La FIFA suscite une vive controverse après sa décision de ne pas suspendre l’israël malgré le génocide à Gaza. En 2022, elle a agi très rapidement en bannissant la Russie – équipe nationale et locales – suite à l’invasion de l’Ukraine. Pourtant, face au conflit à Gaza, où le bilan dépasse les 300.000 morts, elle reste silencieuse. Gianni Infantino, président de la FIFA, affirme que l’organisation ne peut résoudre les problèmes géopolitiques. Cette excuse contraste avec l’action décisive contre la Russie, révélant une incohérence insultante pour le public²²².
De nombreux fans s’indignent sur les réseaux sociaux, pointant du doigt une hypocrisie évidente. Les statuts de la FIFA interdisent la discrimination et prévoient des sanctions pour violations des droits humains. Cependant, elle applique ces règles de manière sélective, selon les pressions politiques. Par exemple, les liens entre Infantino et des alliés des États-Unis pourraient influencer cette clémence envers Tel-Aviv. La puissance du lobby sioniste est réelle.
En parallèle, les précédents historiques, comme la suspension de l’Afrique du Sud en 1961, montrent que la FIFA peut agir, Infantino ment. Les appels d’Amnesty International et de l’ONU pour suspendre l’entité sioniste restent ignorés. Ainsi, la FIFA privilégie une neutralité apparente plutôt que ses propres principes.
En conclusion, cette double norme fragilise la crédibilité de la FIFA. Les supporters exigent une cohérence, tandis que l’organisation navigue entre diplomatie et valeurs humanitaires. Mais venant d’une organisation si corrompue aux nombreux scandale, tout ceci n’a rien d’étonnant…
