De croustillantes révélations concernant la gestion en interne du Forum économique mondial par Klaus Schwab qui montrent des irrégularités et des défaillances graves surtout concernant la gente féminine. L’univers est impitoyable, il va jusqu’à virer les femmes de plus de 50 ans pour garder les plus jeunes et les plus jolies ; leur imposant, bien entendu, de s’habiller très sexy avec des robes serrées ! On imagine que ces plaintes vont délier les langues et que l’on va avoir prochainement des révélations explosives sur ce psychopathe qui se prend véritablement pour le maître du monde et qui n’est rien d’autre qu’un pervers sexuel…
Diverses employées du Forum économique mondial (WEF) ont porté des accusations contre son fondateur, Klaus Schwab, alléguant le harcèlement sexuel et la création d’un environnement de travail hostile. Les allégations, mises en lumière par une enquête menée par le Wall Street Journal, ont jeté une ombre sur Schwab de longue date à l’organisation mondiale influente.
Les accusations détaillent une série de comportements et de décisions inappropriés de Schwab qui auraient eu un impact sur de nombreuses employées. L’une des principales allégations concerne la prétendue directive de Schwab de licencier des employés âgés de plus de 50 ans dans le but de réduire l’âge moyen de la main-d’œuvre. Lorsque Paolo Gallo, le chef des RH de WEF’s à l’époque, a refusé de se conformer sans raisons valables liées à la performance, Schwab aurait mis fin à son emploi.
Dans un incident particulièrement troublant de 2017, Schwab est accusée de licencier une jeune femme qui dirigeait une initiative de démarrage après l’avoir informé de sa grossesse. Schwab aurait exprimé son mécontentement que sa grossesse affecterait son rythme de travail et la laisserait ensuite partir après une brève période d’essai.
De nombreuses employées ont déclaré avoir subi des revers de carrière ou avoir été expulsées de l’organisation après être tombées enceintes ou être revenues de congé de maternité. Ces allégations suggèrent un modèle plus large de discrimination à l’égard des femmes au sein du WEF sous la direction de Schwab.
Une femme, identifiée comme Myriam Boussina, a raconté son expérience, en disant, “Je savais qu’il m’aimait et je savais qu’il me trouvait jolie. Chaque homme avec beaucoup de pouvoir, ils pensent qu’ils peuvent obtenir n’importe quelle femme et ils n’ont pas honte. Un autre ancien employé, qui a travaillé au WEF dans les années 2010, a souligné la pression pour se conformer à certaines normes physiques, déclarant, “Il y avait beaucoup de pression pour être beau et porter des robes serrées. Jamais dans ma carrière, je n’ai connu des regards étant un sujet aussi important que dans le Forum.”