Voici la démonstration que le sionisme rend profondément stupide. Pour la grande philosophe parisienne, philosophe et milliardaire, ça ne peut pas être un génocide à Gaza car c’est un non-sens historique ! Non, non Élisabeth Badinter, le génocide n’a rien à voir avec l’histoire mais avec la justice ! Comme vous pouvez le lire ci-dessous, le statut de Rome sur lequel s’appuie la Cour pénale internationale explique dans le détail dans les articles 5, 6 et 7 en quoi consistent les crimes de génocide, les crimes contre l’humanité, les crimes de guerre et les crimes d’agression. Le seul fait de porter une “atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale des membres d’un groupe” est un crime de génocide ! C’est comme ça que fonctionne le droit depuis toujours et c’est ce statut de Rome que la France a ratifié.
De surcroît, il faut être complètement stupide et décérébré pour faire croire qu’il faille tuer 2 millions de personnes pour enfin crier au génocide ! Lorsque le plan est décidé et que l’intention a été donnée, à partir du moment où la première tombe, c’est un génocide. Sans parler bien entendu de la colonisation dont Benjamin Netanyahou se vante à longueur de journée et qui est un crime de guerre.
Certes Élisabeth Badinter est de confession juive mais est-ce une raison pour multiplier les âneries et les stupidités en profitant de son carnet d’adresses afin de manipuler et tromper le peuple français qui n’est pas conscient des enjeux actuels ! Certainement pas mais il faut dire que les médias parisiens sont complètement soumis au sionisme comme tout le monde a pu le constater depuis 8 mois.
Interrogée sur BFMTV le 26 mai, Elisabeth Badinter a dénoncé l’absence de débat sur la situation à Gaza, alimentée « par des personnes de mauvaise foi » :
“Dès lors qu’une armée, en l’occurrence l’armée israélienne, dit aux habitants de Gaza ‘montez vers le nord parce qu’on va attaquer le sud’, c’est la preuve même qu’il n’y a pas de génocide. Le génocide est la volonté de détruire jusqu’à à la dernière personne d’un peuple, d’une nation. Ce n’est pas du tout ce qui se passe ici”.
Elisabeth Badinter s’agace de l’oubli généralisé concernant les circonstances du déclenchement de la guerre : “Qui l’a déclarée, et dans quelles conditions ignobles ? Et on voudrait qu’Israël reste les bras ballants ?” Sur les réactions face au drame qui se joue dans le territoire palestinien, où on décompte plus de 30 000 morts selon le ministère de la Santé du Hamas, et qui a touché de très nombreux enfants, elle note que l’émotion internationale est sans précédent : “Personne n’a réagi comme ça pour la guerre en Syrie ou pour aucune guerre. C’est la guerre, c’est épouvantable mais c’est la guerre. Parler de génocide est une honte et un non-sens historique, une ignorance crasse », a encore affirmé la veuve de l’ancien Garde des sceaux, Robert Badinter.
Photo d’illustration : Élisabeth Badinter lors de l’hommage national à Robert Badinter Place Vendôme, le 14 février 2024Ludovic Marin, Pool via AP
