Déjà, la phrase est mal formulée, c’est du mauvais français. Mais quand on pense au fond, que le premier ministre de la France vient nous expliquer qu’il va arrêter la circulation d’un virus en faisant asseoir les consommateurs dans les bars, on se rend compte que nous avons sombré dans une folie, dans une hystérie très inquiétante. Quelques années plus tard ça peut paraître drôle, sauf que c’est excessivement grave et que ça peut se reproduire étant donné les malades mentaux qui nous gouvernent.