Halloween : fête commerciale sinistre importée des USA, très polluante et productrice de CO2 !


Née de rites celtiques anciens liés à la fin des récoltes, Halloween s’est transformée en un gigantesque marché global. Sous couvert de divertissement, cette fête est devenue un produit d’exportation culturelle, promu par l’industrie du jouet, de la confiserie et du plastique. Le folklore a cédé la place au marketing.

Un désastre écologique méconnu

Chaque année, des millions de citrouilles finissent à la décharge, libérant du méthane, gaz à effet de serre redoutable. Les costumes « d’un soir », majoritairement en fibres synthétiques de mauvaise qualité, représentent des milliers de tonnes de plastique. Les décorations lumineuses, batteries et gadgets électroniques viennent s’ajouter à la liste des déchets non recyclables. Et que dire des montagnes d’emballages de bonbons, impossibles à recycler ? Résultat : des centaines de milliers de tonnes de CO₂ émises pour quelques heures d’amusement.

Halloween illustre la logique du jetable : objets à usage unique, vêtements synthétiques, décorations éphémères. Cette fête symbolise un système économique qui préfère le gaspillage au bon sens, le paraître à la durabilité. En quelques décennies, elle est devenue l’archétype d’une mondialisation culturelle qui uniformise les imaginaires au profit du profit.

L’hypocrisie environnementale

Pendant qu’on prêche la sobriété énergétique, qu’on taxe les transports et culpabilise les ménages pour leurs trajets, les grandes marques exploitent sans vergogne la « magie » d’Halloween pour stimuler la surconsommation. On mondialise une fête superflue, énergivore et polluante, tout en imposant des politiques climatiques qui demandent aux citoyens de « faire des efforts » !

Conclusion : le masque tombe

Halloween révèle la schizophrénie écologique des mondialistes et leur hypocrisie : dénoncer la pollution tout en y participant gaiement. Derrière les masques et les toiles d’araignée en plastique, c’est un modèle de société qu’il faut interroger — celui qui transforme chaque tradition en opportunité commerciale, quitte à creuser notre propre tombe climatique.



“Climate Terror”, de Salim Laïbi
“Climate Terror”, de Salim Laïbi



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