Dix jours ont passé depuis l’arrestation, au Groenland, du capitaine Paul Watson, grande figure de la lutte pour les océans visée par une « notice rouge » d’Interpol émise par le Japon — l’archipel lui reprochant ses actions musclées contre ses baleiniers. « Il a le moral », selon son amie et fondatrice de Sea Shepherd France, Lamya Essemlali, qui est allée lui rendre visite dans sa prison de Nuuk, la capitale de l’île arctique.
Le procès du militant devrait avoir lieu d’ici la mi-août. « Il sait que s’il (…)
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