EDITO
Regardez cette vidéo de compilation des emportements publics de Jean-Luc Mélenchon.
J ai fait une petite compilation tres sympa sur Jean Luc Melenchon . Tout le monde devrait apprécié , sauf les électeurs de LFI – le nouveau Front populaire , bien entendu 😂😂😂 On appréciera le vocabulaire très fleuri du lider minimo !!! Le nouveau Front populaire , c… pic.twitter.com/lQ6Wsvd1KF
— Patricio Andolini 🇨🇵🇮🇹 🇮🇱 ⚡️PFM Soutien FDO⚡ (@Corleone040480) June 22, 2024
D’abord on l’y voit et l’entend arrogant, hautain et menaçant au possible contre les petites gens, puis, à la fin, la séquence où il s’aplatit lamentablement devant le président de la République, tel le faux « Ché » hexagonal et vrai servile qu’il est : obséquieux non pas par ruse, mais par servilité. Lâche et fourbe. Un Emmanuel Macron que juste avant, cet opposant en carton qu’est « Merluche » avait fortement vilipendé, hors la présence de Jupiter, pour se faire « mousser » devant ses partisans, le traitant d’être « le plus grand xénophobe qu’on ait eu ! »
Je ne sais pas vous, mais, personnellement cette vidéo me fait penser à cet extrait du Gendarme de Saint-Tropez :
En effet, on y voit le maréchal des logis Cruchot, d’abord autoritaire, vindicatif et méprisant envers ses subalternes, puis lèche-cul, mielleux et trouillard, plein de courbettes et autres postures et gestes de soumission devant son supérieur, l’adjudant Gerber campé par Michel Galabru.
Ces comportements antinomiques sont l’idiosyncrasie des tribuns captifs, dans une forme de trahison de la confiance de ceux qu’ils affirment fallacieusement défendre (en l’occurrence, pour Mélenchon, les classes sociales défavorisées et les étrangers, essentiellement de confession musulmane dans les deux cas), ceux pour qui ils disent « se battre », défendre les intérêts, alors qu’en réalité ces orateurs perfides défendent exclusivement les intérêts de ceux qui en sont « la cause », et cause la majorité des problèmes du quotidien, précarité, insécurité, insalubrité, chômage de masse, services publics en dégénérescence, inflation galopante, etc.
Et pourtant, ces problèmes ont été « institutionnalisés » par ceux qui prétendent défendre les intérêts du peuple français, mais dans la réalité défendent leurs intérêts. Ceux que l’on peut assimiler comme agissant à l’opposé des intérêts du peuple, et en sont donc les « ennemis » : les politiciens mis en avant dans les médias mainstream et en ligne. De ceux qui sont aux commandes du pays, « gauche » et « droite », alternativement, depuis 1974, dont la mission est de détruire complètement la France et notre belle Nation, aux faux opposants, qui eux ont pour mission de faire croire aux gens qu’il y a plusieurs « offres » (1) politiques en France, alors qu’en réalité il n’y en a qu’une seule : la soumission totale de la France aux volontés anti-France et anti-peuple français de la clique mondialiste. Cette « mafia apatride », qui conduit à la réduction des libertés sans pareille sous couvert de l’intérêt général pour le compte de laquelle, je le répète, l’ultra majorité des politiciens médiatisés travaillent. Libre à vous de ne pas me croire, de penser le contraire. Après tout, officiellement, nous sommes en démocratie…
En atteste l’adhésion de tous les politiciens médiatisés aux lois liberticides votées durant la crise covid et par la suite (pendant la guerre en Ukraine), afin d’empêcher, les opposants véritables au système, d’exister sur la scène politique. Elles répriment très durement toute contestation publique du bien-fondé des « valeurs » mondialistes : wokisme, transhumanisme, mécanisme de contrôle de la population pour indispensable que cela soit « pour garantir la sécurité de tous », lutte contre le réchauffement climatique pour indispensable que cela soit « pour sauver la planète », abolition des frontières, accords commerciaux supraétatiques et autres décisions fortement nocives, qui rendent « infirme » et emprisonne le Français lambda, les finances publiques, la paix sociale, la culture, l’Histoire commune… en un mot : « la civilisation traditionnelle française. »
Et, cette dualité de comportements antinomiques, mépris et servilité, dont cette vidéo de Mélenchon est l’illustration, est également propre aux relations que les membres de cette mafia peuvent avoir en interne.
Elle est surtout l’illustration « criante » (c’est le cas de le dire) du fait que pour tous ces gens-là, nous ne sommes pas des êtres humains, mais des « autres » humains. Des animaux. Des mougeons : un mélange de moutons et pigeons, ces animaux humains dociles et résignés, esclaves automoteurs qui ont pour destinée obligatoire de se faire tondre et d’aller « veauter », histoire de valider le truc. Le système. La République. À savoir ce système qui a pour caractéristique principale de consister en la mainmise totale d’une organisation privée sur la chose publique, res publica en latin.
Et, quelle que soit la nature intrinsèque de cette organisation privée (communautaire, économique, politique, spirituelle), à savoir la spécificité identitaire dont les membres de cette organisation privée se réclament et autour de laquelle ils sont fédérés. Si cette destinée qu’ont les « mougeons » est obligatoire, c’est parce que telle est la volonté de leur leader spirituel. Celui des membres de l’organisation privée en question.
Pour être à ce point démagogue (2), il faut être possédé. Donc, peu importe le nom de leur dieu, pour nous, c’est pareil : nous sommes le dindon de la farce éternelle.
Oui. Dans le panneau central du triptyque « Le retable de l’Agneau Mystique », l’agneau sacrifié, c’est nous : les peuples du monde. Cela ne symbolise pas la résurrection du Christ libérateur. Non. Cela symbolise-t-il plutôt le fait que le cheptel humain des disciples de ce qui s’apparente au diable se renouvelle indéfiniment ?
Pourquoi se renouvelle-t-il indéfiniment ?
Parce que ces mystificateurs nous ont enfermés dans une forme de croyance maléfique inventée à dessein. Une croyance peaufinée avec le temps, et où, là aussi, qu’importent les noms qu’on donne aux deux camps binaires de cette association forcée (« les uns et aux autres », « les maîtres et les esclaves », « les initiés et les profanes », « les sachants et les ignorants ») qui est opérée entre ces parasites anthropophages et leurs hôtes malgré eux, le résultat est le même : eux, ils ont « tous les droits », des droits « sur nous » j’entend, et nous, nous n’avons que des devoirs.
Des devoirs envers eux, évidemment, puisqu’ils se considèrent comme les représentants de Dieu sur Terre. Ceux qui détiennent le camp du bien et le privilège de définir ce qui est bien ou mal.
C’est pour cette raison qu’après des siècles de recours à ces moyens « classiques » de « régulation » de la population utilisés jusqu’alors par ces criminels en col blanc, et décidés par eux que sont les guerres (qu’elles soient militaires, civiles, économiques ou autres), les épidémies et les famines, ces messieurs et dames auraient décidé de passer à l’étape supérieure. Celle d’un« emmerdement permanent » de ceux qui ne se conforment pas aux décisions, viennent alors des mesures draconiennes de désocialisation et invisibilisation de ces opposants. Cela correspond peu ou prou à une réduction des degrés de liberté des gens qui s’accompagne d’un stress accru, d’une augmentation de l’usage des antidépresseurs et des suicides, notamment chez les jeunes, dans ce qui s’apparente à une forme de « réduction » de la population. Ce « Parce que c’est notre projet ! » a été lancé en 2020 avec une opération « Tous vaccinés, tous protégés » menée à l’échelle planétaire, synonyme d’invisibilisation, voire d’éradication des « inutiles », selon les révérends Attali et Harari.
Le plan suit son cours.
Enfin, ces messieurs et dames qui nous récitent la messe, s’amusent lorsque, officiellement, ils s’adressent à nous : en vérité, c’est aux membres de leur équipe qu’ils parlent.
Tel est le cas de la « Lettre du président de la République aux Français » qu’Emmanuel Macron vient de rendre publique, datée du 23 juin 2024.
Comme je vous sais nombreux à vous passionner pour le sujet, j’en donnerai la traduction en ce sens dans mon prochain édito.
1) les diverses « offres » politiques : expression utilisée par le commercial en chef actuel en France de la clique mondialiste, Emmanuel Macron, lors de son discours d’annonce de la dissolution.
(2) « Démagogue : qui tente de conduire le peuple, qui le manipule par des promesses, voire par des prédictions à caractère prophétiques, élimées autant que possible, afin de faciliter un certain prosélytisme. »