Gaza : « Des cadavres gisent dans les rues et les chiens les mangent » !


La monstruosité des crimes de guerre commis à Gaza n’a pas d’équivalent dans l’ère moderne d’autant que tout est filmé et que le monde entier est au courant. L’Occident est complice en armant militairement et en soutenant politiquement l’entité sioniste. Quant à l’Orient, il est également complice par sa lâcheté et son incompétence légendaire. Au milieu, une population de 2 300 000 d’habitants est en train de se faire exterminer sous nos yeux.

Pendant ce temps, à Paris, Emmanuel macron et toute la racaille sioniste génocidaire a décidé d’aller supporter l’équipe de France face à l’équipe nationale sioniste comme si de rien n’était afin de les soutenir après le non-pogrom d’Amsterdam. En d’autres termes les sionistes méritent un soutien pour un crime qui n’a jamais existé tandis que les Palestiniens ne sont pas soutenus alors qu’ils se font massacrer ! Logique. L’Histoire s’en souviendra.


Que se passe-t-il dans le nord de Gaza ? L’ultimatum que les Etats-Unis ont donné à israël pour améliorer la situation humanitaire dans la région s’achève mercredi 13 novembre, alors que l’Etat hébreu avait 30 jours. Difficile de savoir ce qu’il se passe précisément dans cette région : les journalistes étrangers sont toujours interdits d’accès dans la zone. franceinfo a toutefois pu recueillir le témoignage rare d’un habitant, Youssef, qui a quitté le Nord de l’enclave il y a peu, en fuyant sous les bombes.

C’est l’histoire d’un exil forcé. « C’était difficile. Quand on a atteint la place Zayed, ils ont commencé à nous tirer dessus. Ils ont visé des terrains vagues avec de l’artillerie. Des éclats ont blessé des gens. On est partis à pied. C’était terrifiant. Terrifiant ! », s’exclame-t-il.

Cet exil a commencé il y a un peu plus d’un mois, en octobre 2024, quand l’armée israélienne a accéléré son offensive sur le camp de réfugiés de Jabalia, au nord de la bande de Gaza. Youssef est alors parti avec sa femme et ses trois enfants. Le quatrième est mort dans un bombardement, il y a presque un an. Youssef a fui la ville, la peur au ventre, avec tous ses voisins.

« On est partis à pied. Ils ont vidé nos sacs et nous ont demandé de nous déshabiller, de rester en caleçon. En cas de doute sur une personne, elle est prise à part et elle est soumise à une fouille intégrale. »

« S’ils décident de l’arrêter, ils la mettent en combinaison blanche, lui bandent les yeux et ensuite elle est emmenée… On ne sait pas ce qui lui arrive », poursuit-il.

Plus que l’absence d’aide humanitaire, ce sont les tirs incessants d’artillerie qui ont fait fuir Youssef, bien pires, dit-il, que les bombardements de l’aviation. Des immeubles sont anéantis et il n’y a plus de secouristes depuis déjà plusieurs semaines pour aller sauver les victimes, rapporte-t-il. « Je suis parti à cause des frappes aléatoires. Il n’y a plus d’endroits sûrs dans la région. Les maisons, les hôpitaux… Des cadavres gisent dans les rues et les chiens les mangent.« …



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