L’email de la FDA sur les Vaccins COVID : Une révélation explosive qui remet en question les politiques vaccinales mondiales ?


Dans un mémo interne explosif daté du 29 novembre 2025, adressé au personnel du Center for Biologics Evaluation and Research (CBER) de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, le directeur Vinay Prasad annonce une reconnaissance officielle sans précédent : les vaccins COVID-19 ont causé la mort d’au moins 10 enfants américains. Ce document, obtenu par des médias comme Reuters et The Washington Post, marque un tournant majeur sous l’impulsion du secrétaire à la Santé Robert F. Kennedy Jr. Il s’inscrit dans la lignée des réformes initiées par le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) du CDC, qui a mis fin à la recommandation universelle des vaccins COVID en septembre 2025. Analysons les éléments clés de cet email, les réactions sur X (ex-Twitter), et les répercussions potentielles en France, en lien la fin de la recommandation universelle des vaccins covid par l’ACIP et l’interview du député européen Gerald Hauser.

 

Les éléments clés de l’email : une admission historique et des réformes radicales (1)

L’email de Prasad, qualifié de « profonde révélation » par son auteur, s’appuie sur une analyse interne des rapports VAERS (système de déclaration des effets indésirables). Voici les points saillants extraits du document :

  • Reconnaissance des décès pédiatriques : pour la première fois, la FDA admet que les vaccins COVID-19 ont tué au moins 10 enfants américains, avec une attribution « probable/possible» liée à des effets comme la myocardite. Prasad note que ce chiffre est sous-estimé en raison de la sous-déclaration et des biais dans le système VAERS. Il écrit : « Ceci est une profonde révélation. Pour la première fois, l’US FDA admettra que les vaccins COVID-19 ont tué des enfants américains. » Ces cas concernent des enfants en bonne santé, âgés de 7 à 16 ans, qui faisaient face à un risque minimal de décès du COVID, mais ont été « contraints » par des mandats scolaires ou professionnels sous l’administration Biden. L’email souligne que l’agence n’avait jamais publiquement reconnu ces décès, malgré des rapports datant de 2021-2024.
  • Critiques des actions des agences précédentes et du processus d’approbation : Prasad critique vertement les actions passées de la FDA et du CDC, accusant une « abdication de devoir» face au signal de myocardite détecté d’abord par Israël en 2021. Il évoque des retards dans la reconnaissance des signaux des effets secondaires pour étendre les autorisations aux 12-15 ans, et un manque de stratégies de mitigation (espacement des doses, réduction pour les jeunes). L’email pointe des biais méthodologiques dans les études observationnelles, comme le « biais du vacciné en bonne santé », et un recours excessif à des substituts immunitaires plutôt qu’à des essais randomisés contrôlés. Il questionne si les programmes vaccinaux ont sauvé plus d’enfants qu’ils n’en ont tués, notant l’absence de données fiables sur les bénéfices absolus pour les jeunes.
  • Nouvelle orientation pour les vaccins : la FDA impose des standards plus stricts : pour les groupes non à risque (enfants, adultes sains), les fabricants devront fournir des essais randomisés contrôlés par placebo démontrant efficacité et sécurité sur des endpoints (points de mesures) cliniques (pas seulement des anticorps). Les vaccins COVID pour 2025-2026 seront limités aux plus de 65 ans ou aux comorbidités. Prasad appelle à une introspection culturelle au sein de la FDA, critiquant les fuites médiatiques et les conflits passés (départs de Drs. Gruber et Krause en 2021). Il exige une révision des frameworks pour les vaccins grippaux et une fin des autorisations basées sur des substituts, traitant les vaccins comme tout autre médicament. Ceux en désaccord sont invités à démissionner.

Ces éléments reflètent une érosion de la confiance dans les politiques vaccinales, amplifiée par les réformes de Kennedy Jr., qui a remplacé les membres de l’ACIP en juin 2025 pour des profils plus critiques.

Résumé vidéo de l’article :

Réactions sur X : un débat enflammé entre justification, revanche et colère

L’email a provoqué une vague de réactions sur X, où des utilisateurs et des organisations ont salué cette « justification » qu’il n’attendait plus, tout en appelant à la responsabilité. Le Brownstone Institute, une organisation critique des politiques pandémiques, a partagé un post qualifiant le mémo de « secousse mondiale » qui pourrait « démonter tout le programme vaccinal américain », en se focalisant sur les mandats COVID.

D’autres posts soulignent l’admission historique :

  • Sayer Ji : « En une inversion stupéfiante, la FDA confirme que les vaccins COVID ont tué des enfants américains. Au moins dix décès confirmés, avec bien plus probables. L’histoire tourne. »
  • @henrybenedict_X : « ALERTE : Le directeur de la FDA admet pour la première fois que les vaccins COVID ont tué des enfants. Une révélation profonde. »
  • @Quo_vadis_BRD (Stefanie) : Cite l’email, notant la sous-déclaration appelant à une catastrophe qui aurait pu être évitée.
  • @TW_Truth : « La FDA admet que des enfants sont morts. Ils l’ont appelé ‘sûr et efficace’ en enterrant les corps. Appel à Nuremberg 2.0. »

Des critiques émergent aussi, comme @creekthing21 faisant écho un article de NBC « des experts en vaccins ont déclaré que la note était irresponsable et omettait des détails clés sur la façon dont les responsables sont arrivés à cette conclusion ».  En sus, le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie à ARNm, et aujourd’hui membre de l’ACIP (comité consultatif sur les produits immunisants) a expliqué que l’on vivait une « une révolution pour les réglementations et approbations des vaccins», et ne pouvait pas en dire plus car il était sous “embargo” par l’ACIP. La prochaine réunion de l’ACIP est le 8 décembre 2025. 

 

Globalement, les réactions oscillent entre célébration d’une transparence forcée et colère contre les retards, avec des appels à des enquêtes judiciaires.

 

Conséquences en France : vers une réévaluation européenne inspirée des États-Unis ?

Cette révélation américaine pourrait avoir des répercussions profondes en France, où les autorités maintiennent une stratégie vaccinale proactive malgré une défiance croissante (52 % des Français ont perdu confiance en la vaccination due à des « mensonges » perçus du gouvernement). La décision de l’ACIP du 19 septembre 2025 – vote unanime (12-0) pour abandonner la recommandation universelle au profit d’une « décision partagée » – souligne déjà des implications mondiales.

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Motivée par des biais méthodologiques (comme la « règle des 14 jours » masquant les effets immédiats), des sous-estimations d’effets graves (myocardite, thromboses) et des réanalyses indépendantes montrant un bénéfice-risque défavorable pour les bas-risques, cette mesure reflète les critiques de Prasad. En Europe, elle pourrait presser l’Agence européenne des médicaments (EMA) à réévaluer ses positions, basées sur des données similaires.

L’interview exclusive de Gerald Hauser, député européen (groupe Patriotes pour l’Europe), pour France-Soir renforce ce lien. Hauser accuse la Commission européenne d’avoir « joué à la roulette russe avec la santé de 450 millions d’Européens» via des contrats secrets avec Pfizer (exonérés de responsabilité), une autorisation politique sans données complètes sur la sécurité, et une sous-déclaration massive des effets secondaires (potentiellement 30 millions en Europe, dont 250 000 décès extrapolés).

Il appelle à une enquête spéciale, la démission d’Ursula von der Leyen, et un alignement sur l’ACIP : fin des recommandations générales pour les vaccins COVID, retour à des essais rigoureux, et « jamais plus » une telle catastrophe. En France, cela pourrait amplifier les demandes d’associations comme BonSens.org pour une réévaluation indépendante des effets secondaires (comme les cas soulevés par le pharmacien Amine Umlil), et accentuer les divergences avec les autorités (ANSM), potentiellement menant à une polarisation « un vaccin, deux mondes » entre un États-Unis réformé et une Europe inertielle.

Cet email de la FDA n’est pas qu’une admission américaine : il pourrait catalyser une remise en cause globale, forçant la France et l’Europe à confronter leurs propres biais et à prioriser la transparence pour restaurer la confiance publique qui est au plus bas.

 

1 – Annexe traduction complète du document CBER-Email.pdf en français

Cher Équipe CBER, Je vous écris pour signaler que le personnel de carrière d’OBPV a constaté qu’au moins 10 enfants sont décédés après et en raison de la réception de la vaccination contre la COVID-19. Ces décès sont liés à la vaccination (attribution probable/probable/possible faite par le personnel). Ce nombre est certainement une sous-estimation en raison de la sous-déclaration et du biais inhérent à l’attribution. Ce signal de sécurité a des implications profondes pour les Américains, la réponse pandémique américaine et l’agence elle-même, que je souhaite discuter ici. Je souhaite également aborder certaines objections fréquentes.

Avant de rejoindre la FDA américaine, le commissaire de la FDA suivait de près les rapports de myocardite induite par le vaccin. Contrairement au virus COVID, qui présente un gradient d’âge prononcé – étant au moins 1000 fois plus susceptible de tuer une personne de 80 ans qu’une de 8 ans – la myocardite semblait avoir le motif opposé. Les jeunes garçons et hommes en bonne santé – ceux les moins susceptibles d’avoir de mauvais résultats avec la COVID – portaient le plus grand risque. Le risque était aussi élevé que ~200-330 par million de doses administrées dans les groupes démographiques les plus à risque. Notamment, la FDA et le CDC américains n’ont pas été les premiers à reconnaître le signal de sécurité – ce sont les Israéliens qui l’ont fait – et pire, en mai 2021, la directrice du CDC de l’époque, Rochelle Walensky, a déclaré : « Nous n’avons pas vu de signal et nous avons en fait cherché intentionnellement le signal dans les plus de 200 millions de doses que nous avons administrées. » Beaucoup ont estimé que cette déclaration était malhonnête et manipulatrice.

Le commissaire, la conseillère principale Tracy Beth Hoeg MD PhD, moi-même et des collègues avons démontré que les rappels COVID-19, et les mandats accompagnants par les universités, étaient globalement nuisibles pour les jeunes hommes dans un article largement discuté et révisé par les pairs en 2022. Comme de nombreux médecins universitaires, nous avons estimé que la FDA et le CDC ont abdiqué leur devoir envers le peuple américain. Ces agences n’ont pas rapidement tenté des stratégies d’atténuation telles que l’espacement des doses, la réduction des doses, l’omission de doses chez ceux ayant eu une COVID-19 antérieure.

Pire, la FDA a retardé la reconnaissance du signal de sécurité jusqu’après avoir pu étendre l’autorisation de commercialisation aux garçons plus jeunes de 12-15 ans. Cela est décrit par le commissaire et moi dans JAMA. Si la reconnaissance était venue plus tôt, ces garçons plus jeunes, qui n’avaient probablement pas besoin de la vaccination contre la COVID-19, auraient pu choisir d’éviter les produits. À l’été 2025, le Dr Hoeg a commencé à enquêter sur les rapports VAERS d’enfants décédés après l’administration du vaccin contre la COVID-19. À la fin de l’été, elle avait conclu qu’il y avait en fait des décès – un fait que cette agence n’avait jamais admis publiquement.

Le Dr Hoeg a organisé une petite réunion pour discuter de ces décès avec les parties prenantes d’OVRR et d’OBPV. Les diapositives qu’elle a présentées, les e-mails qu’elle a envoyés et les rapports déformés de première main ont été partagés avec des médias. Le récit général était que le personnel d’OVRR n’était pas d’accord avec l’évaluation du Dr Hoeg selon laquelle les décès étaient dus à la réception du vaccin. Certains membres du personnel présents qui ont divulgué ont présenté l’incident comme si le Dr Hoeg tentait de créer une fausse peur concernant les vaccins.

J’ai ensuite demandé à OBPV d’effectuer une analyse détaillée des décès signalés volontairement au système VAERS – dans l’intérêt total de l’équilibre. La causalité est facile à évaluer dans un essai randomisé, mais avec des rapports de cas, la causalité est typiquement évaluée sur une échelle subjective. Sur cette échelle allant de certain à improbable – certain, possible/probable et probable sont largement considérés comme liés au produit.

L’équipe a effectué une analyse initiale de 96 décès entre 2021 et 2024, et conclut qu’au moins 10 sont liés. Si quoi que ce soit, cela représente un codage conservateur, où les vaccins sont exonérés plutôt qu’incriminés dans les cas d’ambiguïté. Le nombre réel est plus élevé.

C’est une révélation profonde. Pour la première fois, la FDA américaine reconnaîtra que les vaccins contre la COVID-19 ont tué des enfants américains. Des enfants jeunes et en bonne santé qui faisaient face à un risque extrêmement faible de décès ont été contraints, sur ordre de l’administration Biden, via des mandats scolaires et professionnels, à recevoir un vaccin qui pouvait entraîner la mort. Dans de nombreux cas, de tels mandats étaient nuisibles. Il est difficile de lire des cas où des enfants âgés de 7 à 16 ans pourraient être morts à cause des vaccins contre la COVID.

Les programmes de vaccination contre la COVID-19 ont-ils tué plus d’enfants en bonne santé qu’ils n’en ont sauvés ?

Nous n’avons pas de données fiables estimant le bénéfice absolu (réduction absolue du risque) concernant les maladies graves et les décès chez les enfants en bonne santé suite à la réception du vaccin. OVRR et OBPV s’appuient sur des données de cohortes observationnelles ou de cas-témoins avec des biais méthodologiques notoires. La FDA n’a jamais demandé aux fabricants de démontrer de manière randomisée que la vaccination des enfants améliore ces résultats. Les données randomisées disponibles chez les enfants sont profondément limitées et globalement négatives pour l’infection symptomatique, comme discuté dans les comités consultatifs précédents. De plus, la COVID-19 n’a jamais été hautement létale pour les enfants, et maintenant le MIS-C a diminué drastiquement, et les dommages pour les enfants sont comparables à de nombreux virus respiratoires pour lesquels nous ne fournissons pas d’immunisation annuelle.

Comparer le nombre d’enfants décédés de la COVID à ces décès serait une comparaison erronée. Nous ne savons pas combien d’enfants en moins seraient décédés s’ils avaient été vaccinés, et nous ne savons pas combien d’enfants supplémentaires sont décédés en prenant des vaccins par rapport à ce qui a été signalé volontairement. Au lieu de cela, la vérité est que nous ne savons pas si nous avons sauvé des vies globalement.

En ce qui concerne les décès vaccinaux, VAERS est signalé passivement. Cela nécessite une personne motivée, souvent un médecin, pour soumettre l’information. Le processus de soumission est fastidieux et la plupart des gens qui commencent le formulaire abandonnent en cours de route. De nombreux décès supplémentaires pourraient ne pas être signalés. Enfin, la FDA n’a pas correctement appliqué de nombreux engagements post-commercialisation requis pour les vaccins contre la COVID-19, y compris pour les femmes enceintes et pour documenter la myocardite subclinique.

En assemblant ces faits, il est horrifiant de considérer que la réglementation vaccinale américaine, y compris nos actions, pourrait avoir nui à plus d’enfants que nous n’en avons sauvés. Cela nécessite de l’humilité et de l’introspection.

Pourquoi a-t-il fallu au commissaire de la FDA pour identifier ces décès ?

Il n’y a aucun doute que sans ce commissaire de la FDA, nous n’aurions pas effectué cette enquête et identifié ce problème de sécurité. Ce fait exige également une introspection sérieuse et une réforme. Pourquoi ces décès n’ont-ils pas été examinés activement en temps réel ? Pourquoi a-t-il fallu jusqu’en 2025 pour effectuer cette analyse et prendre les actions nécessaires ultérieures ? Les décès ont été signalés entre 2021 et 2024, et ignorés pendant des années.

Je soupçonne que la réponse est culturelle et systémique. Je n’ai aucun doute que de nombreux vaccins ont sauvé des millions de vies dans le monde, et que beaucoup ont des bénéfices qui dépassent largement les risques, mais les vaccins sont comme tout autre produit médical. Le bon médicament donné au bon patient au bon moment est excellent, mais le même médicament peut être donné de manière inappropriée, causant du tort. Il en va de même pour les vaccins. Les mandats coercitifs et non éthiques du gouvernement américain concernant les vaccins contre la COVID-19 chez les jeunes pourraient avoir été nuisibles. En revanche, il n’y a aucun doute qu’un Américain âgé et non immunisé a bénéficié des doses 1 et 2 en 2020. Les personnes qui pourraient avoir le plus bénéficié de la vaccination étaient celles trop âgées pour être affectées par les mandats professionnels – une autre erreur de l’administration Biden.

La COVID cause-t-elle plus de myocardite que les vaccins contre la COVID ?

Un argument récurrent est que la COVID-19, le virus, cause plus de myocardite que les vaccins contre la COVID-19. En fait, j’ai entendu cet argument récemment au sein de CBER lorsqu’une entreprise a soumis son PMC. Voici pourquoi cet argument est faux.

Pour étudier la fréquence de la myocardite après le virus, vous voudriez collecter toutes les personnes qui ont eu la COVID et voir combien en développent. Pourtant, les études sur ce sujet ne font pas cela. Elles prennent les personnes qui se sont présentées aux systèmes de santé et qui avaient la COVID-19 et demandent combien en ont. Mais nous savons tous que la plupart des personnes qui attrapent la COVID récupèrent simplement à la maison. Les personnes qui cherchent des soins médicaux sont les plus malades. Ces études utilisent un dénominateur faux.

Deuxièmement, la démographie compte. Je n’ai aucun doute que les vaccins contre la COVID étaient salvateurs pour une personne de 80 ans qui n’avait jamais eu la COVID, mais un jeune de 20 ans devrait-il recevoir sa 6e dose cet automne ? Ces études ne regardent souvent pas l’équilibre chez les personnes plus jeunes.

Enfin, vous attrapez quand même la COVID. Aucune quantité de vaccins contre la COVID n’empêche une personne d’attraper la COVID, donc le risque n’est pas virus contre vaccin. C’est vaccin + virus contre virus seul.

Je ne connais aucune analyse qui le fasse correctement, et nous avons effectué une revue empirique de ce fait.

Réflexions sur le personnel de CBER qui divulgue aux médias

Je n’ai aucun doute que les individus qui fournissent aux médias des diapositives, des e-mails et des anecdotes personnelles croient faire la bonne chose. Malheureusement, ce comportement est à la fois non éthique, illégal et, comme cet exemple l’illustre, factuellement incorrect. Les vaccins contre la COVID-19 ont entraîné la mort d’enfants. Le Dr Hoeg avait raison dans son évaluation – toute petite différence d’opinion sur des cas spécifiques est due seulement au fait que l’attribution subjective de la mort est inhérente à un sujet où des personnes raisonnables peuvent avoir des désaccords subtils. Mais l’ordre de grandeur global et la directionnalité montrent une concordance entre le Dr Hoeg et le personnel de longue date de CBER.

Les Drs. Gruber et Krause ont démissionné en 2021 en tant que directrice et directrice adjointe d’OVRR.

Enfin, un fait qui doit être mentionné est que les désaccords avec mon prédécesseur et le personnel de carrière ont conduit à des démissions par le passé. Les Drs. Gruber et Krause ont dirigé la division des vaccins pendant des décennies. Ils ont démissionné pour deux raisons : le Dr Marks insistait pour que les rappels annuels soient pour toutes les personnes – indépendamment de l’âge et du risque – tandis que Gruber et Krause préféraient une approche basée sur le risque et les preuves. Et le Dr Marks a poussé une BLA pour les vaccins contre la COVID-19, ce qui a permis à l’administration Biden d’administrer des mandats non éthiques concernant la COVID-19.

En tant que professeur, j’étais d’accord avec Gruber et Krause. De plus, il y a eu des directeurs précédents de CBER qui ont occupé ce poste et avaient des vues fondamentalement différentes. Certains ont estimé que le directeur de CBER devrait outrepasser les examinateurs pour approuver des thérapies géniques qui ne fonctionnent pas en raison de la demande des patients. Lorsque ces produits entraînent plus tard des décès post-commercialisation, il est difficile de prendre des mesures correctives. Je suis favorable à l’approbation de produits dont les bénéfices dépassent les risques.

Incitations dans la fabrication de vaccins

Il est bien reconnu que la FDA ne considère pas le coût des médicaments dans nos décisions d’approbation, et de même, ce n’est pas notre rôle d’abaisser les normes de preuves ou de masquer les préoccupations de sécurité pour créer des incitations financières artificielles à fabriquer des vaccins. Cela dit, il y a des incitations financières uniques pour les fabricants de vaccins.

Les vaccins contre la COVID-19 ont généré 100 milliards de dollars dans le monde. Le marché annuel des vaccins aux États-Unis est estimé à plus de 30 milliards de dollars, projeté à dépasser 50 milliards dans une décennie, et un seul nouveau vaccin pour les femmes enceintes a des analystes de l’industrie estimant 1 milliard par an en retours annuels.

De plus, les vaccins ne deviennent pas « génériques ». Il n’y a pas de voie biosimilaire. Vous ne pouvez pas montrer que votre vaccin biosimilaire a le même titre d’anticorps et obtenir l’approbation. Cela signifie deux choses : les entreprises peuvent s’attendre à de longues queues de revenus, et la FDA reconnaît que les substituts cellulaires et humoraux sont insuffisants pour les approbations génériques – une position avec laquelle je suis d’accord.

Le fait que nous n’offrons pas de vaccins génériques ou biosimilaires parce qu’aucune quantité de substituts immunitaires médiés par cellules ou humoraux ne signifierait qu’un produit conserve son efficacité a une conclusion logique plus profonde : comment pouvons-nous accepter de tels endpoints pour approuver des produits entièrement nouveaux ?

La voie à suivre pour CBER/OVRR/OBPV

Je souhaite esquisser une voie à suivre. Notre approche générale à CBER sera d’orienter la réglementation des vaccins vers la médecine basée sur les preuves. Cela signifie : nous prendrons des actions rapides concernant ce nouveau problème de sécurité, nous n’accorderons pas d’autorisation de commercialisation aux vaccins pour les femmes enceintes basés sur des substituts de d’indicateurs clés non prouvés (toute promesse antérieure sera nulle et non avenue), et nous exigerons des essais randomisés pré-commercialisation évaluant des substituts/alternatives de points finaux (endpoints) cliniques pour la plupart des nouveaux produits. Les fabricants de vaccins contre la pneumonie devront montrer que leurs produits réduisent la pneumonie (au moins dans le cadre post-commercialisation), et non simplement générer des titres d’anticorps. L’immunogénicité ne sera plus utilisée pour étendre les populations indiquées – ces populations devraient être incluses dans les ECR pré-commercialisation.

Nous réviserons le cadre du vaccin annuel contre la grippe, qui est une catastrophe basée sur des preuves de faible qualité, de mauvais essais surrogates et une efficacité vaccinale incertaine mesurée dans des études cas-témoins avec de mauvaises méthodes. Nous réévaluerons la sécurité et serons honnêtes dans les étiquettes des vaccins. J’attends avec impatience vos réflexions sur la façon de faire cela mieux.

De plus, à la FDA, nous n’avons pas été concentrés sur la compréhension des bénéfices et des risques de donner plusieurs vaccins en même temps. C’est une préoccupation partagée par de nombreux Américains. La norme de la FDA a été d’exiger des études randomisées trop petites pour tirer des conclusions – créant un faux sentiment d’efficacité et de sécurité.

Le personnel d’OVRR et d’OBPV sera chargé d’écrire des lignes directrices pour refléter ces changements, et la mission de CBER changera pour refléter cette vision du monde. Jamais plus le commissaire de la FDA américaine n’aura à trouver lui-même des décès chez les enfants pour que le personnel l’identifie. Les vaccins seront traités comme toutes les autres classes de médicaments – ni meilleurs ni pires que les vecteurs AAV, les anticorps monoclonaux ou les oligonucléotides antisens.

Dans la mesure où les vaccins ont des bénéfices pour des tiers, et beaucoup en ont, ceux-ci seront jugés comme les médicaments peuvent avoir des bénéfices pour des tiers – une personne qui prend un médicament psychiatrique approprié peut être un meilleur parent ou conjoint – mais cela nécessite des données et ne peut pas être supposé. J’ai vu aucune preuve que les vaccins contre la COVID-19, qui n’arrêtent pas la transmission, bénéficient à des tiers. Je n’ai aucun doute que les vaccins MMR fournissent des bénéfices à des tiers lorsqu’administrés à une fraction suffisamment élevée de la société.

Cela dit, je reste ouvert à des discussions et débats vigoureux sur ces sujets, comme je l’ai toujours été. Je suis ouvert d’esprit à des modifications ou altérations. Comme vous pouvez l’imaginer, je crois que ces débats devraient être privés, internes à la FDA, jusqu’à ce qu’ils soient prêts à être rendus publics. Je n’endosse pas le signalement sélectif de nos réunions et documents. Certains membres du personnel pourraient ne pas être d’accord avec ces principes fondamentaux et principes opérationnels. Veuillez soumettre vos lettres de démission à votre superviseur et en CC à ma députée Katherine Szarama.

Pour ceux qui choisissent de rester à CBER, j’attends avec impatience de travailler avec vous, d’apprendre de vous, de discuter avec vous et d’interagir avec vous sur notre mission partagée : élever la science des vaccins à la médecine basée sur les preuves du 21e siècle.

Vinay Prasad MD MPH 5 Directeur de CBER, CMSO US FDA 6





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