https://fr.sputniknews.africa/20240901/mercenaires-francophones-en-ukraine-les-civils-alertent-sur-leur-augmentation-1068099166.html
Mercenaires francophones en Ukraine: les civils alertent sur leur augmentation
Mercenaires francophones en Ukraine: les civils alertent sur leur augmentation
Sputnik Afrique
“Ces derniers temps, nous entendons de la part de civils qu’il y a beaucoup de parlé français. Ce sont soit des Français, soit des ressortissants de pays… 01.09.2024, Sputnik Afrique
2024-09-01T12:47+0200
2024-09-01T12:47+0200
2024-09-01T12:47+0200
donbass. opération russe
mercenaires
ukraine
russie
kharkov
france
francophonie
pologne
allemagne
roumanie
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/102278/24/1022782496_0:5:460:264_1920x0_80_0_0_c784f58b042634ce471f793355542c8e.jpg
Faute de parler russe, les mercenaires ne communiquent pas avec les habitants “à part quand ils volent, violent ou kidnappent quelqu’un”, a tranché Vitali Gantchev. Le haut responsable a également révélé la présence de mercenaires polonais, roumains, allemands, ainsi que de noirs dans la région sans pour autant donner leur nombre exact.
ukraine
russie
kharkov
france
pologne
allemagne
roumanie
2024
Actus
fr_FR
https://cdn1.img.sputniknews.africa/img/102278/24/1022782496_52:0:409:268_1920x0_80_0_0_88164cf91e00a59cad5b7642a6d0c7bb.jpg
mercenaires, ukraine, russie, kharkov, france, francophonie, pologne, allemagne, roumanie
mercenaires, ukraine, russie, kharkov, france, francophonie, pologne, allemagne, roumanie
“Ces derniers temps, nous entendons de la part de civils qu’il y a beaucoup de parlé français. Ce sont soit des Français, soit des ressortissants de pays francophones”, a déclaré à Sputnik le chef de l’administration russe de la région de Kharkov.
Faute de parler russe, les mercenaires ne communiquent pas avec les habitants “à part quand ils volent, violent ou kidnappent quelqu’un”, a tranché Vitali Gantchev.
Le haut responsable a également révélé la présence de mercenaires polonais, roumains, allemands, ainsi que de noirs dans la région sans pour autant donner leur nombre exact.
“Ils sont toujours là et continuent leurs actions criminelles”, conclut-il.