Les journalistes Cohen et Legrand : architectes d’un complot médiatique pour évincer Dati et propulser le camp de Glucksmann à la Mairie de Paris ?


Un scandale qui ébranle les fondements de la déontologie journalistique, un de plus…

Mais cette fois-ci un de taille, une vidéo compromettante révélée par le mensuel L’Incorrect expose au grand jour le double jeu de deux figures emblématiques du service public et de la presse de gauche : Patrick Cohen et Thomas Legrand. Ces chroniqueurs, respectivement de France Inter et de Libération, qui, non content de ne plus informer loyalement, ça on le savait déjà, fomentent, et activement, un coup politique pour tenter d’évincer la pauvre Rachida Dati, candidate des Républicains à la mairie de Paris. Au profit de qui ? Un candidat de gauche soutenu par le PS. Ce mélange des genres entre journalisme et militantisme politique actif pose un problème sérieux quant à la déontologie de nos chères têtes de gondole, souvent placées çà et là à dessein. Cela soulève de graves questions sur l’impartialité des médias publics, financés par les contribuables français, mais aussi de ces médias achetés, souvent à vil prix, car ils ne valent plus rien, par une petite caste en mal de pouvoir, afin de tenter d’influencer le bon peuple.

Des clandos de la presse avec les cadres du PS, le cœur du complot

Filmée à l’insu des participants en juillet dernier dans un restaurant parisien, la vidéo montre Cohen et Legrand attablés avec des responsables du Parti socialiste (PS), dont Pierre Jouvet, secrétaire général du PS, et Luc Broussy, président du conseil national du PS. L’échange, loin d’être anodin, révèle une stratégie concertée pour influencer les élections municipales de 2026 à Paris. 

Un Pierre Jouvet, exalté, déclarait : « Mais en fait, c’est pour ça cette histoire de candidat commun, on va les emmener là-dessus ! ». Une allusion claire à l’union de la gauche autour d’un candidat unique, capable de contrer les figures de droite comme Dati. Thomas Legrand, sans ambages, renchérissait : « Nous, on fait ce qu’il faut pour Dati, Patrick et moi ! » Ces mots, lourds de sous-entendus, indiquent une action délibérée contre la ministre de la Culture, Rachida Dati, investie par Les Républicains pour briguer la mairie.

Plus qu’une conversation informelle, cela ressemble à une alliance stratégique, et nos élus en sont d’autant plus à blâmer, imaginez les donc au pouvoir… Le PS, allié historique de Place Publique – le mouvement fondé par Raphaël Glucksmann –, vise à propulser un candidat de gauche unifié. Comme le rapportent divers médias, Place Publique a investi Saïd Benmouffok comme chef de file pour Paris, avec l’espoir d’unir la gauche sans La France insoumise (LFI), désormais incontrôlable. Glucksmann, eurodéputé et figure montante d’une « social-démocratie » quelque peu décadente, est au cœur de cette dynamique, comme l’indiquent ses déclarations récentes sur l’importance de son parti dans les négociations municipales. Cette « histoire de candidat commun  » ne serait-il pas un cheval de Troie pour installer un maire aligné sur les idées de Glucksmann, au détriment de candidats indépendants ou de droite ?

Triste mélange des genres : quand les journalistes deviennent des stratèges politiques

Patrick Cohen et Thomas Legrand, payés par le service public via France Inter et France Télévisions, ainsi que par le quotidien Libération, franchissent ici allègrement une ligne rouge entre information et influence partisane, et nos élus le savent. En s’alignant ouvertement avec les cadres du PS, ils transforment leurs plateformes médiatiques en outils de propagande, que la politique va gentiment accepter, et c’est aussi là que le bât blesse. France Inter, écoutée par des millions de Français chaque matin, devient  du coup le vecteur d’une campagne d’influence subtile, mais implacable, contre Dati, à l’heure où Léa Salamé compagne du même Glucksmann embrasse le JT de 20h sur France 2. Cette gauche française en perdition essayerait-elle par des moyens détournés de reprendre du pouvoir ?

Rappelons que Legrand, suspendu à titre conservatoire par France Inter le 5 septembre suite à la diffusion de la vidéo, a tenté de se défendre auprès de l’AFP : « Mon travail est de combattre les mensonges de Mme Dati et son attitude face à la presse. Je ne la combats pas politiquement. » Une justification qui sonne plus que creux face aux images. « Faire ce qu’il faut pour Dati » n’est pas du journalisme ; c’est une déclaration de guerre politique emplie de menace, masquée sous le sceau de la critique objective.

Cohen, de son côté, reste silencieux, mais sa présence à cette table en dit long. Chroniqueur influent, il a souvent utilisé ses antennes pour dénigrer les figures de droite, et se l’est vu souvent reproché, tout en épargnant les alliés de la gauche. Ici, nous sommes dans un mélange des genres avéré, journalistes le jour, conseillers la nuit. Une stratégie ? Utiliser les ondes de France Inter pour amplifier les attaques contre une Dati déjà empêtrée dans les affaires – accusations de mensonges, critiques sur sa gestion culturelle – tout en pavant la voie au candidat glucksmannien, soi-disant plus « acceptable » pour l’électorat modéré ?

Une campagne d’influence médiatique… Mais qui finance ? le contribuable !

Cette campagne d’influence médiatique, orchestrée depuis les coulisses, pointe ici dangereusement vers France Inter, pilier de Radio France, financée par la redevance audiovisuelle, payée par tous les Français. Peut-elle servir de relais à un agenda partisan ?

Rachida Dati elle-même a réagi sur X : « Des journalistes du service public et Libération affirment “faire ce qu’il faut” pour m’éliminer de l’élection à Paris. Des propos graves et contraires à la déontologie qui peuvent exposer à des sanctions. Chacun doit désormais prendre ses responsabilités. »

Rappelons simplement que la charte de Munich, impose aux journalistes l’impartialité et la séparation des faits et des opinions. S’associer politiquement pour « emmener » les électeurs vers un candidat commun, c’est transformer le service public en machine électorale. Quid désormais de la confiance dans les médias, déjà fragilisée par les accusations de biais idéologique, et qui plus est quasiment tous aux mains d’une dizaine de milliardaires souhaitant façonner à leur manière le terrain politique français, pour ceux n’appartenant pas au service public.

Appel à des sanctions exemplaires et à une réforme des médias publics ?

Face à ce délit, des mesures devraient-elles s’imposer ? Si France Inter a suspendu Legrand, qu’en est-il de Cohen ? L’ARCOM (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) devrait-elle enquêter et sanctionner, jouer pour une fois son rôle ? Elle si prompte d’habitude à censurer « les mal pensants ».

À Raphaël Glucksmann peut être maintenant de clarifier sa position, lui à qui le crime semble bénéficier, avant que l’on en vienne à s’imaginer d’un soutien médiatique occulte ? Les Parisiens méritent la transparence, les français aussi par ces jours troublés où tout peut encore basculer.

Un scandale pas si isolé, qui révèle les dérives d’une presse qui, sous couvert d’objectivité, impose désormais son récit, se décrédibilisant auprès des français qui ne la suive déjà plus.





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