Le témoignage de ce journaliste français blessé par l’armée sioniste et laissé pour mort, abandonné par le milieu politico-parisien est terrible. Il donne des leçons d’humanisme aux Sansal et autres Daoud, corrompus par le sionisme. Il pointe l’hypocrisie de cette caste putride qui n’a pas levé le petit doigt pendant qu’il se vidait de son sang. Alors qu’elle multiplie les déclarations belliqueuses contre l’Algérie pour défendre ses pions !
Jacques-Marie Bourget revient également sur le prix Goncourt qui est devenu, selon lui, une arme politique et non plus un prix littéraire.
« Le , à Ramallah en Cisjordanie, il est grièvement blessé par une balle de M16 tirée par un soldat de l’armée israélienne, alors qu’il réalisait un reportage en Palestine. Les autorités israéliennes interdisent d’abord son accès à l’ hôpital de Jérusalem puis refusent son rapatriement vers la France. Le président de la République française, Jacques Chirac, intervient personnellement auprès du premier ministre israélien Ehud Barak. Après deux années de soins et de rééducation, Jacques-Marie Bourget commence un long combat judiciaire qui dura 18 ans. Il sera reconnu et indemnisé comme victime d’un acte violant le droit international humanitaire » – Source Wikipedia.