Vous êtes amateurs de science, vous aimez ça, vous considérez que les mathématiques et les scientifiques doivent s’imposer, ça tombe bien, on a ce qu’il faut. Les émissions de CO2 d’origine anthropique, c’est-à-dire causées par l’activité humaine, ne représentent que 0,16 à 0,20 % de l’effet de serre ! En d’autres termes autant dire zéro. Pourtant, vous avez les âneries des climatistes reprises dans cette tribune du quotidien de propagande Le Monde qui nous explique qu’il faut absolument réduire la population mondiale sinon on va tous mourir.
La réalité est tout autre. L’activité humaine n’a strictement rien à voir avec la production de CO2 dans le monde. D’autant que le CO2 est très loin d’être dangereux, c’est un gaz essentiel au verdissement de la planète, un véritable engrais. Faut-il rappeler que le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau, certainement pas le CO2 ou le méthane. Faut-il également insister sur le fait qu’il y a assez de nourriture sur terre pour 12 milliards d’individus, voire plus. En d’autres termes, les arguments des malthusianistes sont totalement mensongers.
C’est l’occasion de rappeler la parution du livre Climate Terror de M. Salim Laïbi qui revient sur les mensonges grossiers de toute cette propagande qui ne repose sur aucune réalité. Tout ceci n’est rien d’autre que la manipulation des émotions en propageant la peur, c’est du terrorisme climatiste.
Principale conclusion : « Les émissions humaines de CO ₂ représentent 4 % du total, ce qui signifie que la contribution humaine totale à l’augmentation de l’effet de serre est de 0,16 % à 0,20 %, soit un effet négligeable.
L’année 2022 est marquée par l’avancée régulière et implacable du réchauffement climatique, dû à la combustion de ressources fossiles (charbon, gaz, pétrole) accompagnée de l’augmentation de la concentration du CO2 et d’autres gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère. Dans ce contexte, la priorité a longtemps été donnée à ce qui pouvait être fait pour stabiliser, voire inverser cette augmentation, afin d’atténuer le réchauffement.
Cependant, s’adapter à l’évolution climatique devient également une préoccupation majeure. Ainsi sommes-nous conduits à mener de front démarches d’atténuation et d’adaptation. Concrètement, cela revient à privilégier, au sein des démarches d’adaptation de plus en plus urgentes, celles qui vont en même temps dans le sens de l’atténuation du réchauffement climatique.
L’année 2022 est aussi celle d’une prise de conscience. La question des ressources se pose de façon brutale : en témoigne l’apparition répétée du mot « sobriété » dans le débat public.
Adéquation des ressources aux besoins
Déjà, l’enjeu des ressources alimentaires se trouvait au centre des travaux de Thomas R. Malthus, qui soulignait, en 1798, l’incapacité de la production de nourriture à augmenter à proportion de la population, et plaidait donc pour une limitation de la croissance de cette dernière. Cependant, l’explosion démographique mondiale (multipliée par 8 depuis Malthus) n’a pas produit la paupérisation massive pronostiquée ; mais l’accroissement de la productivité agricole, qui explique ce décalage, atteint aujourd’hui ses limites…
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