Début septembre 2024, les deux avocats néerlandais Arno van Kessel et Peter Stassen (Fondation Recht Oprecht) ont expliqué leur assignation devant le tribunal de Leeuwarden pour faire reconnaître la responsabilité de l’Etat des Pays-Bas et de 16 personnes physiques dans les dommages physiques subis par 7 citoyens des Pays-Bas après l’injection des prétendus »vaccins » expérimentaux anti-Covid19. Voici la seconde partie de leur entrevue.
Arno van Kessel : Je voudrais souligner le fait que, dans une émission de Wakker Nederland op Zondag le 15 avril 2018, le Major-Général en retraite et ancien membre du Sénat pour le VVD Franz van Kappen a déclaré en tant qu’expert militaire : « Nous sommes en plein milieu d’une guerre de l’information. Une opération informationnelle, c‘est une activité d’importance stratégique qui consiste à manipuler des faits et des événements pour imposer à votre propre population, à votre ennemi et au monde entier une »réalité préférentielle ». Vous manipulez les faits et les événements de telle sorte que vous projetez une »réalité préférentielle », une réalité télévisuelle. Tous les camps font cela. »
Le général van Kappen reconnaît clairement qu’il existe une collaboration internationale entre des entités privées et publiques et ce qui est crucial dans cette collaboration c’est d’induire en erreur la propre population de chaque partie. Dans notre procédure nous avons donné des preuves que ce qui est en jeu dans tout cela c’est le projet « Covid-19 Grande Réinitialisation ou Great Reset ».
Peter Stassen : Nous avons toujours affirmé cela au nom de nos clients. C’est un projet international et pour que ce projet réussisse, la tromperie du public est cruciale. Et clairement nos clients ont été trompés car sinon ils et elles n’auraient jamais accepté les injections anti-Covid19.
Il est clair que le projet « Covid-19 Great reset » continue à pleine vitesse. Rappelons la feuille de route des vaccinations de l’Union européenne 2018-2022, qui vise à fournir à chaque citoyen et citoyenne des pays de l’Union européenne un passeport vaccinal numérique. Par ailleurs, En 2023 une grande majorité d’États-membres ont accepté le principe de la carte d’identité européenne numérique : la secrétaire d’État au Numérique Alexandra van Huffelen a même accepté d’introduire la carte d’identité numérique européenne sans aucun mandat du Parlement des Pays-Bas.
Cette même carte d’identité numérique a été discutée lors de la réunion annuelle du Forum de Davos en janvier 2024 : il y avait non seulement une délégation du cabinet néerlandais mais aussi la reine des Pays-Bas elle-même, Maxima Zorreguieta, en tant qu’envoyée spéciale des Nations-Unies. Elle a notamment déclaré pendant cette réunion que l’identité numérique serait bonne pour la santé et pour savoir qui était vacciné ou pas :
« Cela fait 10 ans que nous travaillons sur un concept qui s’appelle »Infrastructure publique numérique ». Et selon les expériences que nous avons vues dans différents pays il est important de suivre plusieurs étapes. L’une d’elles est l’identité numérique, la signature numérique, ça c’est important ; même une législation sur les codes QR c’est très important. […] C’est bon pour la santé aussi, pour savoir qui a sa vaccination et qui ne l’a pas. »
Quand elle dit cela la reine des Pays-Bas elle-même expose le mensonge et révèle que l’identité numérique européenne est en réalité liée aux vaccinations.
Arno van Kessel : On ne doit pas passer sous silence un événement récent car la grande majorité de la population de l’Union européenne ne sait pas que cela évolue à toute vitesse et qu’il risque d’y avoir encore beaucoup de victimes des injections à ARN messager. La Commission européenne, sur laquelle les peuples européens n’ont aucune prise, finance actuellement un projet très critiquable, qui sera officiellement lancé en septembre 2024, c’est le projet dénommé EUVABECO, qui signifie : Vaccination européenne au-delà du Covid-19. Son but est de fournir aux États-membres des plans et des stratégies pour persuader la population d’accepter des injections à ARN messager régulièrement et même pendant toute la vie.
Un des 5 outils du projet EUVABECO est le passeport vaccinal numérique. Dans notre procédure, nous parlons du certificat numérique de vaccination Covid, qui est clairement le sens du mot COVID : Certification Of Vaccination IDentity. Donc en septembre 2024, 7 pays européens – la Belgique, l’Allemagne, la Lettonie, la Grèce, le Portugal, la Pologne et le Luxembourg – vont tester et améliorer leurs stratégies pour injecter régulièrement de l’ARN messager au plus grand nombre possible de personnes. Mais dans la »réalité préférentielle » tout cela n’existe pas et donc les médias de grand chemin ne parlent pas du projet EUVABECO.
NDLR : Les 5 outils de EUVABECO :
- domaine médical : fournir aux professionnels et aux patients un système d’aide à la décision de vaccination.
- domaine social : examiner la motivation de la population à accepter la vaccination, à partir des bases de données existantes.
- domaine industriel : utiliser un emballage neutre avec une notice numérique pour flexibiliser la distribution des vaccins.
- modélisation et prospective : générer des preuves basées sur des modèles pour prévoir l’impact des interventions.
- domaine numérique : distribuer un passeport vaccinal européen numérique.
Sources :
A propos de l’auteur :
Jocelyne Chassard est professeure en Documentation depuis plus de 30 ans. De par son combat contre le harcèlement moral dans l’Éducation nationale, elle connaît la manière de défendre les droits des citoyen.nes contre les abus de pouvoir des institutions. Elle a participé à la résistance contre l’escroquerie criminelle du covidisme entre 2020 et 2022.