L’actu qui agite les réseaux sociaux et le milieux aculturel français concerne la décision de la Philharmonie de Paris d’accueillir l’orchestre sioniste, suscitant une vive polémique. D’aucuns dénoncent cette invitation comme une provocation, pointant du doigt le jeu de l’hymne national israélien lors d’un récent concert perturbé par des fumigènes. Ils comparent tous cette situation à l’annulation, en février 2022, des concerts d’artistes russes suite à l’invasion de l’Ukraine, soulignant une incohérence dans les politiques culturelles. On a eu également l’appel du Quai d’Orsay à boycotter les artistes africains (Mali, Niger…) ! Du coup, quand on lit un post X officiel de France Diplo affirmer qu’ils sont contre tout boycott artistique, on ne peut que ricaner.
Comme toujours, la mafia sioniste parisienne s’est transformée en victime alors que les seules véritables victimes dans cette histoire sont les manifestants pros palestiniens qui ont été tabassés littéralement par le public ! Ils ont même terminé en garde à vue au commissariat du coin ! Pire, on peut trouver sur Internet un rabbin qui se vante d’avoir frappé une femme ! Vous savez, le rav Gabriel Farhi qui s’était illustré en 2003 par une fausse attaque antisémite qui s’est avéré être un auto-mutilation et a terminé en non-lieu en 2009 après 6 années d’instruction.
La polémique s’est intensifiée après des arrestations, révélant une fracture dans l’opinion publique. La Philharmonie, quant à elle, maintient sa neutralité artistique, affirmant ne pas exiger de positions politiques de ses invités alors qu’elle avait boycotté les artistes Russes ! Comment font-ils pour se contredire à ce point sans jamais rougir de honte ? Comment font-ils pour mentir à ce point en faisant croire qu’ils ne font pas de politique alors qu’ils ne font que ça ?

Le parallèle avec les artistes russes et africains reste pertinent. D’autant que les rapports de MSF décrivent une crise humanitaire sans précédent à Gaza, renforçant les appels au boycott culturel. Sans oublier les décisions de la Cour pénale internationale, les rapports d’Amnesty International et de bien d’autres organismes officiels qui dénoncent les massacres sionistes en Palestine occupée.
Cette hypocrise phénoménale n’est pas que l’apanage du milieu culturel puisque le monde corrompu du sport s’est illustré par le même type de comportement. Que ce soit la FIFA ou l’UEFA ou bien les JO, ils ont tous été prompts à annuler les participation des sportifs russes dès mars 2022 et refusent toujours d’agir lorsqu’il est question des sionistes génocidaires !
Faut-il aussi rappeler que l’ordure de Netanyahu continue quotidiennement de piétiner le cessez-le-feu en bombardant et massacrant des civils ? C’est ce qui devrait être traité par les médias parisiens malheureusement trop sionisés.
Cette affaire dépasse la musique, touchant aux questions de morale, de politique et de liberté artistique. Elle pose la question de savoir si la culture doit refléter les conflits ou rester un espace neutre.