Mattel s’enfonce dans le pathos, et dévoile sa première Barbie souffrant du diabète


Mais que fait-on de nos enfants ?

Rien ne va plus dans le monde de l’enfance et du jouet, ou légèreté et insouciance devraient être les maitres mots. Après la terrible époque du covid, et ses masques, l’isolement, et la culpabilisation de nos chères têtes blondes, qui auront marqué toute une génération, Mattel annonce ce mardi le lancement de la toute première poupée Barbie souffrant d’un diabète de type 1 (non ce n’est pas une blague), là pour « renforcer le sentiment d’inclusion et d’empathie » autour d’une pathologie qui touche des millions d’enfants dans le monde, selon le fabricant américain de jouets.

« Chez Mattel, nous sommes conscients du rôle puissant que Barbie joue dans la construction des premières perceptions du monde chez les enfants », affirme Krista Berger, vice-présidente de la marque Barbie, oubliant malheureusement que l’enfance se doit d’être un ilot d’insouciance, où culpabilité et responsabilisation n’ont pas leur mot à dire.

Après les poupées non genrées « Creatable World », puis transgenre « Laverne Cox », les poupées en fauteuil roulant avec des prothèses, Mattel s’enfonce dans le pathos. Quand les arrêtera-t-on ? Devrons nous interdire purement et simplement ces jouets, ou sensibiliser des parents que la propagande américano-californienne à déjà complètement lavé le cerveau, au point de ne pas comprendre que les jouets pour enfants ne sont pas là pour déconstruire, mais pour épanouir.

« En élargissant notre gamme et en incluant des poupées avec des conditions médicales comme le diabète de type 1, nous pouvons représenter la communauté diabétique et poursuivre notre mission de rendre le jeu plus inclusif, afin que chaque enfant puisse se reconnaître dans les histoires qu’il imagine et dans les poupées qu’il aime », se doit-elle d’ajouter d’une manière malsaine.

« Le fait de pouvoir maintenant voir des poupées Barbie atteintes de diabète de type 1, et de recevoir une poupée Barbie qui me ressemble, avec ses patchs visibles, est à la fois surréaliste et spécial »… C’est le moins que l’on puisse dire. Ces gens sont fous.





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