Merci à Ouvre.Lesyeux
Par Phil Broq pour le Blog de l’éveillé
Au fil des décennies et des présidents truands, l’agriculture française, autrefois source de fierté nationale et pilier de notre souveraineté, a été méthodiquement sacrifiée sur l’autel du libre-échange imposé par un gouvernement plus prompt à signer des traités qu’à défendre ses paysans pour se soumettre à des politiques européennes déconnectées du réel.
Aujourd’hui, le traité UE-Mercosur, fer de lance d’une mondialisation débridée amenant au totalitarisme plus abject que celui des communistes de la grande époque, s’apprête à porter un coup fatal à un secteur déjà agonisant et pour autant vital pour chacun d’entre nous.
Derrière les promesses illusoires d’ouverture et de compétitivité (mensonge classique de l’Union Européenne mafieuse), ce sont des fermes qui ferment, des éleveurs désespérés et une filière en ruines tenue en asphyxie par des subventions abusives versées sous condition d’empoisonnement des denrées. Tandis que les fous de Bruxelles (et pas les choux) accélèrent les négociations avec les géants sud-américains, Ursula Von der Leyen et son Green Deal se révèlent au grand jour pour ce qu’ils sont. À savoir, un plan social de liquidation totale de l’agriculture française au profit de grands groupes agroalimentaires toxiques, aux normes aussi dégradées que dégradantes et d’intérêts financiers immédiats condamnant à la famine et donc à la mort des européens.
À force de vouloir plaire à Davos, Ursula La Hyène semble avoir décidé, unilatéralement comme toujours, de liquider les agriculteurs français. Le Green Deal ? C’est juste un plan social européen de liquidation des paysans, déguisé en révolution verte, qui profite aux actionnaires de Big Agro.
Le silence du ceux qui prétendent être un gouvernement Français, face à la détresse des agriculteurs et la complaisance envers des accords internationaux qui bafouent nos intérêts, témoignent encore une fois d’une trahison profonde de cette caste qui veut détruire jusqu’au fondement de notre nation.
Mais ce silence est rompu provisoirement par la colère des hommes des champs. Car à travers leurs blocages, leurs cris et leurs actions désespérées, les agriculteurs rappellent qu’un pays sans paysans n’a ni avenir, ni souveraineté, ni âme. Et que leur fin signera notre faim !
Voici donc un bref tour d’horizon terriblement nécessaire, pour défendre ceux qui, malgré tout, continuent de se battre pour nourrir une nation qui semble les avoir abandonnés. Abandon qui va de pair avec la découverte de pratiques douteuses en matière de santé publique, lorsque l’on connait le nombre de produits phytosanitaires employés dans l’agriculture intensive, et d’OGM qui finissent dans nos assiettes pour que ces gestionnaires de la terre (qui n’ont plus rien de paysans) touchent leurs subventions de la PAC (Politique Agricole Commune).
Depuis Bruxelles, dans les salons feutrés de la mafia et des lobbyistes, où se concoctent les politiques européennes favorisant les USA, s’élève une ode au « Green Deal », ce mirage stupide sorti tout droit des têtes vides des technocrates corrompus, censé concilier écologie et économie dans un monde aux ressources pillées. Ces méthodes durent depuis plus de 40 ans avec la soumission totale des agriculteurs tenus par leurs emprunts et leurs banquiers pourris.
Mais dans les champs français, c’est un autre refrain que l’on entend. C’est celui d’une agriculture étranglée, sacrifiée sur l’autel de la mondialisation libérale, où les pratiques ancestrales n’ont plus leur place et où les jeunes agriculteurs ne comprennent absolument pas que leur destin funeste est en jeu s’il suivent ces règles comptables absurdes au lieu de produire des denrées saines et naturelles. Mais pour cela, il faut supprimer ces syndicats corrompus et renverser leurs tables comme celles de l’Union Européenne.
À la table des négociations du traité UE-Mercosur, ce n’est pas seulement de viande et de légumes que l’on parle. Ce sont des vies, des fermes, des terroirs entiers qui sont mis sur la balance. Avec 99 000 tonnes de viande sud-américaine autorisées à inonder l’Europe, bourrées d’hormones, d’acide peroxyacétique et de pesticides interdits ici, quel avenir pour nos éleveurs ? Pendant qu’on leur demande de respecter des normes environnementales draconiennes, leurs concurrents du Brésil ou d’Argentine peuvent produire sans aucune contrainte et en utilisant tous les poisons utiles à des rendements artificiels tuant la terre, polluant l’eau et rendant malades les Hommes. Résultat ? Une concurrence déloyale qui ne profite qu’aux actionnaires des multinationales de Big Agro, qui sont les mêmes actionnaires de Big Pharma, mais surement pas aux paysans français.
Et que dire de cette Commission Européenne, toujours plus sourde aux préoccupations des peuples qu’elle prétend servir et si prompte à se gaver de nos deniers pour s’enrichir ? Comme le souligne trop gentiment Philippe de Villiers, lorsqu’il déclare sans trop prendre de risques :« la Commission n’entend rien ».
À croire que la souveraineté alimentaire n’est qu’un slogan creux pour eux, un emballage marketing pour dissimuler l’abandon des agriculteurs sur le champ de bataille du libre-échange et aux mains d’assassins empoisonnant notre alimentation pour mieux nous vendre leurs médicaments.
Le « Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire » est une appellation grotesque pour un organe qui n’existe que pour orchestrer le déclin d’une profession autrefois pilier de notre économie, mais surtout base de notre survie. La France, troisième puissance agricole mondiale en 2005 et en progression, a dégringolé jusqu’à la sixième place en 20 ans. Pourquoi ? Parce que, soumis aux diktats de la PAC et des normes réglementaires françaises débiles et déconnectées du réel, nos agriculteurs n’ont plus les moyens de produire normalement des denrées qui poussaient alors naturellement dans nos champs.
On leur promet toujours des aides, mais où va vraiment l’argent ? Surement pas dans les exploitations en détresse, mais plutôt dans les poches des politiques absurdes qui alimentent la dépendance à des importations à bas coût, mais qui sont aveugles face au bilan carbone de leurs politiques, cette fois-ci. Pendant ce temps, on trouve toujours plus de milliards pour des causes éloignées, comme pour l’Ukraine qui n’est même pas en Europe ou les tueurs de bébés israélites, mais jamais rien pour nos paysans, nos anciens et nos étudiants, qui luttent dorénavant pour leur survie.
« Nous n’arrivons plus à produire, et cela tue le monde agricole », disent-ils. Même lorsqu’ils utilisent la chimie à outrance, comme avec les vaccins ARNm ou les OGM imposés par ces technocrates tueurs de sang froid. Leurs cris de détresse ne datent pas d’hier, mais ils restent ignorés, car ce n’est pas dans l’agenda 2030 qui lui prévoit la mort de 80% des terriens actuels. Des normes plus strictes que celles de l’UE, des coûts qui explosent, une reconnaissance qui se dérobe. La Coordination Rurale, rejetant la mafia de la FNSEA, l’a bien compris et promet que si le gouvernement ne bouge pas, ce sera alors le chaos. José Pérez, leur co-président, annonce la couleur mais se trompe encore de cible en déclarant : « On va bloquer les camions, on va montrer aux gens ce que peut être un monde sans agriculteurs français. »
Or, Ils feraient mieux d’utiliser leurs engins agricoles pour brûler ce parlement européen, cause de tous nos maux avant de destituer le gouvernement Français. Car seuls les paysans ont les outils et engins pour déloger et écraser enfin la milice qui protège cette caste nauséabonde qui n’a que trop détruit notre pays.
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