Le racisme d'élus locaux expose les gens du voyage à la pollution



Les décisions d’urbanisme sont le terreau de l’injustice environnementale dont sont victimes les gens du voyage. Publiée le 26 août dans la revue Nature Cities, une analyse statistique inédite prouve que les aires d’accueil des Voyageurs, qu’on appelle communément « gens du voyage » (les communautés gitanes, manouches, etc.), sont plus exposées à la pollution que nul autre quartier résidentiel. Y compris ceux des autres ménages les plus défavorisés.

« Les zones autour d’une aire ont trois (…)

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