Le cri de désespoir de Pavel Durov


Au moment où France-Soir récupère son droit à sa chaine YouTube, après des mois de censure, censure politique désormais assumée, après que les divers GAFAM aient reconnu avoir sous la pression de l’administration Biden, esquinté la vérité tant politique, que vaccinale, ou sur le Covid, que le pouvoir en France fort des médias qui l’ont mis en place, tente d’écraser ce qui reste encore des libertés de la presse, et que l’Élysée cherche à intimider ceux qui posent encore les mauvaises questions au mauvais moment, Pavel Durov fondateur de la messagerie cryptée Telegram, persécuté par le pouvoir français, et fervent défenseur des libertés, s’il en est, crie son désarroi le jour de ses 41 ans.

« J’ai 41 ans aujourd’hui, mais je n’ai pas envie de fêter ça. Notre génération manque de temps pour sauver l’Internet libre bâti par nos pères. Ce qui était la promesse d’un échange libre d’informations devient l’outil ultime de contrôle. Des pays autrefois libres introduisent des mesures dystopiques : identités numériques (Royaume-Uni), vérifications d’âge en ligne (Australie), et scans massifs de messages privés (UE). L’Allemagne persécute quiconque critique les officiels sur Internet. Le Royaume-Uni emprisonne des milliers de personnes pour leurs tweets. La France enquête pénalement sur les leaders de la tech qui défendent la liberté et la vie privée. Un monde sombre et dystopique approche à grands pas — pendant que l’on dort. Notre génération risque d’entrer dans l’histoire, comme la dernière à avoir joui de libertés — et à les avoir laissés confisquer. On nous a menti. On nous a fait croire que le plus grand combat de notre génération était de détruire tout ce que nos ancêtres nous avaient légués : tradition, vie privée, souveraineté, marché libre et liberté d’expression. En trahissant l’héritage de nos aïeux, nous nous sommes engagés sur la voie de l’autodestruction — morale, intellectuelle, économique, et finalement biologique. Donc non, je ne vais pas célébrer aujourd’hui mon anniversaire. Il me reste peu de temps. Il nous reste peu de temps. »

… Il nous reste peu de temps, mais il n’est pas trop tard. Et dans ces colonnes, tous les jours, comme à l’accoutumée, nous nous battrons, pour que la vérité soit dite et lue. 

Et si comme nous, vous avez les mêmes valeurs, et c’est à n’en pas douter… Partagez, Partagez, Partagez !





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