Résumé : Démontage en règle avec sarcasme de la tribune de Marion Dupont, qui ose qualifier le « bon sens » populaire d’« arme insidieuse » contre la démocratie dans Le Monde, un média accusé de trente ans de propagande subventionnée – Gilets jaunes réprimés, Covid opaque, Ukraine atlantiste, élection fortement contestée de Macron. Ironie suprême : Hubert Beuve-Méry, qui fonda Le Monde pour dire la vérité simplement, doit se retourner dans sa tombe face à cet élitisme technocratique, loin du journalisme populaire de Pierre Lazareff à France-Soir. Dupont fustige l’extrême droite, mais passe sous silence les contresens de Macron – un « En Marche ! » sans direction, prédit comme un échec par Chris Bickerton dès 2017.
Le vrai « bon sens », celui de Descartes et du peuple, est porté par BonSens.org et France-Soir, avec des études, actions juridiques et sondages (seuls 4 % soutiennent Macron, 79 % veulent la vérité sur la crise). Pendant ce temps, Le Monde, condamné pour concurrence déloyale envers France-Soir, pollue l’information avec ses biais idéologiques. Le pluralisme ?
Menacé par les élites, pas par le peuple. Enième démonstration de l’hypocrisie éditocratique.
Bravo au Monde : il fallait oser !
Pour un média qui, depuis plus de trente ans, relaie, en échange de subventions substantielles, avec zèle les mensonges de la propagande étatique – répression des Gilets jaunes en 2018, gestion opaque de la crise Covid, narratif atlantiste sur l’Ukraine depuis 2014 –, sans oublier son rôle dans l’élection trouble d’Emmanuel Macron en 2017, publier un article titré « Le bon sens en politique, un redoutable contresens démocratique » relève d’une ironie magistrale. Marion Dupont, journaliste au service « Idées », a eu cette idée brillantissime et a pondu cette nouvelle perle de l’élite éditocratique : une charge contre le « bon sens », qu’elle accuse d’être une « arme insidieuse » brandie par l’extrême droite contre le pluralisme. Mais son raisonnement vacille, et son omission des vrais contresens politiques – ceux des élites qu’elle défend – trahit une hypocrisie criante.
Hubert Beuve-Méry, fondateur du Monde en 1944, doit se retourner dans sa tombe. Lui qui écrivait : « On essaiera de dire le vrai que l’on pourra savoir et le plus simplement possible » (éditorial du 18 décembre 1944), rêvait d’un journalisme honnête, loin des compromissions. Que penserait-il de ce Monde actuel, élitiste et dédaigneux du peuple ? À l’opposé, Pierre Lazareff, qui a fait de France-Soir un géant populaire dans les années 1950 avec des scoops et des tirages millionnaires, incarnait un journalisme ancré dans le réel. Aujourd’hui, France-Soir perpétue cet esprit en défiant les narratifs officiels, tandis que Le Monde s’enferme dans une prose technocratique idéologisée qui méprise le « bon sens » populaire.
Voici ce que Marion Dupont écrit : « Si la notion de “bon sens” a créé un terrain idéologique favorable à l’émergence des démocraties libérales, ses contours flous permettent aujourd’hui à des acteurs politiques peu scrupuleux, en particulier d’extrême droite, d’en user comme d’une arme, aussi insidieuse qu’efficace, contre le pluralisme et la démocratie elle-même. » Merci, Madame.
On croyait avoir tout vu après les tribunes expliquant que la vérité est relative et que la démocratie, c’est quand le peuple pense « bien ». Mais là, c’est le sommet du contresens journalistique.
Car quel est ce « bon sens » que Madame Dupont incrimine ? Le bon sens populaire, celui de la rue, de la pratique, de la réalité du terrain. Celui que Descartes, en 1637 dans son Discours de la méthode, définissait comme « la chose du monde la mieux partagée », une capacité à raisonner sans se plier aux dogmes, fondatrice des démocraties. Un bon sens à l’opposé du sens – ou plutôt du non-sens – dans lequel Macron et les technocrates de Bruxelles conduisent le pays. Macron, qui a nommé son parti « En Marche ! » en 2016 sans jamais dire dans quel sens. Ni gauche, ni droite, juste un flou pragmatique. N’est-ce pas un contresens politique plus grave que celui qu’elle reproche à l’extrême droite ?
En 2017, Chris Bickerton, professeur à Cambridge, prédisait cet échec. Dans une interview pour France-Soir en 2020, il qualifiait le macronisme de « forme indéfinie et imprécise de politique », déconnectée de la société française, incapable de répondre aux problèmes du pays. « Je suis différent d’eux et je ferai avancer les choses », clamait « En Marche ». Et il concluait « J’ai du mal à croire que les Français y croient encore. Pour moi, le macronisme reste une coquille vide. » Autant que ce qu’est devenu le Monde ?
Dès lors, affirmer comme Madame Dupont que le bon sens menace la démocratie, c’est admettre qu’elle n’a plus rien de démocratique. Et sur ce point, je vous rejoins, chère Marion.
Ce n’est pas le bon sens qui menace le pluralisme, mais l’absence de débat, l’injonction à penser « bien », la diabolisation de ce qui échappe aux rédactions subventionnées.
Dupont fustige l’extrême droite – Le Pen, Trump –, mais tait Macron et son « bon sens » sur les retraites, ou Darmanin sur les frontières.
Et surtout, horreur suprême, ce bon sens populaire a un visage, une voix, un nom : « BonSens.Org ».
Cette association citoyenne, où j’ai l’honneur d’intervenir, ne tire pas sa légitimité de subventions au service du pouvoir, mais d’actes et de faits. Reconnue d’intérêt général, sa mission est de restaurer la vérité scientifique et juridique. Ses actions ? Avec des news régulières sur tous les sujets traités par l’association, on retrouve :
- 32 études scientifiques publiées dans des revues à comité de lecture (info/études-scientifiques/) sur les traitements précoces, les vaccins et masques, les enjeux de la pollution contribuant à fournir une information objective et indépendante permettant de défier scientifiquement les narratifs officiels.
- Plus de 50 actions juridiques, des plaintes à la CJR contre les ministres qui mentent, des interventions volontaires pour obtenir les données de mortalité toutes causes par statut vaccinal et classes d’âge, des actions pour des soignants suspendus ou des citoyens soumis à l’obligation vaccinale. Ou encore des personnes en attente de greffe qui n’étaient pas sur les listes, car non vaccinées contre la covid. Ainsi que des actions aux États-Unis contre Pfizer pour la transparence des vaccins.
- Des nombreux sondages indépendants afin de constituer une base factuelle sociologique permettant de mesurer de façon fiable la défiance citoyenne et les attitudes des Français aux mesures proposées et prises par le gouvernement.
Que reproche Le Monde à cela ? Que le bon sens vient du terrain, pas des élites ! Et, pour illustrer ce contresens, c’est bien Le Monde qui a été condamné en 2021 pour concurrence déloyale envers France-Soir, sans prouver que ce dernier diffusait de fausses informations après avoir critiqué amplement l’association BonSens.org. Leurs critiques non fondées ? Du vent.
France-Soir, comme BonSens.org, réveille les consciences avec des faits. Les derniers sondages de mars 2025 le montrent : seuls 4 % des Français pensent que Macron mène le pays dans la bonne direction, 68 % jugent le pays mal géré. Sur la vaccination covid, le consentement libre et éclairé sur la vaccination, un droit fondamental, pourrait avoir été vicié pour 69 % des Français, et 79 % exigent la levée du secret défense sur les décisions prises pendant la crise sanitaire. Enfin, 53 % ne lisent plus la presse mainstream, et 62 % ne font plus confiance aux médias télévisés mainstream ou à la presse papier (43 %). Cela, car les médias amplifient les peurs de Français avec 87 % qui estiment avoir plus peur aujourd’hui qu’avant à cause des informations qu’ils reçoivent.
Les actions citoyennes de BonSens.org et le journalisme de France-Soir osent dire la vérité, là où Le Monde sert de la propagande, gangréné par des biais idéologiques – alignement sur le narratif officiel, mépris des voix dissidentes. Ainsi qu’une pollution informationnelle qui désinforme les Français, comme je le dénonce. Critiquer BonSens.org ou France-Soir sans preuves factuelles, c’est violer la déontologie – vérité et vérification – pour défendre un narratif biaisé. France-Soir a eu raison sur l’origine du virus, les doses toxiques de ReCoveRy ou les effets secondaires des vaccins, quand Le Monde relayait des études bidons comme LancetGate sans sourciller. Et, BonSens.org a fortement contribué à l’avènement de la transparence en science dans l’intérêt général.
Le bon sens n’est pas un slogan, c’est une boussole. Les Français s’y tournent, car leurs guides les ont menés dans le mur : dette abyssale, médecine sous contrôle industriel, insécurité, école en ruine, aide ruineuse à l’Ukraine, guerre contre la Russie. BonSens.org agit pour sauver la démocratie, pas pour la saper. Par exemple en saisissant l’IAEA pour la non-prolifération des armes nucléaires suite à la proposition de Macron de mutualiser la dissuasion nucléaire française.
La gravité et l’énergie nécessaires pour sortir de l’attraction malsaine en cours sont énormes. BonSens.org, s’emploie à 200 %, analysant les manœuvres perfides sans s’en laisser conter, pour tirer la force d’extraction requise – celle qui arrache à la gravité du mensonge et de la médiocrité. Leurs adversaires, eux, orbitent en basse altitude, satisfaits de leur pitance subventionnée, sans initiative. Vérifiez vous-mêmes : combien analysent, résolvent, agissent ? Aucun.
La solution vient de ceux qui agissent, pas de ceux qui parlent.