On ne peut s’empêcher d’être surpris par l’odeur intense de soufre qui se dégage de l’exhumation du méga-scandale impliquant le comédien khazar Zelensky, aujourd’hui président illégitime (son mandat a expiré en mai 2024), dont les coreligionnaires kleptomanes Igor Kolomoisky et Timour Minditch ont été pris dans un vaste réseau de corruption, ce qui a secoué, bien plus que les missiles mortels Oreshnik, les entrailles du gouvernement ukrainien [1].
Entre-temps, le général Mike Flynn, ancien conseiller de Sécurité nationale de Trump 1.0, a déclaré que l’Ukraine avait déjà perdu : « La guerre en Ukraine est perdue et les États-Unis doivent reconsidérer toutes les décisions prises sous l’administration Biden. C’est un désastre et nous devons trouver immédiatement une issue pour les États-Unis [2] ».
L’Ukraine est devenue l’écurie d’Augias de l’OTAN et de l’Union européenne ; depuis 2012 (sic), Zelensky dirigeait déjà des entreprises basées dans des paradis fiscaux, dont les fortunes sont apparues dans les Pandora Papers [3].
Au milieu de cette tragédie, les aspects hilarants abondent, comme la découverte de « WC en or » [4] et de liasses de billets dans la maison du fugitif Mindich, réfugié en Israël.
De manière rocambolesque, l’agence de casting de mannequins Fire Point [5], propriété de Zelensky et de son « portefeuille » Mindich (lié au crime très bien organisé), a obtenu un contrat d’un milliard de dollars pour fabriquer des drones [6], puis a intégré à son conseil d’administration l’ancien directeur de la CIA Mike Pompeo [7]. Ouf !
Russia Today retrace les interactions dissolues de la triade maléfique khazare Zelensky/Mindich/Kolomoisky : « Mindich détient des actions dans Studio Kvartal 95, une société de production qu’il a cofondée avec Zelensky (rappel : c’est un comédien professionnel) en 2003,financée et promue par la société 1+1 Media appartenant à Kolomoisky [8] ». Russia Today se moque du fait que « le succès de Zelensky aux élections présidentielles de 2019 était en partie dû à la popularité d’une série télévisée diffusée sur cette chaîne, dans laquelle il incarnait un président idéaliste et anti-corruption ».
Soit dit en passant, l’Ukrainien-Israélien Kolomoisky a été arrêté en 2023 pour ses transactions douteuses dans la PrivatBank.
Il convient de rappeler que Zelensky a défendu comme modèle à suivre le Grand Israël [9] talmudique du génocidaire Netanyahou, ce qui révèle la complémentarité bidirectionnelle entre les deux régimes khazars qui cherchent à se connecter à la « Grande Khazarie (le khanat turco-mongol du Moyen Âge) » – de la mer Caspienne (anciennement mer de Khazaria) à la mer Noire.
Mindich est le classique blanchisseur déguisé en philanthrope : fondateur du charitable « Centre de la Torah de Kiev », participant au commerce lucratif des diamants [10] : une activité mondiale à 105 milliards de dollars !
Quand le navire coule, les rats s’enfuient : le secrétaire à la « Sécurité nationale » et du Conseil de défense de l’Ukraine, Roustem Oumerov, ne souhaite plus retourner à Kiev [11] et s’est exilé au Qatar, tandis que l’odeur nauséabonde du chef du bureau présidentiel Andreï Yermak, alias « Ali Baba », qui ferait partie de l’opération kleptocratique à grande échelle, se répand.
Oumerov a « aidé » Zelensky à acheter en Égypte un manoir de luxe pour 5 millions de dollars, qu’il a mis au nom de sa belle-mère [12].
À ce rythme, avec l’éclatement des scandales à la présidence, aux ministères de la Défense, de la Justice et de l’Agriculture, l’Ukraine va se retrouver sans gouvernement.
Le nom pestilentiel de Mindich avait été ajouté de manière inquiétante à la « liste de la mort » du Centre Myrotvorets [13], une ONG basée à Kiev, fondée en 2014 : date du coup d’État de la CIA orchestré par Vicky Nuland…
D’ailleurs, au Mexique, León Krauze Turrent – fils du plagiaire khazar controversé Krauze Kleinbort [Enrique Krauze, historien prolifique et populaire, abondamment récompensé et défenseur de la liberté d’expression] a proposé la création d’une liste similaire contre les détracteurs de George Soros.