
Face aux sécheresses et inondations, certains États, comme l’Iran, ont des projets plus ou moins aboutis de déménager leur capitale. L’argument « vert » sert surtout des logiques politiques, économiques ou stratégiques.
Elles et ils s’en remettent désormais au ciel. À Téhéran, les habitants prient pour que la pluie revienne. Selon les autorités locales, les précipitations n’ont jamais été aussi faibles depuis un siècle. Alors que la moyenne annuelle sur 1991-2020 atteignait 220 (…)
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