• sam. Sep 21st, 2024

Vers une pandémie mondiale de variole du singe ? « Big Money » derrière la « fausse science » – Les moutons enragés

ByVeritatis

Août 24, 2024


Quand le mensonge devient la vérité

Par Prof Michel Chossudovsky pour Mondialisation.ca

« Le [test] PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. »

Dr. Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019, quelques mois avant l’assaut de la crise du Covid. Voir la vidéo ci-dessous. Son héritage prévaudra.

« … La totalité ou une grande partie de ces résultats positifs pourraient être dus à ce qu’on appelle des tests de faux positifs. »

Dr. Michael Yeadon, scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

« Cette mauvaise utilisation de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un certain nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients. »

Dr.Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en anesthésie-réanimation et analyste de santé publique de renom.

Introduction

Le 23 juillet 2022, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est prononcé contre le vote majoritaire du comité d’experts de l’OMS (9 contre 6 en faveur) : Le comité était CONTRE l’appel d’une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC).

« Nous sommes face à une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier, par de nouveaux modes de transmission. », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’un point de presse à Genève samedi (23 juillet 2022).

« j’ai décidé que l’épidémie mondiale d’orthopoxvirose simienne (variole du singe) constituait une urgence de santé publique de portée internationale. »

Avec Bill Gates en arrière-plan, les preuves étaient rares, la motivation était « Moneypox ». L’objectif non avoué était de soutenir la campagne de peur.

Selon Bloomberg,

« La déclaration de Tedros … souligne les divisions au sein de l’organisation sur la gravité de la menace. L’agent pathogène provoque généralement des symptômes pseudo-grippaux, suivis d’une éruption cutanée qui commence souvent sur le visage et se propage le long du ventre. (Bloomberg)

Le 23 juillet 2022, le Dr. Tedros était visiblement en conflit d’intérêts, allant à l’encontre d’un comité de médecins et de scientifiques. L’OMS est financée par la Fondation Gates. Et Bill Gates est au premier plan. Il préconise le scénario de la variole du singe depuis 2017.

Ce que Bloomberg n’a pas mentionné, c’est la déclaration fracassante du Dr Tedros :

« Il s’agit pour l’instant d’une épidémie qui se concentre chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes » :

« Bien que je [Tedros] déclare une urgence de santé publique de portée internationale, pour le moment, il s’agit pour l’instant d’une épidémie qui se concentre chez les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, en particulier ceux qui ont plusieurs partenaires sexuels.

Cela signifie qu’il s’agit d’une épidémie à laquelle on peut mettre fin en appliquant les bonnes stratégies dans les bons groupes.

Il est donc essentiel que tous les pays travaillent en étroite collaboration avec les communautés d’hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes, dans le but de concevoir et de fournir des informations et des services efficaces, et d’adopter des mesures qui protègent la santé, les droits humains et la dignité des communautés touchées.

La stigmatisation et la discrimination peuvent être aussi dangereuses que n’importe quel virus.

Outre nos recommandations aux pays, j’appelle également les organisations de la société civile, y compris celles qui ont l’expérience d’actions menées auprès des personnes vivant avec le VIH, à travailler avec nous pour lutter contre la stigmatisation et la discrimination. »  (who.int/fr, soulignement ajouté)

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2022 PHEIC (Urgence de santé publique de portée internationale) : L’OMS se réveillera-t-il ?

Ma question au Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus : Où est la science ? Où sont les données ?

Il y a une longue histoire de transmission virale concernant l’agent pathogène de la variole du singe qui remonte aux années 1950. La transmission d’homme à homme (MSH) n’est pas corroborée par des rapports examinés par des pairs publiés avant l’épidémie de MSM ALLÉGUÉE de mai 2022 annoncée par Tedros le 23 juillet 2022.

Comme indiqué dans l’annexe (à la fin).

Les représentants de l’Espagne, du Canada, du Royaume-Uni, des États-Unis et du Nigéria à la réunion de l’OMS ont déclaré : « sur la situation épidémiologique dans leurs pays et leurs efforts d’intervention actuels ».

« Bien que quelques cas soient survenus chez des enfants et une femme enceinte, 99 % sont liés à un contact sexuel d’homme à homme. »

Je dois mentionner que ces déclarations de 99 % de MSM n’étaient pas confirmés par des données statistiques. À l’exception du Nigéria, ils constituent un appui politique des représentants de l’Espagne, du Canada, du Royaume-Uni et des États-Unis de la déclaration de 99 % MSH de Tedros, qui a servi à promouvoir une urgence de santé publique (PHEIC) au nom de la communauté LGBT.

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Analyse de la variole du singe Bill Gates

Est-ce que le Dr Tedros a consulté son mentor Bill Gates avant de faire cette déclaration décisive de 99 % MSM ?

Vous trouverez ci-dessous un résumé des déclarations et initiatives de Bill Gates qui remontent à la Conférence de Munich 2017, qui ont contribué à la campagne de la peur.

Bill Gates est impliqué dans les questions de la variole du singe depuis plusieurs années. Lors de la Conférence sur la sécurité de Munich en 2017, il a prédit que :

« La prochaine épidémie pourrait prendre naissance sur l’écran d’ordinateur d’un terroriste ayant l’intention d’utiliser le génie génétique pour créer une version synthétique du virus de la variole […] ou une souche super contagieuse et mortelle de la grippe. » (Conférence sur la sécurité de Munich, février 2017, soulignement ajouté)

Et puis en décembre 2020, parrainé par Bill Gates et consorts, une simulation d’une pandémie de variole du singe a été envisagée par la Nuclear Threat Initiative (NTI), une organisation à but non lucratif fondée par l’ancien sénateur américain Sam Nunn et le philanthrope Ted Turner.

Quelques mois plus tard, une simulation de table [Table Top Simulation] d’un « scénario d’exercice fictif » d’une pandémie mondiale « impliquant une souche inhabituelle de virus de la variole du singe » a été présentée par la NTI lors de la Conférence de sécurité de Munich en mars 2021.

En novembre 2021, dans une interview télévisée avec Jeremy Hunt, Bill Gates a averti les gouvernements de se préparer à des attaques terroristes simultanées de variole dans 10 aéroports :

« Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? (soulignement ajouté)

.Retour en arrière en 2024

14 août 2024 : La variole du singe : une urgence de santé publique mondiale (PHEIC)

Cadre stratégique pour l'amélioration de la prévention et du contrôle de la mpox - 2024-2027

Dr Tedros « récidive ».

Le 14 août 2024, le directeur général de l’OMS a appelé une fois de plus à une urgence de santé publique mondiale pour la variole du singe (PHEIC). La justification est une prétendue « épidémie majeure » en République démocratique du Congo, qui, selon l’OMS, s’est propagée aux pays voisins.

Lors d’une conférence de presse précédant l’annonce officielle du 14 août, le directeur général de l’OMS, Tedros (9 août 2024), a décrit la crise de la variole du singe comme suit :

« Depuis le début de cette année, la République démocratique du Congo connaît une grave épidémie de Mpox, avec plus de 14 000 cas signalés et 511 décès.

Au cours du dernier mois, environ 50 cas confirmés et plus suspects ont été signalés dans quatre pays voisins de la RDC qui n’ont jamais été signalés auparavant : le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l’Ouganda.

Les épidémies de Mpox sont causées par différents virus appelés clades. Le clade 1 circule en RDC depuis des années, tandis que le clade 2 était responsable de l’épidémie mondiale qui a commencé en 2022.

L’OMS a élaboré un plan d’intervention régional, nécessitant 15 millions de dollars américains pour soutenir les activités de surveillance, de préparation et d’intervention.

Nous avons débloqué 1 million de dollars américains du Fonds d’urgence de l’OMS pour les urgences pour soutenir l’augmentation de la réponse, et nous prévoyons d’en débloquer d’autres dans les prochains jours.

Il y a deux vaccins contre la mpox qui ont été approuvés par les autorités réglementaires nationales répertoriées par l’OMS, et qui sont recommandés par le Groupe consultatif stratégique d’experts de l’OMS sur la vaccination, ou SAGE. » (soulignement ajouté)

Alors que le Dr. Tedros fait référence à la surveillance, ce qu’il ne mentionne pas est la « détection ».

Ce qui est utilisé pour détecter le mpox (variole simienne), c’est le test de réaction en chaîne de la polymérase (PCR) qui a été mis en oeuvre à partir de janvier 2020 pour « détecter » le virus Covid-19 (à savoir le SRAS-CoV-2). Ce même test PCR est maintenant utilisé pour détecter le virus de la variole du singe.

Le test PCR en temps réel n’identifie pas le virus, il détecte les séquences génétiques.

L’avis des CDC de juillet 2021 concernant les échecs du test RT-PCR se lit comme suit :

« Les CDC fournissent cet avis préalable aux laboratoires cliniques pour qu’ils aient suffisamment de temps pour choisir et mettre en œuvre l’une des nombreuses alternatives autorisées par la FDA. »

« Le CDC encourage les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui peut faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et de la grippe ».

À compter du 31 décembre 2021, les CDC ont retiré la demande de la FDA concernant la détection du SRAS-CoV-2.

L’inventeur du test PCR, le défunt lauréat du prix Nobel Dr. Kary Mullis,[photo à droite] confirme les caractéristiques du test PCR :

« La PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. »

Le « Test » PCR ne peut pas détecter l’identité du virus, ni détecter ses variants et sous-variants.

Le regretté Dr Kary Mullis. Son héritage restera gravé dans les mémoires. 

Détection du virus de la variole du singe

Et maintenant, les CDC ont examiné une procédure « utilisée pour la détection de l’ADN du virus Monkeypox dans des échantillons cliniques par PCR en temps réel » :

« Ce test [RT-PCR] détecte l’ADN à des concentrations variables, fournissant un résultat qualitatif positif, négatif ou non concluant dans l’identification des infections par le virus de la variole singe. » (CDC)

Il convient de noter que malgré le fait que les CDC et l’OMS ont remis en question la validité du test PCR, il est maintenant utilisé pour « détecter l’agent pathogène de la variole du singe ».

Si vous testez RT-PCR positif pour la variole du singe, il peut être classé par erreur  comme un cas confirmé « positif » de  Covid et vice versa.

Polyvalence du test RT-PCR ! Tout est possible.

Acteurs de la pandémie en République démocratique du Congo

Cepheid, une grande entreprise pharmaceutique soutenue par la Fondation Bill et Melinda Gates, a joué un rôle central dans la « détection » du virus de la variole du singe à l’aide du même test de réaction en chaîne de la polymérase (PCR) que dans le cas du Covid-19.

Le système GeneExpert de Cepheid a été appliqué en 2021 au traitement du test PCR pour les « cas confirmés » de Covid 19 dans 133 pays, classé sous « Respiratoire ».

« Le test GeneXpert est essentiellement une version automatisée de l’amplification et de la détection standard de la PCR en temps réel (réaction en chaîne de la polymérase) »

Cepheid applique maintenant la technologie GeneExpert System en RDC pour traiter le test PCR pour la détection des cas confirmés du virus présumé de la variole du singe, dans la catégorie :

TB. Virologie et maladies infectieuses émergentes. Le test PCR mpox est considéré comme spécifique en ce qui concerne les écouvillons : le matériau des lésions cutanées est l’échantillon recommandé.

Beaucoup d’argent derrière la « fausse science »

La société mère de Cepheid est Donaher Corp. Les principaux investisseurs de Donaher sont les sociétés du portefeuille (BlackRock, Vanguard, State Street, Wellington Management Group).

Bill Gates, en tant qu’investisseur, joue un rôle important dans Donaher. (Gates Foundation Holdings)

Dans la présentation du Dr Tedros (14 août 2024), l’OMS confirme qu’elle a alloué 15 millions de dollars « pour soutenir les activités de surveillance, de préparation et d’intervention », qui seront en grande partie menées par Cepheid (PCR GeneExpert Technology).

« Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, « les personnes atteintes de mpox ont souvent une éruption cutanée qui peut être située sur [les] mains, les pieds, la poitrine, le visage ou la bouche ou près des organes génitaux ».

L’éruption cutanée peut passer par différents stades et peut ressembler à des boutons ou à des ampoules, a déclaré le CDC.

D’autres symptômes peuvent inclure de la fièvre, des maux de tête, des frissons, une faiblesse physique, un gonflement des ganglions lymphatiques, des douleurs musculaires ou dorsales et/ou des symptômes respiratoires, selon les autorités sanitaires européennes et américaines.

Un rapport de situation de l’OMS plus tôt cette semaine a déclaré que le symptôme le plus fréquemment signalé est une éruption cutanée, suivie d’une fièvre et d’une éruption cutanée systémique ou génitale.

Le virus peut se propager par contact direct avec des animaux sauvages infectés ou par contact étroit avec une personne infectée, y compris le contact sexuel, qui est la forme de transmission la plus fréquemment signalée à l’échelle mondiale. » (EuroNews, soulignement ajouté)

Les contradictions dans les données pour la RDC, sans parler de l’utilisation du test PCR sous les auspices de Cepheid appliquée à Monkeypox TB. La virologie et les maladies infectieuses émergentes conduisent de manière indélébile à des résultats incompréhensibles.

Il pourrait s’agir de cas de mpox ou de « quelque chose d’autre », y compris la grippe ou la corona A, B ; sans parler du SRAS-CoV-2.

En l’absence d’un diagnostic médical par un professionnel de la santé, ces « cas confirmés » de mpox sont invalides.

Selon un récent rapport d’EuroNews, la propagation du virus du clade II :

« a été motivé par le contact sexuel principalement entre les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, tandis que clade I a été documenté pour la première fois comme étant la dernière propagation sexuelle »

Pourtant, un examen des données officielles de la RDC réfute le récit des HSM. Il indique que la plupart des soi-disant « cas positifs » PCR (MPXV) sont des enfants (données pour 2024). Voir le tableau 1 ci-dessous.

  • Les enfants continuent de représenter le groupe d’âge le plus touché (tableau 1) ; sur les 7 851 cas de pox signalés, 39 % ont été signalés chez des enfants de moins de 5 ans (n=3 090),
  • le pourcentage d’enfants de moins de 15 ans est de 67 %.
  • Pour tous les groupes d’âge (Figure 3 ci-dessous), hommes 59 %, femmes 41 %

Tableau 1. Répartition par âge des cas et des décès de la poxine déclarés en République démocratique du Congo, du 1er janvier au 26 mai 2024 (n=7 851).

La composition âge-sexe provenant de sources nationales officielles ; (m 852). 505 hommes, 347 femmes.

Figure 3. Répartition par âge et sexe des cas confirmés de mpox, République démocratique du Congo, du 1er janvier au 26 mai 2024 (n=852*)

*142 cas confirmés avec des données manquantes sur l’âge et le sexe

Michel Chossudovsky

Lien vers l’article original:

 Towards A Worldwide Monkeypox Pandemic? Big Money behind “Fake Science” 19 août 2024

Ce lien suivant donne accès à la version mise à jour en anglais de la pandémie mondiale de la variole du singe publiée par Global Research le 17 août 2024.

***

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

Annexe 

Urgence mondiale, situation chaotique à l’OMS. Dr. Tedros : L’épidémie de variole du singe « chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes ». L’estimation douteuse de 99%

Première publication le 1er août 2022

Il se passe quelque chose de bizarre au siège de l’OMS à Genève. Le samedi 23 juillet 2022, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il a déclaré uneurgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) concernant le virus de la variole du singe.

Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus a pris cette décision de manière unilatérale, contre un vote majoritaire de la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) (RSI) (9 contre, 6 en faveur) qui s’est tenue le jeudi 21 juillet 2022 à Genève (de 12h00 à 19h00, heure de Genève CEST), deux jours avant la conférence de presse du Dr Tedros qui a eu lieu le samedi 23 juillet 2022 :

« Nous avons une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier grâce à de nouveaux modes de transmission… J’ai décidé que l’épidémie mondiale de variole du singe représente une urgence de santé publique de portée internationale. »

Tedros avait-il le soutien de ses collègues ? Est-il en conflit d’intérêts ? Selon Bloomberg :

« La déclaration de Tedros … souligne les divisions au sein de l’organisation sur la gravité de la menace. L’agent pathogène provoque généralement des symptômes semblables à ceux de la grippe, suivis d’une éruption cutanée qui commence souvent sur le visage et se répand sur le ventre. (Bloomberg, c’est nous qui soulignons).

Ce que Bloomberg a omis de mentionner, c’est la déclaration fracassante du Dr Tedros :

« Une épidémie qui se concentre chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes » :

« Bien que je [Tedros] déclare une urgence de santé publique de portée internationale, il s’agit pour l’instant d’une épidémie concentrée chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en particulier ceux qui ont des partenaires sexuels multiples.

Cela signifie qu’il s’agit d’une épidémie qui peut être arrêtée avec les bonnes stratégies dans les bons groupes.

Il est donc essentiel que tous les pays travaillent en étroite collaboration avec les communautés d’hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, pour concevoir et fournir des informations et des services efficaces, et pour adopter des mesures qui protègent la santé, les droits de l’homme et la dignité des communautés touchées.

La stigmatisation et la discrimination peuvent être aussi dangereuses que n’importe quel virus.

Outre nos recommandations aux pays, j’appelle également les organisations de la société civile, notamment celles qui ont l’expérience du travail avec les personnes vivant avec le VIH, à collaborer avec nous pour lutter contre la stigmatisation et la discrimination.

(c’est nous qui soulignons)

Où est la science ? Quelles sont les implications ?

N’oubliez pas qu’il s’agit d’une décision personnalisée du Dr Tedros, au mépris de la décision du Comité RSI de NE PAS mettre en œuvre un PHEIC au nom des 194 États membres de l’OMS.

La déclaration ci-dessus constitue-t-elle un empiètement aux droits fondamentaux de la communauté LGBT qui fait actuellement l’objet de mesures d’urgence ? Selon les termes du rapport du comité d’urgence du RSI cité ci-dessous :  » les interventions [sont] ciblées sur ce segment de la population [LGBT] « .

L’appel d’un PHEIC a déjà ouvert la boîte de Pandore.

Cinq jours après l’annonce de Tedros, le maire de San Fransisco a déclaré un « état d’urgence ».

Des mesures d’urgence sont envisagées dans d’autres grandes villes américaines.

Avant de procéder à un examen détaillé du rapport de l’OMS, quelques mots sur l’ »histoire » de la pandémie de variole du singe qui se profile.

[…]

Lire la suite :

Urgence mondiale, situation chaotique à l’OMS. Dr. Tedros : L’épidémie de variole du singe « chez les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes ». L’estimation douteuse de 99%

Article original en anglais :

“Factual Chaos” at the WHO? Dr. Tedros: Monkeypox Outbreak Is “Among Men Who Have Sex with Men”

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (1979, 1983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à

cr*******@ya***.com











Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca 

La source originale de cet article est https://www.globalresearch.ca/towards-a-worldwide-monkeypox-pandemic-big-money-behind-fake-science/5865436

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, https://www.globalresearch.ca/towards-a-worldwide-monkeypox-pandemic-big-money-behind-fake-science/5865436, 2024

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