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Le mensonge de Ben Gourion

ByVeritatis

Août 29, 2024


par Pierre Simon

«Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour» – Proverbe juif

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Le but ultime de la fausse pandémie COVID-19 de même que la fausse urgence climatique est de mettre progressivement en place un gouvernement mondial unique. La peur habilement gérée par les médias est le catalyseur essentiel du changement de paradigme escompté par la ploutocratie juive au pouvoir. De fait, comme l’a admirablement bien expliqué Naomi Klein, dans son livre «La Stratégie du choc : La Montée d’un capitalisme du désastre», «les sociétés en état de choc abandonnent des droits que, dans d’autres circonstances, elles auraient jalousement défendus». Un constat partagé par le cabaliste juif Jacques Attali, dans sa chronique du 6 mai 2009 du magazine français L’Express : «grâce à la peur, nous en viendrons alors, beaucoup plus rapidement que la seule raison économique ne l’aurait permis, à jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial». Attali souhaiterait, en outre, que le centre du pouvoir juif soit situé en Israël et que la capitale du monde soit Jérusalem. Selon le rabbin Menachem Froman :

«Jérusalem doit devenir la capitale du monde. N’est-il pas normal que Jérusalem soit le siège des organes culturels des Nations unies, des organisations de défense des droits de l’homme, des forums scientifiques ? N’est-il pas juste que Jérusalem soit le lieu où les membres de toutes les religions se réunissent pour renoncer à leur reproduction des préjugés, de l’hostilité et de la guerre ?»

À l’instar de Jacques Attali et du rabbin Menachem Froman, l’ancien Premier ministre d’Israël (1948) David Ben Gourion (1886-1973) prétendait lui aussi que le destin des juifs et d’Israël était d’être à la tête d’une alliance mondiale, à la disposition de laquelle se trouvera une force de police internationale. Toutes les armées seront abolies et il n’y aura plus de guerres. À Jérusalem, les Nations unies (une vraie ONU) construiront un sanctuaire des prophètes… qui servira de fédération de tous les continents ; il sera le siège de la Cour suprême de l’humanité, où seront réglées toutes les controverses des continents fédérés, comme l’a prophétisé Isaïe.

Cette Cour est déjà en place sous la forme de la Cour suprême d’Israël (voir image ci-dessus), qui deviendra la Cour suprême de l’humanité créée par David ben Gourion. Ce bâtiment conçu à dessein et couvert de signes maçonniques et égyptiens a été offert par Dorothy de Rothschild pour une somme non divulguée et inauguré en 1992. Les Rothschild, Isaac Rabin et les concepteurs figurent sur le tableau qui orne l’entrée du bâtiment. Sur le toit de cet immeuble se trouve l’œil de Lucifer et la pyramide des Illuminati que l’on retrouve également sur les billets de banque américains d’un dollar et, depuis 2016, sur les billets ukrainiens de 500 hryven.

C’est le président américain Franklin Delano Roosevelt, franc-maçon du 32ème degré, qui a ordonné l’impression du sceau sur les billets américains d’un dollar en 1933. Ce sceau symbolise le fait que l’Amérique sera dirigée par les juifs, quel que soit le président.

L’année MDCCLXXVI sur la pyramide correspond à 1776, date de la fondation de l’Ordre des Illuminati, mais aussi de la proclamation de la République américaine.

La pyramide représente la conspiration visant à établir un gouvernement mondial. L’œil qui voit tout symbolise la police secrète que l’Illuminati Weishaupt appelait les «frères insinuants».

Annuit Coeptis signifie «Il a acquiescé à (nos) plans».

Novus Ordo Seclorum signifie «nouvel Ordre mondial»

Si vous pensiez que les Illuminati n’étaient qu’une légende ou une vague théorie du complot antisémite, détrompez-vous. Les images ci-incluses sont la preuve concrète de leur existence. Ils n’opèrent plus sous ce nom, mais tous ceux qui partagent leurs objectifs sont de facto des «Illuminati» même s’ils n’en ont pas le nom. Dans cette version des choses, le terme «Illuminati» est donc un synonyme de «globaliste», «nouvel ordre mondial», «sionisme» et «pouvoir juif». Ainsi, les objectifs de l’Illuminati Adam Weishaupt, le fondateur bien réel de cette secte financée par les Rothschild, correspondent dans les grandes lignes à ceux de l’Agenda 2030 du Forum économique mondial de Klaus Schwab :

1. Abolition de tous les gouvernements nationaux ;

2. Abolition de la propriété privée ;

3. Abolition du patriotisme ;

4. Abolition de l’héritage ;

5. Abolition de la famille ;

6. Abolition de la religion ;

7. Création d’un gouvernement mondial.

Le rôle de la franc-maçonnerie

Cette guilde fondée sur le Talmud et les principes ésotériques du judaïsme cabalistique tirés du Zohar est aussi fortement impliquée dans ce projet. Cette société, plus ou moins secrète dirigée par le B’naï B’rith, une guilde maçonnique strictement réservée aux juifs, est l’un des principaux instruments utilisés par les juifs pour atteindre leurs objectifs. C’est par le biais des milliers de guildes franc-maçonnes à travers le monde qu’ils recrutent des alliés, pour la plupart non juifs, qui les aideront consciemment ou, la plupart du temps, inconsciemment, à atteindre leurs objectifs. De nombreux politiciens juifs et non juifs de haut niveau sont francs-maçons. La franc-maçonnerie a adopté le symbolisme des tailleurs de pierre, notamment le plomb, le tablier, l’équerre et le compas, comme un indice subtil de son véritable objectif, la reconstruction du troisième temple de Salomon à Jérusalem, un événement majeur qui couronnerait la domination hégémonique des juifs et l’accomplissement de la prophétie biblique.

Monument à la Franc-maçonnerie situé à Jérusalem

Est-ce une bonne chose pour l’humanité ? Approchons-nous du paradis terrestre tant attendu par les millénaristes de tous bords ? Allons-nous enfin recréer le fameux jardin d’Eden prophétisé dans l’eschatologie des religions ? Pas tout à fait, non, c’est peut-être une bonne chose, mais pas pour tout le monde.

Dans le judaïsme, petit inconvénient pour tous les non-juifs, seuls les juifs sont humains. Dans les paroles des Prophètes, et aussi dans les paroles des sages juifs, les gentils [non-juifs ou goyim] sont considérés comme des animaux. Le statut des Gentils dans la Halacha [loi religieuse juive] est similaire à celui des animaux à bien des égards et, d’une manière générale, il n’y a pas de réelle distinction entre eux… On ne peut échapper aux faits : la Torah d’Israël fait une distinction claire entre un juif, qui est défini comme un «homme», et un gentil. Cette distinction est exprimée dans une longue liste de lois halakhiques [règles de conduite pratiques issues de l’interprétation juridique de la Bible hébraïque], qu’il s’agisse des lois monétaires, des lois du Temple, des lois sur le capital ou autres.

Concrètement, comme le dit dans son sermon hebdomadaire du samedi soir, en octobre 2010, le très aimé rabbin sépharade d’Israël, Ovadia Yosef, décédé en 2013,

Les goyim [non-juifs] sont nés uniquement pour nous servir. Sans cela, ils n’ont pas leur place dans le monde – uniquement pour servir le peuple d’Israël.

En Israël, la mort n’a pas d’emprise sur eux… Avec les goyim, ce sera comme avec n’importe quelle personne – ils doivent mourir, mais [Dieu] leur donnera la longévité. Pourquoi ? Imaginez que l’âne de quelqu’un meure, qu’il perde son argent.

C’est son serviteur… C’est pourquoi il aura une longue vie, pour bien travailler pour ce juif.

Pourquoi a-t-on besoin des gentils ? Ils travailleront, ils laboureront, ils récolteront. Nous nous assiérons comme un effendi et nous mangerons… C’est pourquoi les gentils ont été créés.

Ce ne sont pas des paroles en l’air. Ce grand sage juif suit tout simplement un passage de la Bible hébraïque trouvé dans le livre d’Isaïe (61:5-6). Jusqu’à sa mort en 2013, Ovadia Yosef, qui fut pendant trente ans une autorité religieuse très respectée et écoutée par les dirigeants israéliens, y compris le premier ministre d’Israël Benjamin Netanyahou, était l’incarnation par excellence de la pensée rabbinique (talmudiste) qui prévaut aujourd’hui en Israël et dans la diaspora juive. À la mort de Yosef en 2003, 800 000 Israéliens ont assisté à ses funérailles, les plus importantes de l’histoire d’Israël. Dans son édition du 7 octobre 2013, le Times of Israël a qualifié Yosef de «géant de la pensée juive». À notre connaissance, aucun rabbin, aucune personnalité juive, aucun homme politique juif n’a contesté ses propos.

Le mensonge de Ben Gourion

Il y a donc tout lieu de croire, jusqu’à preuve du contraire, que l’aspect humanitaire et philanthropique du nouvel ordre mondial évoqué ci-dessus par l’ancien Premier ministre d’Israël David Ben Gourion n’est qu’un masque que les juifs enlèveront au dernier moment, lorsque leur projet de domination planétaire sera, ou leur semblera enfin réalisé. De fait, leur vision est bien plus vaste qu’un simple gouvernement mondial unique. Leur véritable vision est une «utopie juive» où toutes les richesses du monde seront détenues par les juifs et où toutes les nations de la Terre leur seront soumises, ainsi qu’à leur «Dieu». Selon l’éminent journaliste et écrivain juif Israël Shamir, le but ultime d’Israël, est de détruire toutes les civilisations du monde et de les remplacer par une seule civilisation juive dirigée par décret divin par un gouvernement mondial théocratique.

La Palestine n’est pas l’objectif ultime des juifs, c’est le monde qui l’est. Les juifs ont l’intention de faire de Jérusalem la capitale suprême du monde, et de son temple reconstruit le point central de la Terre… Le christianisme mourra, l’esprit quittera les nations de notre partie du monde, et notre démocratie douteuse actuelle sera supplantée par un vaste État théocratique… Les États théocratiques ne sont pas agréables à vivre, mais l’État théocratique juif sera considérablement pire, car les gentils ordinaires n’auront aucune part dans son gouvernement et aucun accès à sa spiritualité. Déspiritualisés et déracinés, sans abri et solitaires, les maîtres du monde d’hier deviendront des esclaves.

Selon cette version des choses, doit-on s’inquiéter du caractère hégémonique, révolutionnaire, voire tyrannique et génocidaire du judaïsme politique ? Sans aucun doute. Le peuple élu a en effet montré qu’en matière de vengeances, de tortures, d’assassinats de masse et de génocides, il n’a rien à envier à personne. L’un des plus grands meurtriers de l’histoire est le juif Genrikh Yagoda, chef adjoint de la police bolchévique, l’infâme Tchéka. Yagoda est responsable de la mort d’environ dix millions de personnes. C’est lui et ses hommes de main juifs qui ont mis en place le système des goulags en URSS ayant fait des millions de morts,,. Les grands médias occidentaux ne parlent jamais de ces crimes contre l’humanité, car ils n’aiment parler que du prétendu gazage de 6 millions de juifs. Il existe des musées de l’holocauste pour les 6 millions de juifs partout dans le monde, mais pas un seul musée de l’holocauste pour les 30 millions de Russes qui furent tués par les communistes de l’Union soviétique dirigés entre autres par des juifs comme G. Yagoda.

En définitive, à voir l’armée «la plus morale au monde» exterminer sans complexes, le sourire aux lèvres, aux vus et au su de la planète entière, les Palestiniens de Gaza, il est plus que temps de se poser de sérieuses questions.

S’il vous plaît, M. Attali, rassurez-nous à ce sujet, il s’avère que les juifs lorsqu’ils sont capturés par leurs ambitions hégémoniques, «peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands connus de l’histoire moderne».,

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