Perquisition au FN : Marine Le Pen défie la police et cache son portable dans son soutien-gorge


Il est toujours utile de rappeler le contenu de cet article qui relatait la perquisition par la police du siège du Front National suite au déclenchement de l’enquête sur la rémunération frauduleuse des assistants parlementaires européens. Marine Le Pen a défié la police en cachant son téléphone portable dans son soutien-gorge leur demandant de venir le chercher s’ils en étaient capables. Est-ce franchement le comportement responsable de la présidente d’un parti politique français important ? Certainement pas.

C’est d’autant plus grave que cette personne est avocate. Sans oublier le fait que cette affaire est assez grave puisqu’il s’agit d’un financement frauduleux d’un parti politique avec un argent public qui n’était pas censé le faire. C’est d’autant plus humiliant que ce même parti politique parle à longueur de journée de « laxisme judiciaire » concernant les racailles…




L
a présidente du Front national, qui devait remettre son portable aux policiers venus perquisitionner le siège du Parti en février dernier, a défié les agents et caché l’appareil dans son soutien-gorge, relate L’Express.

Une perquisition pas comme les autres. Le 17 février dernier, les policiers de l’office anti-corruption de la police judiciaire (Oclciff) perquisitionnent le siège du Front national, à Nanterre. Une enquête a été ouverte sur les assistants parlementaires des députés européens du FN, payés par l’Union européenne mais soupçonnés d’avoir travaillé uniquement pour le FN.

Marine Le Pen défie l’autorité de la police

Ce jour-là, Marine Le Pen assiste à la scène et commence à filmer avec son téléphone portable. Mais l’un des agents lui somme d’arrêter et de lui remettre l’appareil. La présidente du Front national refuse d’obtempérer et glisse son téléphone dans son soutien-gorge, défiant « sur un ton provocateur », selon l’Express , le policier de venir le chercher. Les agents n’en ont rien fait et ont préféré fermer les yeux sur l’incident.

Mais l’affaire des parlementaires d’eurodéputés du FN est loin d’être terminée. Si les faits étaient avérés, le parquet pourrait considérer qu’il s’agissait d’un financement illégal de parti politique.


La rédaction de TF1info

18 mai 2016



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