Une nouvelle affaire de pillage d’argent public secoue la France après les révélations sur STMicroelectronics. L’État a donné 2,9 milliards d’euros pour créer 1 000 emplois. Pourtant, la réalité déçoit : seulement 200 postes créés, 1 000 supprimés. Ce scandale met en lumière des engagements contractuels non tenus et soulève des soupçons de favoritisme.
Détails de l’affaire
En 2023, Bruno Le Maire, alors ministre de l’Économie, approuve une aide massive. Le projet Liberty vise à booster la production de semi-conducteurs à Crolles. Malheureusement, GlobalFoundries se retire, et STMicroelectronics réduit ses effectifs. L’association Actionnaires pour le climat dénonce ce fiasco, appuyée par Le Monde Informatique.
Conflit d’intérêts et réactions
Après son mandat, Le Maire rejoint ASML, fournisseur clé de STMicroelectronics, en consultant. Cette transition, validée par la HATVP, suscite l’indignation. Les internautes accusent un « pantouflage » scandaleux, tandis que l’État peine à justifier ses choix. Le silence de Le Maire aggrave les critiques, sa position est indéfendable.
Conséquences et perspectives
Ce dossier expose les failles des subventions publiques. Avec 500 millions déjà versés, les contribuables exigent des comptes. Les experts, comme l’OCDE, confirment que seuls 30-40 % des emplois promis se concrétisent souvent. Cette affaire aussi que la France est un pays communiste très loin du libéralisme de la loi du marché qui s’auto régule. Sans argent public massif et magique, il n’y aurait pas autant de milliardaires qui ne sont en réalités que des parasites…
