À partir de 2004, Nicolas Sarkozy, racaille multirécidiviste, a décidé de vendre les réserves d’or de la Banque de France, en tant que ministre de l’Économie. Il a décidé de vendre 20 % du stock de 3000 tonnes d’or, c’est-à-dire environ 600 tonnes. À l’époque, déjà, l’once d’or amorçait une augmentation substantielle qui se confirmera jusqu’à aujourd’hui puisque le lingot d’or lorsque Sarkozy le vent est à 10 000 € alors qu’aujourd’hui il a dépassé les 80 000 €.
En d’autres termes, en prenant 600 t, c’est-à-dire 600 000 kg, il suffit de multiplier le manque à gagner par ce chiffre pour savoir combien d’argent nous a fait perdre cette racaille en col blanc. C’est très simple, 80 000 € le lingot en novembre 2024 -10 000 € = 70 000 € de pertes par kilo. En multipliant ce chiffre par 600 000, on arrive à la coquette somme de 42 milliards d’euros de perte sèche pour la France ! Vu la courbe exponentielle de la cotation de l’or depuis 20 ans, on imagine que dans deux ans, la situation s’aggravera et cette perte dépassera largement les 50 ou 60 milliards d’euros.
C’est tout simplement du sabotage, une haute trahison comme tant d’autres. Alors que n’importe quel responsable politique en bon père de famille ne toucherait jamais aux « bijoux de famille », Sarkozy a fait exactement l’inverse en affaiblissant encore plus la France. Rappelez-vous, en revenant de voyage aux États-Unis en 2007, Sarkozy voulait importer en France la technique bancaire de la titrisation des subprimes, un an à peine avant l’effondrement de 2008. Un véritable génie – avec bracelet électronique – que le monde entier nous envie.
Du coup, en aimerait savoir comment est-il possible d’inviter encore un condamné multirécidiviste comme Nicolas Sarkozy sur les plateaux TV, radio et sur la presse-papier encore fin 2024 ? Ça n’a absolument aucun sens, ce pestiféré devrait être banni de la vie politique et publique française et pourtant ce n’est pas le cas.