Il avait été beau (je crois que les médias l’ont déjà dit), raciste, homophobe, misogyne, ami de Jean-Marie Le Pen, etc.
Le 18 août 2011, le voyagiste Cuba Linda révéla qu’Alain Delon « avait volontairement choisi Cuba pour subir une opération importante pour lui ». Une information qui m’a été donnée à l’époque et dont je ne retrouve nulle trace (je fais appel aux lecteurs) m’apprit que, surpris de ne pas avoir à débourser le moindre peso pour les soins reçus, Delon, de retour en France, avait fait envoyer deux ambulances à Cuba.
« Si no es verdad, está bien compuesto » dit-on en espagnol pour une anecdote crédible, mais qui peut ne pas être vraie. Alain Delon était en effet un homme aux multiples facettes. Par conséquent, dans le peu d’espace dont je dispose ici, je ne vais ni lui ériger une statue, ni le jeter aux chiens.
Théophraste R. Contribuable français.