Leur haine de Trump va si loin qu’ils ont tenté de transformer en héros mondial de la liberté et de la démocratie un président pédophile, grabataire et belliciste, avec en prime une ordure de fils dégénéré. Leur haine de Poutine est telle qu’ils ont encensé un pauvre clown coké, manipulé par la CIA, qui a mené son pays dans l’abîme.
Ils mentent du matin au soir, c’est leur fonction. Et aujourd’hui, avec le drame syrien, ils sont en bug Matrice : ils ont tellement vendu Assad en « boucher de Damas » qu’ils ne savent plus quoi faire des bouchers djihadistes, purs produits de l’alliance sanguinaire israélo-américaine. Les journalistes de Libé en sont venus à applaudir leur pire cauchemar.
Plus les crimes des proxys deviennent évidents, plus la presse française focalise sur la prison de Sednaya, certes pas un lieu de villégiature à la Club Med, mais c’était sa fonction politique. Quand il s’agit de milliers de prisonniers politiques palestiniens, tout le monde s’en fout. Mais la presse mainstream tient sa Bastille, et sa révolution. C’est dans son ADN que voulez-vous.
Sednaya, c’est l’élément de langage commun à tous les désinformateurs, c’est à cela qu’on les reconnaît. Le Monde martèle du Sednaya :
Sur LCI et France Télévisions, on tabasse du Sednaya en images :
Pour couronner le tout, et bien enfumer le lecteur moyen, cette même presse fait croire que les djihadistes au pouvoir respectent les chrétiens, autrement dit, tant pis pour les soutiens d’Assad. Sous-entendu, ils l’ont bien mérité. Le Figaro rassure ses ouailles :
Comme d’habitude, sur le modèle du mégamensonge covidiste, on attend tous ces intervenants au tournant, quand les massacres vont commencer. D’ailleurs, ils ont déjà commencé, mais on ne montrera pas ces images.
Sur ce point, on rejoint les médias mainstream. Mais pas pour les mêmes raisons.