvent le cas, car ils sont faux », ai-je répondu.
Avez vous déjà été dans une entreprise ? Avez vous une expérience particulière en analyse d’investissements ? Ce n’est pas une chasse aux sorcières que de demander des comptes et c’est mal connaitre le peuple français que de tenir ce genre de discours en tentant d’exonérer de… https://t.co/IUK3LKiVuL
— Xavier Azalbert FreeSpeech 🇧🇷 🇫🇷 (@xazalbert) November 8, 2024
Fin de l’aparté.
Le dogme imposé en Occident, de la prétendue lutte contre un prétendu réchauffement climatique imputé à l’activité humaine, pour réduire les peuples à l’esclavage. Contributions forcées, amendes, taxes et restrictions en tous genres et dans tous les domaines, zones réservées et Cie, la coercition va jusqu’à l’interdiction faite aux gens du peuple d’utiliser leur voiture pour aller travailler. Travailler pour nourrir qui ? La caste parasite des profiteurs qui sont au pouvoir, qui eux se déplacent en avion aux frais du contribuable. Les serviteurs zélés de la société de consommation mondialisée construite par leurs commanditaires pour asservir les peuples. Cette folie qui engendre une pollution monstre avec les produits d’emballage. Cette folie qui conduit au gaspillage de plus de 50 % des denrées alimentaires produites, alors que plus d’un milliard de personnes sur Terre souffrent de la famine, meurent de faim. Cette folie productrice adjointe à l’industrie chimique, qui pollue les sols, les mers, les cours d’eau et l’air mille fois plus que les peuples ne le font, seulement pour vivre, ou survivre. Cette folie consumériste qui, rien qu’avec le fret des marchandises (responsable de la quasi-totalité de la pollution des océans), pollue dix fois plus que toutes les voitures du peuple réunies.
Diable ! À chaque voyage qu’il effectue, un seul super-cargo (porte-containers géants) pollue davantage que 50.000 voitures. Et chaque jour, ce sont plusieurs dizaines de milliers de super-cargos qui voyagent à travers le monde, notamment ceux qui partent de Chine (et qui y reviennent), premier producteur mondial de produits de consommation.
S’ajoute à cela l’escroquerie intellectuelle, politique et en pécuniaire de « la transition écologique » : les moteurs électriques que les dirigeants occidentaux imposent aux peuples, et qui, au contraire d’être « écologiques », polluent bien-bien-bien davantage que les moteurs à combustion.
Premièrement, l’extraction des métaux (et autres « terres rares ») avec lesquels sont fabriquées les batteries qui équipent ces moteurs (le lithium notamment), consomme des quantités de pétrole gigantesques et cause à l’environnement des dégâts phénoménaux. Deuxièmement, puisqu’il faut acheminer ces métaux par super-cargos, depuis l’Afrique (où ils se trouvent essentiellement), jusqu’aux usines de fabrication des moteurs, qui elles se trouvent en Europe et en Chine. Troisièmement, car les batteries de ces moteurs sont 100 % impossibles à recycler, et leur stockage quelque part obligatoire qui en résulte, cause également des dégâts catastrophiques à l’environnement. Et quatrièmement, parce que, que faut-il pour recharger ces moteurs électriques censés « remplacer les moteurs à pétrole » ? De l’électricité. À savoir, donc, du pétrole.
En effet, le pétrole demeure, et de loin, la source première dans la fabrication de l’électricité.
Et n’oublions pas le plus important.
Outre l’utilisation du pétrole pour la fabrication des emballages et autres plastiques de toutes natures et destinations, qui polluent à tous les niveaux inextricablement ; la cause principale de la pollution de l’eau, de l’air et des sols, c’est l’utilisation du pétrole comme source énergétique : production d’électricité, chauffage, transport des marchandises et des hommes. Ceci alors que moult brevets existent sur la production d’électricité sans aucune pollution, sans non plus de difficultés techniques insurmontables, et à des coûts équivalents ou moindres que l’utilisation du pétrole, voire nettement moindres puisque presque nuls. Comme par exemple le moteur à eau et l’énergie perpétuelle.
Malheureusement pour les peuples du monde et pour l’écologie, un obstacle infranchissable en l’état est mis à l’utilisation de ces sources énergétiques non polluantes et quasi gratuites. Cet obstacle est mis par un lobby industriel. Le plus important du monde sur le plan politique : l’industrie pétrolière.
Je m’explique.
Tout d’abord, la plupart des brevets sur les énergies non polluantes et quasi gratuites sont détenus par l’industrie pétrolière ou les lobbys associés, et ne trouvent pas de financement !
Dans un second temps, les médias mainstream occidentaux s’emploient sans relâche ni vergogne à cacher ou à discréditer ces énergies non polluantes et quasi gratuites. À les faire passer pour inutilisables. Tout en ventant les mérites de l’énergie éolienne qui représente une des plus grandes source de pollution (visuelle, empreinte terrestre et cout total de la chaine de valeur en cas de démantèlement) ainsi que l’énergie solaire si l’on en croit les dernières tornades qui ont emporté des champs entiers de panneaux solaires installés au sol. Qui a fait les calculs économiques de rendements de ces installations ? L’industrie et les autorités qui les préconisent ?
Et, troisièmement, la totalité des politiciens au pouvoir en Occident, au Moyen-Orient et en Afrique, sont des marionnettes de l’industrie pétrolière. Et, à ce titre, toutes sans exception ces marionnettes politiques s’opposent à l’utilisation de ces énergies non polluantes et quasi gratuites. Tant par l’État que par les entreprises. Et, pire encore par les particuliers. En France tout particulièrement.
Dans ce pays fallacieusement vendu dans le monde comme étant celui de la liberté, la caste parasite des marionnettes politiques toutes adoubées à l’industrie pétrolière, a adopté des lois qui punissent de très lourdes amendes (et même de peines de prison), les gens du peuple qui s’essaient à produire leur propre électricité ou leur propre carburant en remplacement du pétrole.
Sans doute, dès lors, le temps est-il venu de « renverser la table » ?
Au-delà de la modeste contribution que je me suis employé à apporter à la communauté humaine française en ce sens dans l’édito « il est l’heure de se réveiller », d’autres que moi ont aussi développé cette idée plus loin que le simple fait de l’évoquer.
Je pense par exemple, à divers collectifs et associations qui se sont illustrés pendant la crise sanitaire. Si vous êtes nombreux à me dire en commentaire que le sujet vous intéresse, je vous en reparlerai plus en détails une prochaine fois.
Et notez à cet égard que l’idée de « renverser la table » ne date pas d’hier.
« Canto » l’avait évoquée il y a bien des années déjà, en plus d’évoquer, quelque temps plus tard, l’idée que tous les particuliers retirent en espèces l’argent qu’ils avaient en banque.
N’en déplaise aux détracteurs des citoyens qui s’emploient à chercher des solutions aux problèmes du peuple, ces citoyens ont compris une chose : le problème est global. Les problèmes que nous tous nous rencontrons, ont beau être plus ou moins différents en nature et en substance, ils ont tous la même origine. La même cause : l’organisation des dysfonctionnements par la caste politique parasite au pouvoir, afin que les membres de cette caste et leurs commanditaires puissent continuer à exploiter et à asservir le peuple, indéfiniment et toujours plus grandement.
Et le problème étant global, la solution ne peut pas être individuelle. Elle ne peut être que collective.
Oui. On retrouve ici l’incontournable « S’unir pour ne plus subir » dont je me suis fait l’écho.
(1) Discours de Donald Trump le 15 décembre 2022 : “One of the most urgent tasks, not only for our movement, but for our country is to decisively defeat the climate hysteria hoax. The ocean is rising. It’s rising. It’s coming. It’s within 300 year years, we’re going to gain one, 100th of an inch in the ocean and have a little more beachfront property. It’s going to be a terrible thing. No, it’s a hoax. The whole thing is a total… It’s so crazy. Donald Trump: And just in a simple way, China has a very dirty country. India is very dirty, air is very dirty, water is very dirty. In Japan even, and many others, they dump in the ocean. Russia has a very dirty country. You look at arctic ice, it’s black. They call it black ice. Do you know how it got black? Factories. So we’re going to have nice and clean. The problem is the air goes up and then it starts to move. It moves. The air goes up in China and it moves. It takes about a week and a half and it moves across the Pacific and it hits Los Angeles. May it be Los Angeles. But it hits our country. And they dump their garbage in the ocean and the ocean tides flow and they hit guess what? Our west coast. And did you ever see the tons and tons and tons of garbage that we pull out? Donald Trump: It comes from Asia. It comes from India, comes from all over, a lot comes from China, tremendous from China. They dump in the ocean. It floats over to the United States. And then we clean our air and we clean everything. How stupid are we? How stupid are we? It goes up and then we say, “There’s something wrong with our air. What’s wrong?” In the meantime, our factories can’t perform. They want us to use wind, wind, intermittent wind. I always say when I was running and we ran a great race, we did much better the second time that we did the first time, much, much better by many millions of votes, but we’re running and I tell the little, it’s sad, it’s a joke, but it’s not a joke. “Darling, I’d like to watch the president tonight on television.” “No you can’t. The wind isn’t blowing. The wind isn’t blowing. There’s no television tonight, darling, the wind isn’t blowing.” Donald Trump And by the way, our house went down to about 30% of the value because we’re near a windmill that makes a lot of noise, kills all our birds and ruins a landscape. Other than that, it’s a wonderful thing for the environment. These people are crazy. But they’re radical climate people and I don’t believe they mean it. They can’t mean it because it’s too easy. They can’t mean it. The radical lefts fear mongering about climate and our future is no longer just scaring American youth, it’s destroying America’s economy, weakening our society and eviscerating our middle class. It’s really hurting us. And we don’t have the power with green energy. I’m all for it, but we don’t have the power to fire up our plants. And I took you out of the Paris hoax Accord and it was costing us trillions, trillions and trillions of dollars. Donald Trump: It sounded nice. The Paris Climate Accord, that was the good part. The rest of it was a disaster. And by the way, China doesn’t kick in for another 14 years. Russia kicked in at the dirtiest point. Russia, they’re having a hard time, but they kicked in at the dirtiest point. India hardly kicks in at all. But us, we kick in immediately and we have to pay a lot of money to other countries because they’re developing. Like China is a developing country. India is a developing country. This is the craziest deal. Anyway, I ended it and now I understand they’re going right back into it, except it’s going to be even worse than the one I ended. The deranged ideology of the Green New Deal is a massive self inflicted economic wound. It was developed by a young woman who doesn’t know a thing about the environment. She knows a lot about con jobs, but she doesn’t know about the… I wonder if she goes home, AOC plus three. You know AOC plus three? It’s AOC plus her three people. And they’re getting worse and worse and they’re hurting our country very badly. I wonder if they go home and laugh when they’re in a room together. What do you think, Sean? Do you think they go home and say “What a bunch of stupid fools.”
Traduction
« L’une des tâches les plus urgentes, non seulement pour notre mouvement, mais pour notre pays, est de vaincre de manière décisive le canular de l’hystérie climatique. L’océan monte. C’est en hausse. Il arrive. C’est dans 300 ans, nous allons gagner un centième de pouce dans l’océan et avoir un peu plus de propriété en bord de mer. Ça va être une chose terrible. Non, c’est un canular. Le tout est un total… C’est tellement fou. Donald Trump : Et d’une manière simple, la Chine a un pays très sale. L’Inde est très sale, l’air est très sale, l’eau est très sale. Au Japon même, et dans beaucoup d’autres, ils se déversent dans l’océan. La Russie a un pays très sale. Vous regardez la glace arctique, elle est noire. Ils appellent ça de la glace noire. Savez-vous comment il est devenu noir ? Usines. Nous allons donc avoir beau et propre. Le problème, c’est que l’air monte et commence à bouger. Ça bouge. L’air monte en Chine et il se déplace. Cela prend environ une semaine et demie et il se déplace à travers le Pacifique et il frappe Los Angeles. Que ce soit Los Angeles. Mais cela frappe notre pays. Et ils déversent leurs ordures dans l’océan et les marées de l’océan coulent et ils se disent devinez quoi ? Notre côte ouest. Et avez-vous jamais vu les tonnes et les tonnes et les tonnes d’ordures que nous sortons ? Donald Trump : Il vient d’Asie. Cela vient de l’Inde, de partout, beaucoup vient de Chine, c’est énorme de Chine. Ils se déversent dans l’océan. Il flotte jusqu’aux États-Unis. Et puis nous purifions notre air et nous nettoyons tout. À quel point sommes-nous stupides ? À quel point sommes-nous stupides ? Il monte et nous disons : « Il y a quelque chose qui ne va pas avec notre air. Qu’est-ce qui ne va pas ? En attendant, nos usines ne peuvent pas fonctionner. Ils veulent que nous utilisions du vent, du vent, du vent intermittent. Je dis toujours que quand je courais et que nous avons fait une grande course, nous avons fait beaucoup mieux la deuxième fois que la première fois, beaucoup, beaucoup mieux par des millions de votes, mais nous sommes en course et je dis aux petits, c’est triste, c’est une blague, mais ce n’est pas une blague. « Chérie, j’aimerais regarder le président ce soir à la télévision. » “Non, vous ne pouvez pas. Le vent ne souffle pas. Le vent ne souffle pas. Il n’y a pas de télé ce soir, ma chérie, le vent ne souffle pas. Donald Trump Et d’ailleurs, notre maison a chuté à environ 30% de la valeur parce que nous sommes près d’un moulin à vent qui fait beaucoup de bruit, tue tous nos oiseaux et ruine un paysage. À part cela, c’est une chose merveilleuse pour l’environnement. Ces gens sont fous. Mais ce sont des gens radicaux du climat et je ne crois pas qu’ils le pensent. Ils ne peuvent pas le penser parce que c’est trop facile. Ils ne peuvent pas le penser. La peur de la gauche radicale à propos du climat et de notre avenir ne fait plus seulement peur à la jeunesse américaine, elle détruit l’économie américaine, affaiblit notre société et éviscère notre classe moyenne. Cela nous fait vraiment mal. Et nous n’avons pas le pouvoir avec l’énergie verte. Je suis tout à fait pour, mais nous n’avons pas le pouvoir d’allumer nos plantes. Et je vous ai retiré du canular de l’Accord de Paris et cela nous a coûté des milliards, des milliards et des milliards de dollars. Donald Trump : Ça sonnait bien. L’Accord de Paris sur le climat, c’était le bon »
(2) Les rapports du « G.I.E.C », le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ne sont jamais signés, et l’identité de leurs auteurs n’est jamais mentionnée, ni sur les rapports eux-mêmes ni nulle part ailleurs. Donc deux questions se posent : A) Qui sont les auteurs véritables de ces rapports alarmistes ? B) Quelle est l’utilisation qui est faite par les membres du G.I.E.C., des millions d’euros de subvention alloués à son fonctionnement chaque année depuis 1988, année de sa création ?