Dévoiler la vérité : démêler les origines et l’impact de la pandémie – debriefing avec Charles Rixey


Dans ce debriefing, Charles Rixey, ancien officier des Marines des États-Unis et spécialiste des armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN), partage ses réflexions sur les sujets controversés de l’origine du virus, l’impact de la pandémie de COVID-19 et le lien avec le rapport du Congrès. L’entretien aborde les origines artificielles du virus, la réponse mondiale et les effets à long terme des vaccins à ARNm. Charles Rixey met en évidence la nécessité de transparence dans la recherche scientifique et le rôle de personnalités clés comme Robert F. Kennedy Jr. dans la défense de la responsabilité et du changement. Le rôle des médias dans la perception du public est également abordé ainsi que les défis auxquels sont confrontés ceux qui cherchent à découvrir la vérité. Optimiste pour l’avenir proche, Rixey souligne l’importance d’un discours public informé et l’espoir d’un avenir scientifique plus transparent.

Sur le debriefing

Dans ce debriefing exclusif pour France-Soir, Charles Rixey, chercheur dévoué impliqué dans diverses enquêtes du Congrès et du Sénat, a évoqué les origines et les ramifications de la pandémie de COVID-19. Rixer évoque la problématique lors des 4 dernières années allant de la désinformation initiale jusqu’au consensus croissant sur la nature artificielle du virus, et souligne la complexité de la compréhension de ses véritables origines.

Charles Rixey, actuellement au Japon, a été à l’avant-garde de l’étude des effets du virus et des vaccins sur le cerveau avec des chercheurs japonais. Son travail contribue de manière significative au discours actuel sur les origines de la pandémie, notamment par la fuite de la proposition Diffuse, qui suggérait la création d’un virus ressemblant au SARS-CoV-2. Cette révélation a joué un rôle central dans l’élaboration des audiences du Congrès et la compréhension du public.

 

Rixey souligne l’improbabilité statistique d’une origine naturelle, citant des sections manipulées du génome du virus comme preuve supplémentaire de sa nature artificielle. La conversation a également abordé la propagation du virus Charles Rixey suggére que les jeux militaires de Wuhan ont agi comme un événement de super-propagation, facilitant la portée mondiale du virus.

Au milieu de ces révélations, l’interview a abordé la réticence de certains scientifiques à qualifier le virus d’arme biologique. Charles Rixey explique cette hésitation comme une conséquence des implications potentielles, notamment pour ce qui concerne la responsabilité et les relations internationales. L’absence de mécanismes d’application de la Convention sur les armes biologiques complique encore davantage la question, laissant les pays dans une position précaire lorsqu’il s’agit d’accepter la responsabilité.

Le debriefing porte aussi sur la réponse à la pandémie, critiquant l’efficacité des mesures généralisées telles que les confinements et les vaccinations. Rixey souligne les dommages immunitaires à long terme associés aux vaccins à ARNm, et suggère que même s’ils ont pu procurer des avantages à court terme, leurs implications plus larges pourraient être préjudiciables. Cette perspective remet en cause le discours dominant selon lequel les vaccins sont une panacée, et appelle à une réévaluation de leur rôle dans la santé publique.

L’entretien aborde aussi la dynamique politique, en particulier la récente élection de Donald Trump comme 47ᵉ président des États-Unis et la nomination de Robert F. Kennedy Jr. à la tête du ministère de la Santé et des Services sociaux. Rixey se montre optimiste quant au potentiel de Kennedy à mettre la transparence et la responsabilité au premier plan, soulignant l’importance de la suppression de l’influence pharmaceutique des politiques de santé publique.

Tout au long de la discussion, le rôle des médias a été examiné de près. Rixey a critiqué la collusion des médias avec les institutions politiques et scientifiques, soulignant les pressions financières et politiques qui entravent la diffusion objective des informations. Il a souligné la nécessité pour les médias d’agir en tant qu’agents indépendants, de lutter contre la désinformation et de favoriser un discours éclairé.

À une époque marquée par la confusion et la désinformation, l’entretien avec Charles Rixey rappelle l’importance de la transparence, de la responsabilité et de la recherche incessante de la vérité. Alors que le monde est aux prises avec l’héritage de la pandémie, Rixey souligne la nécessité d’un dialogue éclairé et du courage de remettre en question les discours dominants dans la quête d’un avenir plus sain et mieux informé.

 

 

Témoignage devant les autorités slovaques

Pour plus d’informations, veuillez trouver ci-après le témoignage de Charles Rixey devant les autorités slovaques

Charles Rixey, ancien spécialiste CBRN des Marines des États-Unis et membre du groupe international DRASTIC, a témoigné devant les responsables de l’enquête slovaque sur la COVID-19. Rixey a présenté ses recherches sur l’origine du virus SARS-CoV-2, soulignant des éléments suspects dans son génome qui suggéreraient une manipulation humaine. Il a mis en lumière le rôle potentiel des recherches sur le gain de fonction et les armes biologiques dans le développement du virus. Son témoignage s’appuie sur une analyse approfondie de documents gouvernementaux et scientifiques, et il appelle à une enquête approfondie et impartiale pour rendre justice aux victimes de la pandémie.

Résumé de son audition devant les autorités slovaques

Charles Rixey, ancien officier des Marines des États-Unis et spécialiste des armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN), a récemment témoigné devant l’enquête slovaque sur l’origine de la COVID-19. Membre éminent de DRASTIC, un collectif international de scientifiques et de chercheurs, Rixey s’emploie depuis quatre ans à découvrir la vérité derrière la pandémie mondiale.

Lors de son témoignage, Rixey a évoqué ses antécédents militaires, notamment son rôle de chef CBRN pour le groupe de sécurité des ambassades du Corps des Marines, avant de se consacrer à l’investigation de l’origine du SARS-CoV-2. Depuis le début de la pandémie, il a concentré ses recherches sur la censure scientifique, l’analyse de documents obtenus grâce à la loi sur la liberté d’information, et les caractéristiques suspectes du génome du SARS-CoV-2.

Rixey a commencé par expliquer le concept de « gain de fonction », un terme controversé qui désigne des expériences augmentant la dangerosité de certains agents pathogènes. Il a détaillé comment ces expériences peuvent accroître la transmissibilité ou la virulence d’un virus, et a fait le lien entre ces recherches et le développement d’armes biologiques. Selon Rixey, le SARS-CoV-2 présente de nombreuses caractéristiques typiques d’expériences de gain de fonction, ce qui soulève des questions sur son origine.

En 2022, un groupe d’experts de l’OTAN a évalué le SARS-CoV-2 comme l’un des agents potentiels les plus attractifs pour une utilisation en tant qu’arme biologique, juste après le virus de la variole. Rixey a comparé la transmissibilité du variant Omicron du SARS-CoV-2 à celle des virus les plus contagieux de l’histoire, soulignant sa dangerosité exceptionnelle.

Rixey a également mis en lumière des recherches menées aux États-Unis, en Europe, en Chine, en Australie et à Singapour, qui pourraient avoir contribué au développement d’un virus ressemblant au SARS-CoV-2. Il a souligné le rôle de l’EcoHealth Alliance, qui aurait servi de lien entre diverses organisations impliquées dans ces recherches, y compris l’Institut de virologie de Wuhan.

Un point central de son témoignage concernait la proposition de projet « diffuse » soumise à DARPA, une agence du Département de la Défense des États-Unis, qui mentionnait explicitement des caractéristiques retrouvées dans le génome du SARS-CoV-2. Rixey a expliqué que ces caractéristiques, telles que le site de clivage de la furine, étaient absentes des coronavirus naturels, ce qui suggère une intervention humaine.

Le site de clivage de la furine, selon Rixey, est crucial car il permet au virus d’infecter un plus large éventail de tissus humains, y compris le cerveau et les poumons. Ce site de clivage est également associé à des maladies graves telles que le cancer et le diabète, ce qui en fait un élément clé dans la recherche sur les armes biologiques.

Rixey a également discuté de l’interaction entre le SARS-CoV-2 et le récepteur DC-SIGN, un mécanisme également utilisé par le virus du VIH. Il a noté que plusieurs insertions dans le génome du SARS-CoV-2 rappellent celles observées dans les prototypes de vaccins contre le VIH, soulevant davantage de questions sur l’origine du virus.

Le témoignage de Rixey a également abordé la suppression d’informations sur les origines possibles du virus par des acteurs clés, y compris le Dr Anthony Fauci et le NIH, qui auraient cherché à contrôler le récit public et scientifique sur la pandémie. Rixey a accusé ces institutions de censure, entravant la recherche de la vérité sur l’origine du virus.

En conclusion, Rixey a insisté sur la nécessité d’une enquête approfondie pour déterminer les responsables de la création du SARS-CoV-2 et de la pandémie qui a suivi. Il a exprimé son soutien aux efforts de la Slovaquie pour enquêter sur ces crimes contre l’humanité et a promis de continuer à se battre pour la justice au nom des victimes de la COVID-19.

Son témoignage, basé sur l’analyse de milliers d’articles scientifiques et de documents gouvernementaux, soulève des questions troublantes sur l’origine du virus et les pratiques éthiques en matière de recherche scientifique. Rixey appelle à une transparence totale et à une responsabilité accrue pour éviter que de telles tragédies ne se reproduisent à l’avenir.





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