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Idéologie transgenre : interdiction de réfléchir ? « Il n’y a plus de liberté de parole, il n’y a plus de droit d’informer » Sophie Robert

ByVeritatis

Juin 10, 2024


DEBRIEFING : Dans les deux premiers épisodes de sa dernière série documentaire, la journaliste et documentariste Sophie Robert met en garde sur les dangers, pour les enfants et les jeunes, que constitue l’épidémie de demandes de transitions de genre et sa prise en charge médicale qu’elle qualifie de « véritable catastrophe sanitaire ».  Elle dénonce une idéologie « qui s’oppose à la raison, à la rationalité » et une forme de « totalitarisme pseudo-progressiste » qui combat violemment toute forme de critique ou même de questionnement.

 

 

Dans ses documentaires, Sophie Robert étudie et documente l’origine d’un mouvement, soutenu par de très grosses fortunes et générateur d’un marché aux profits exponentiels qui font les choux gras de l’industrie pharmaceutique et médicale.

Elle donne aussi à voir, de façon parfois très crue, les conséquences dramatiques et irréversibles des traitements et chirurgies infligés à de jeunes enfants ou adolescents. Elle souligne les souffrances infligées à des jeunes, par des médecins qui acceptent de les rendre stériles et anorgasmiques mais leur dénient le droit à toute prise en charge psychologique ou psychiatrique. Et ce, alors même qu’il est documenté que la plupart d’entre eux se réconcilieront avec leur identité sexuelle pour peu qu’on leur en laisse le temps et qu’ils bénéficient des prises en charge adéquates.

La journaliste pointe les techniques de manipulation d’un lobby violent qui veut faire taire toute voix critique et n’hésite pas à faire pression sur les gouvernements.

Elle décortique l’influence toxique des réseaux sociaux auprès de jeunes publics particulièrement vulnérables.

Sophie Robert démontre que sous couvert d’humanisme et de progressisme, ce lobby s’appuie en fait sur des stéréotypes de genre des plus réactionnaires, sur fond d’homophobie et de misogynie, et dans une démarche d’appropriation du corps des enfants.

La documentariste critique une idéologie imposée d’en haut, qui méprise la sécurité des femmes et des enfants, et souligne que la société n’a pas été consultée.

« N’importe quel pervers aujourd’hui peut avoir la liberté de faire n’importe quoi », déplore-t-elle.

« Le fait de se déclarer trans leur donne une carte blanche pour faire n’importe quoi en toute impunité », insiste-t-elle.

Sophie Robert prépare les épisodes 3 et 4 de la série « Mauvais genre », et essaie actuellement de lever les fonds nécessaires.

Suite à une avalanche de signalements de « transactivistes », son compte X vient d’être suspendu, pour la troisième fois en deux ans.

Liens pour regarder gratuitement les deux premiers épisodes :

TRANS : MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE EPIDEMIE MONDIALE

MAUVAIS GENRE – UN SCANDALE SANITAIRE

 (Avertissement : certains passages peuvent choquer des personnes sensibles) 





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