Aphorismes devant la piscine, par Lotfi Hadjiat

Les choses ont-elles un sens ou est-ce nous qui leur donnons du sens ?

 

L’indifférence du monde à nos souffrances, aux souffrances abyssales de l’humanité, nous incline à penser que ce monde n’a pas de sens, ou pire, que nos souffrances n’ont pas de sens.

 

Voilà ce qu’on cherche toute notre vie, le sens de nos souffrances.

 

Les plus épouvantables massacres mille fois, dix mille fois répétés montrent, peut-être, qu’ils n’ont aucun sens, car l’homme ne peut ou ne veut en tirer aucune leçon, ni aucune sagesse.

 

Lutter contre une tyrannie a du sens, mais lutter contre une tyrannie qui tue le sens, le subvertit, le pervertit de mille manières, le dissout et l’annihile, a encore plus de sens.

 

Les souffrances de l’humanité n’auront un sens que lorsque les criminels seront enfin jugés. Et condamnés.

 

Plus que la vérité, c’est la justice qui donne du sens aux choses.

 

Notre monde a sombré dans une injustice si abominablement cruelle et brutale que la moindre manifestation de justice est perçue comme une intervention divine, un miracle.

 

Glorifier le génocide, le sacraliser, le sanctifier, voilà l’eschatologie juive, de Josué à Netanyahu, en passant par Khraïm Korchiass – on parle ici du génocide des Goyim.

 

N’avoir aucuns remords pour son crime, ni aucune honte, en être même fier… Y a-t-il plus profond égarement… ?

 

L’égarement n’a pas de limites et les sarcasmes et le cynisme des Français n’empêcheront pas leur disparition par grand remplacement. Même s’ils boutaient hors de France les grands remplaçants et leurs commanditaires, la nature n’en ferait pas moins disparaître les Français, par manque de natalité tout simplement. Faut-il être idiot pour ne pas le comprendre. Le premier animal venu le comprend. Nonobstant, le dernier français disparaîtra grand-remplacé en traitant tout le monde de cons ! Que les Françaises ne veuillent pas faire des bébés avec ces crétins ricanant bouffis d’arrogance est somme toute bien compréhensible. Tout compte fait, qu’elle crée ou qu’elle fasse disparaître, la nature fait bien les choses, même quand elle châtie. Célébrons donc la nature, et avec la langue française la plus châtiée.

 

Les égarés veulent saisir la vie avec des millions, des milliards d’euros sur leurs comptes. Ou veulent piéger et contrôler la vie par la science. Ou veulent tirer profit maximal de la vie par les plaisirs charnels. Les bien guidés veulent seulement communier avec la vie. Et puis il y a ceux qui s’interdisent cette communion, les musulmans.

 

Il ne faut pas haïr la vie. Haïr plutôt les hommes.

 

Satan est décidément au stade terminal de sa déchéance. Il y avait au moins avec le coronavirus cette notion de « couronne », propice aux interprétations eschatologiques, mais avec la variole du macaque sodomite… Et je ne vous parle pas de la bite de l’événement, non, pas la « bête ». Demandez à l’étincelante Alba Venturat, elle vous éclairera.

 

La satanisation radicale de l’Occident entraîne, en réaction, symétriquement, la talibanisation des musulmans… comme les deux faces d’une même pièce qui roule vers l’Enfer… Il y a pourtant une troisième voie, l’hérésie. Le salut par l’hérésie…

 

Je me réjouis vraiment de l’alliance des trois mousquetaires de l’Apocalypse, Elon, Donald et Robert, qui disent vouloir inconditionnellement anéantir l’État profond. Tout en soutenant inconditionnellement Israël. Il faudrait quand même leur dire que le lien entre l’État profond et Israël est plutôt mastoc…

 

Pour les sataniques, l’hérésie qui leur est la plus insupportable c’est la vertu incarnée jusqu’à la mort. Pour le musulman, est vue comme hérésie la vertu par-delà les dogmes, ou pire, contre les dogmes.

 

À sa naissance, l’islam, dans ses tous premiers versets, était pleinement spirituel, les toutes premières sourates révélées étaient même incroyablement poétiques et musicales. Puis, les sourates devinrent plus politiques que spirituelles, puis, elles devinrent entièrement politiques. Attribuer à l’archange Gabriel des paroles spirituelles et poétiques est envisageable – et je l’envisage tout à fait – mais lui attribuer des paroles politiques est indigne.

 

De quelque côte qu’on le prenne, tourner autour d’une pierre noire c’est de l’idolâtrie. Al Hallâj avait raison. Mais aujourd’hui, cette idolâtrie tourne à l’infamie en engraissant des milliardaires débauchés déjà bien gras.

 

L’islam est devenu un trou noir qui ne laisse plus passer la lumière. Malheureusement, ce trou noir veut s’imposer partout, et singulièrement en Europe. Seule la lumière divine pourra détruire ce trou noir.

 

Les patriotes qui prennent partie pour Israël contre l’État profond destructeur de patries et contre l’islam politique seraient avisés de prendre en compte le fait que et Israël et l´islam politique ne seraient rien sans l’État profond. Ces crétins de patriotes seraient avisés de combattre les trois têtes de ce cerbère. Car on ne peut pas combattre deux têtes (État profond et islam politique) tout en faisant ami-ami avec la troisième tête (Israël). Allez leur expliquer…

 

L’authentique vertu est toujours hérétique.

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