3E guerre mondiale imminente : Biden pousse l’Ukraine à bombarder la Russie !


Source Géopolitique-Profonde

Le 18 novembre à 19h, François Martin, Sylvain Baron, Serge Federbusch et Antoine Gainot sont les invités de Mike Borowski, en direct sur la chaîne YouTube de Géopolitique Profonde !

François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues. Connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes, il a récemment publié « Le Temps des Fractures« , un ouvrage qui explore en profondeur les dynamiques géopolitiques actuelles et les défis redéfinissant l’ordre mondial.

Sylvain Baron est un activiste politique et Gilet jaune, auteur de Révolte : Essai sur la légitimité et la planification de l’insurrection populaire en France.

Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est un critique fervent des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique. Il présentera son dernier livre, “Le Sabre et l’Esprit” aux éditions de Passy.

Antoine Gainot est un éditorialiste au sein de la revue « Front populaire », une publication française fondée par Michel Onfray, qui se consacre à une réflexion critique sur les enjeux contemporains en France et en Europe. À travers ses écrits, Antoine Gainot aborde des sujets variés, souvent marqués par une analyse de l’actualité politique et sociétale, et s’inscrit dans une démarche de défense de la souveraineté populaire et de remise en question des dogmes dominants.

La dernière offensive de Biden

Joe Biden a autorisé l’Ukraine à frapper la Russie en profondeur à l’aide de missiles à longue portée, une décision qui marque une escalade sans précédent dans le conflit. Alors que son mandat se termine le 20 janvier, Biden semble décidé à intensifier les tensions internationales avant de quitter le pouvoir. Ce choix, loin d’être anodin, reflète une volonté délibérée d’affaiblir durablement la Russie tout en consolidant l’hégémonie américaine.

Mais Biden n’est qu’un exécutant. L’État profond américain, cette élite invisible qui contrôle les orientations stratégiques des États-Unis, impose sa vision impérialiste à travers lui. Cet appareil non élu et opaque ne cherche pas la stabilité : il œuvre pour un monde unipolaire, où la domination américaine est imposée par la force et le chaos. L’Ukraine n’est qu’un pion dans cette stratégie globale.

Les frappes ukrainiennes contre la Russie, encouragées par Washington, ne visent pas seulement à prolonger le conflit; elles sont une provocation directe, destinée à provoquer une réponse russe qui justifierait une intervention militaire encore plus massive de l’OTAN. Les États-Unis ne reculeront devant rien pour atteindre leurs objectifs.

Washington joue avec le feu

Les Américains, en armant l’Ukraine et en l’incitant à frapper le cœur du territoire russe, jouent avec le feu. Cette politique d’escalade est un pas de plus vers une confrontation mondiale, car la Russie ne tolérera pas ces agressions sans réagir. Les avertissements de Moscou sont clairs : toute attaque majeure sur son territoire sera considérée comme un acte de guerre. Pourtant, Washington persiste dans sa logique destructrice.

Il ne s’agit pas d’une simple guerre régionale. Ce conflit, largement alimenté par les États-Unis, pourrait bien dégénérer en une guerre totale, avec des répercussions catastrophiques pour l’humanité. L’objectif des élites américaines est double : affaiblir les adversaires économiques et militaires comme la Russie et la Chine, tout en consolidant leur domination sur les alliés européens.

Cette stratégie cynique repose sur l’idée que le chaos profite toujours aux élites qui tirent les ficelles. Une guerre globale permettrait aux États-Unis de réorganiser les règles économiques et politiques mondiales selon leurs intérêts, en éliminant les systèmes indépendants qui menacent leur suprématie. La paix n’a jamais été leur priorité, et cette crise en est une preuve supplémentaire.

La bataille pour un nouvel ordre mondial

Les États-Unis, depuis des décennies, sabotent toutes les initiatives qui pourraient favoriser une coopération internationale équitable. Leur opposition aux BRICS, cette alliance en pleine expansion qui regroupe des puissances émergentes comme la Russie, la Chine, l’Inde et le Brésil, illustre leur crainte d’un monde multipolaire. Les BRICS proposent une alternative au modèle économique et diplomatique américain, ce qui les rend inacceptables aux yeux de Washington.

En encourageant des conflits comme celui en Ukraine, les Américains ne visent pas seulement la Russie : ils cherchent à affaiblir tous les pays qui tentent de sortir de leur sphère d’influence. Pendant ce temps, l’Europe, soumise aux diktats de Washington, subit de plein fouet les conséquences économiques et politiques de cette soumission. Explosion des prix de l’énergie, effondrement industriel, vassalisation diplomatique… l’Europe paie un prix exorbitant pour rester dans le giron américain.

Les États-Unis ne sont pas les alliés de la paix. Ils sont les architectes du chaos, utilisant la guerre comme outil pour maintenir leur domination. Leur opposition systématique à la diplomatie montre leur mépris pour tout effort de stabilisation mondiale. L’humanité ne peut plus se permettre de subir cette politique impérialiste.

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