France-Soir l’Hebdo 29.11 au 5.12.2025 : la fracture s’agrandit entre le discours officiel et la réalité des faits


Retrouvez France-Soir l’Hebdo en format pdf et vidéo, amené par Pardi, la mascotte. Pour ne rien manquer de l’info de la semaine. 

Le numéro de France-Soir l’Hebdo couvrant la période du 29 novembre au 5 décembre 2025, intitulé « LA FRACTURE », illustre une semaine marquée par des révélations majeures, une défiance citoyenne accrue et des tentatives de contrôle de l’information par le pouvoir.

Le tournant majeur de la semaine provient des États-Unis, où la FDA (Food and Drug Administration) a procédé à une « révélation explosive ». Dans un mémo daté du 29 novembre 2025, le Dr. Vinay Prasad, directeur du CBER, a officiellement reconnu qu’au moins 10 enfants américains sont décédés des suites de la vaccination COVID-19 (myocardite). Le Dr. Prasad a qualifié ce chiffre de « sous-estimation certaine » et a vivement critiqué l’« abdication de devoir » des agences sanitaires pour avoir ignoré les signaux de sécurité depuis 2021. Cette reconnaissance, faisant suite à des réformes, met fin à la recommandation universelle du vaccin et exige désormais des essais randomisés contrôlés pour prouver l’efficacité clinique.

Cette vérité officielle a trouvé un écho puissant en France, où la confiance dans la politique vaccinale est au plus bas. Un sondage exclusif indique que 81 % des Français rejettent la nouvelle campagne de vaccination Covid, et qu’un niveau record de 59 % sont défavorables à « certaines » vaccinations. Près de la moitié des Français (47 %) estiment avoir perdu confiance dans la vaccination en raison des « mensonges du gouvernement ». De plus, 56 % jugent que les médias ont mal informé sur les risques vaccinaux, tandis que 49 % pensent que le ministère de la Santé et l’industrie pharmaceutique « ont caché la réalité sur la nocivité des vaccins ». L’hebdomadaire souligne également que 37 % des personnes vaccinées déclarent avoir subi des effets indésirables, dont 9 % de « majeurs ».

Face à cette défiance généralisée, le pouvoir aurait réagi en déclarant une « guerre numérique » à ses critiques le 1er décembre, selon l’analyse de France-Soir. Cette démarche est décrite comme une « inversion accusatoire » visant à se poser en victime de la désinformation afin de justifier l’établissement d’un potentiel « label de vérité » officiel. Le journal dénonce par ailleurs la « mécanique de la censure invisible », citant l’exemple de la désindexation de 55 000 de ses propres articles par Google en février 2021. En tribune, Arthur Leroux estime que la lutte contre la « désinformation » représente la « plus grave menace qui pèse sur la liberté de penser » depuis la fin du XXe siècle. Enfin, une analyse politique critique compare le pouvoir macronien à la « République des Mignons », un schéma historique où la « loyauté absolue » remplace la compétence, menant à une « déconnexion avec le pays réel ». L’éditorial conclut que, dans ce contexte, la mission d’une presse libre et financée par ses lecteurs est vitale.

 





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