« Je ne pense pas, donc je suis » (comprenons ici, le verbe suivre, conjugué à un présent bien triste, ajoutè-je ici, à titre indicatif)
Mes bien chers Frères, Mes bien chères Sœurs*,
Le dieu télévision en a décidé ainsi. Aidé à cela par les bonnes grâces de l’éducation nationale.
Zélée servante d’une République propriété des « élites », elle-même gardienne du savoir réservé, l’école de Marianne a su allier au crétinisme institutionnalisé, la théorie du genre. L’évangile selon Pierre Bergé, qui, au terme de 40 années de mitterrandisme acharné et depuis peu poussé à l’extrême, a su accoucher, lui, d’un wokisme roi.
Et loué aussi soit Jupiter !
Pape français d’un transgenrisme laïc introduit de haute lutte, par ses soins, dans la norme, il a su conduire la France jusqu’au bord du précipice. Là où les valeurs, autant que les milliards des Français, disparaissent dans le trou de Baal, un des sept princes de l’enfer dans la démonologie chrétienne. De plus, la disparition comme par prestidigitation de 1 100 milliards d’euros des Français, accompagnée de la vente à découpe de la France interpellent au point de s’interroger si Emmanuel X, ne serait pas un disciple d’un puissant succube dans la goétie.
Diable !
Est-ce que Satan l’habite ? Lucifer le guide-t-il ? Et sur l’autel de Moloch, prie-t-il donc auquel cas le Malin ?
Là où loge le pouvoir, il affirme cela, sycophante, un sourire narquois accroché à ses lèvres : « Les gens qui ne sont rien me doivent tout. » Confirmé encore ce weekend par une sortie fort remarquée d’une première dame « Les Français ne le méritent pas. »
Ils se complaisaient hier, c’est vrai, dans leur société structurée de naguère. Cette terre gauloise encore riche, il y a peu, du bien commun, cette valeur ancestrale qui forgeait la Patrie : ce concept séculaire, qu’heureusement pour nous, bâtisseurs de l’ombre, Emmanuel 1ᵉʳ a « dissous. » (1)
L’année 2017 a été un tournant, 2024, elle, est un avènement.
Afféteries magistrales faisant, qui siéent à son céans, il s’est sublimé dans la mystification. L’amphigourisme sardonique qui plairait tant au mongolien de base. Les masochistes électoraux demandeurs à se faire « enfler », et qui dès lors, hélas, constituent en toute logique « le gros » du troupeau.
Si ! Il est arrivé, en seulement sept ans, à remplacer l’émulation populaire, solidaire et constructive de jadis, par le néant. La spiritualité mondialiste affichée du « diviser pour mieux régner. » L’organisation étatique des dysfonctionnements. Ce chaos national permanent qui sert ses noirs desseins hégémoniques « sa mère. » (2) La chienlit. Un désordre régalien où le grand n’importe quoi règne en maître absolu. S’impose avec maestria.
Enfreignant la loi de séparation de l’Église et de l’État, il est allé jusqu’à se faire applaudir dans Notre-Dame, délivrer un discours dans son enceinte. L’évêché s’est couché. Même le caprice des vitraux est passé. À quel titre, si ce n’est le fait du prince. L’autel nouveau est un appel aux sacrifices, et les fauteuils, eux, sont dignes des designers aux échos sataniques qui ont sévi lors de la cérémonie des Jeux olympiques. Et, que dire alors du reliquaire ? Il se trouve à présent dans l’œil d’Orus. Plus irrespectueux pour les chrétiens français, tu meurs. Même la date choisie pour ce blasphème ultime découle-t-elle de l’œuvre de Belzébuth ? En effet, c’est le 29 novembre 1226 qu’a eu lieu le couronnement de Louis IX, dit Saint-Louis. Roi des Francs qui fit bruler le Talmud quelque 777 ans avant l’incendie de 2019. Et c’est lui également qui y a fait venir la couronne christique dont donc la relique est dorénavant encapsulée dans cet œil d’Orus. Un appel à les encapsuler, ici ou ailleurs, mais cette fois-ci pour de bon, sinon ce sont 68 millions de moutons qui périront sur l’autel des sacrifices. C’est peut-être voulu ?
Oui ! Adieu France, Fille aînée de l’église ! Adieu paix sociale ! Adieu culte du beau ! Adieu exception culturelle française !
Désormais, c’est la dégénérescence en tous points et à tous les niveaux qui caractérise l’hexagone. L’asile à ciel ouvert qu’est devenu un pays méthodiquement dépouillé de son âme, défiguré, sali, trahi et bafoué, et transformé accessoirement en la poubelle du monde. Sa capitale, notamment : l’effet bœuf de l’Anne Hidalgo qui crèche à la mairie de Paris. Les Rois Mages confirment. Gaspard en tête. Les « gaspards » (3), en effet, en ont investi les rues.
Gloire à toi, égérie furibonde de ce monde immonde, « Parce que c’est notre projet ! » Les sorties gratuitement méchantes et discriminantes qui fleurent bon la perfide. Une prise de contrôle machiavélique de tous les pouvoirs. L’utilisation « dilatée comme jamais » de l’article 16 de la Constitution à laquelle tu aspires. Une situation qui serait sans doute apocalyptique pour la Nation. L’enterrement en grande pompe d’une humanité qui s’est soudainement fourvoyée, fruit pourri, avarié, d’une lessiveuse inversée : la Sainte qui touche (à tout) ingénierie sociale.
Oui. C’est à lui, manipulateur sublime des neurones fragiles, et guide suprême des simples d’esprit que je dédie ces mots.
Et devant les idiots bienheureux qui, merci à lui, constituent dorénavant la masse, je m’incline respectueusement. Je débranche mon cerveau, et je récite solennellement ceci, telle une écholalie, une litanie à la gloire elle de BFMTV chérie, porte-parole officielle de la trisomie :
« C’est parce qu’ils ont tous tort, qu’ils ont donc forcément raison. »
Cette « vérité de masse » s’éloigne tellement de ce que Descartes avait défini comme le bon sens :
« Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ; car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux mêmes qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils en ont. »
Le vent de bon sens qui souffle aux Etats-Unis atteindra la France d’une manière ou d’une autre, telle la Tempête qui vient décrite par Nicolas Vidal dans son dernier livre.
Alors, oui, à l’aube d’une plus que possible censure du gouvernement Barnier devant les incohérences et les jeux politiques de ceux qui se servent avant de servir, la redistribution des cartes devient essentielle pour retrouver la raison et le bon sens.
* et merci aussi à Eddy Mitchell : https://youtu.be/I2CYxY1_JwA
(1) aurais-je dû plutôt écrire « dix sous » pour traitrise à la Patrie ? L’équivalent en euros (en Francs constants), des fameux trente deniers de Judas.
(2) pardonnez-moi cet instant de vulgarité. Il est intervenu à l’insu de mon plein gré, je pense à cause d’une consommation excessive de viande Bigard. C’est un clin d’œil involontaire fait à un complexe d’œdipe, qui est tellement fort chez Emmanuel Macron, m’a affirmé un psychiatre de mes amis, qu’il l’aurait poussé à épouser une personne, qui effectivement a très largement l’âge d’être sa mère. Et étant donné qu’en tant que président de la République, le mari de Brigitte est le chef des armées, j’ajoute ceci, toujours sous l’emprise de cette entrecôte contaminée « JMB », mais avec cette fois-ci une variante. Je reprends là la saillie (justement) dont Georges Clémenceau s’est fendu à l’endroit du Maréchal Lyautey, haut militaire français à qui la « raie publique » (d’où le terme fendu) et ses « pairs » (jeu de mots là aussi), prêtaient unanimement un courage énorme : « Voilà un militaire qui a des couilles au cul. L’ennui, c’est que ce ne sont pas toujours les siennes. »
(3) un « gaspard », en argot, c’est rat.