Non Estrosi , le mythomane islamophobe, des élèves de CE2 n’ont pas prié à l’école Pierre-Merle à Nice !

Nous avons ici encore une fois la démonstration que le maire de Nice, Christian Estrosi, est un vulgaire voyou qui instrumentalise et utilise sa fonction de maire pour stigmatiser les musulmans à longueur de journée. Nous savons déjà qu’il méprise la loi de la république puisqu’il interdit systématiquement les manifestations pro palestiniennes alors que tous les samedis le tribunal administratif casse sa décision liberticide.

Ici, il s’illustre une nouvelle fois en diffusant des fausses nouvelles, en faisant croire que des jeunes élèves de CE2 ont réalisé une prière musulmane à l’école alors qu’il ne s’agissait pas d’élèves de religion musulmane ni même de prière. Il s’agissait de simples jeux d’enfants comme on en voit quotidiennement dans les cours de récréation. On vous laisse imaginer à quel point ces enfants ont été traumatisés par cette « affaire d’État » montée de toutes pièces par un ‘islamomaniaque’ totalement irresponsable.

La preuve qui aggrave son cas et qui démontre que tout ceci est prémédité est qu’il ne veut pas corriger le tir, sachant qu’il s’est totalement planté puisqu’il a reçu les familles. Il fait croire, via son communiqué officiel, qu’il s’agit toujours d’une infraction au principe de laïcité… bla-bla-bla alors que ce n’est pas du tout le cas et il le savent parfaitement, lui et son équipe d’incompétents notoires.

Reste à savoir si des associations compétentes dans ce domaine vont avoir l’idée d’attaquer en justice ce multirécidiviste de la haine afin que la justice se penche sur son cas pathologique et l’empêche de récidiver. Estrosi mais également Ciotti et quelques autres spécialistes de l’islamophobie sont des semeurs de haine, ils poussent au chaos et à la guerre civile.

Il suffit de lire les tweets de Christian Estrosi du 13 novembre dernier pour voir comment il essaie de monter en épingle cette non affaire en impliquant la rectrice et en demandant la convocation sans délai des parents, comme si le monde allait s’écrouler :