Et maintenant, l’éminent Jésus ou le grand Charles ?


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par Oncle Fernand

Alors que pour nous la situation économique s’enlise, se noie dans des tourbillons dignes des plus puisants produit par la non moins majestueuse Loire, que les actions militaires s’embourbent aux quatre coings de la planète, ceci, à cause d’un occident incapable de penser les relations commerciales et humaines, autrement qu’en foutant sur la gueule de ceux qui ne ne partagent pas le même dessein, voici que notre vénéré président «tranche-montagne», vexé du sursaut démocratique d’une majorité de députés le discréditant, insulte désormais le pays dans son entier. Au même titre qu’il traita, dernièrement, les Haïtiens de complètement cons. L’incarnation même de la terrifiante déficience intellectuelle qui anime nos représentants politiques à l’international, ainsi que national. Il faut quand même avoir une sacrée couche d’orgueil et de négation, pour ne pas admettre que dans la vie on peut toujours faire différemment, toujours faire mieux que précédemment. N’est-ce pas le quotidien des entrepreneurs, des artisans, des sportifs, accepter ses erreurs et ses échecs afin de comprendre le pourquoi de ses fautes par excès de vanité.

Donc, il va falloir que notre société s’élève par le gout du beau, du vrai, du spirituel, du sublime, de la transcendance, que sais-je… Également, le respect des âges et des institutions, d’arrêter ses pudeurs de gazelles et autres lâchetés, autrement l’ossuaire nous est grand ouvert. C’est-à-dire la guerre et sa désolation. Mais combien «d’oncles picsous» allons-nous admirer encore ? Combien de temps allons-nous suivre ces écornifleurs ? Combien de «Piéta» pleurant son enfant mort sur les genoux faudra-t-il à nouveau ? Combien de miséricorde devrons nous accorder à ceux qui ne veulent rien voir, rien comprendre, rien entendre ? Combien de croix et de sacrifiés ? Pour toutes ces raisons, nous, humbles serviteurs, n’attendons pas le retour du sauveur, ne cherchons pas obligatoirement à s’aimer les autres les autres ; mais inspirons-nous d’une part de sa philosophie. Ce serait déjà pas si mal. Abandonnons Platon un instant et intéressons-nous à Aristote. Faisons d’abord confiance en Dieu fait homme, qu’en homme fait Dieu. Ainsi, l’effondrement du désastreux protestantisme – pure et dure – que nous subissons depuis trop longtemps. Tout autant, l’écroulement de la franc-maçonnerie spéculative et du sionisme qui va avec. De ces gens-là qui ne supportent pas l’inconnaissable, qui n’acceptent pas la part de mystère et d’imprévu que comporte le vivant. Quelque chose de réelle très au-dessus d’eux. D’ailleurs, il est assez succulent de constater, comment ces magnas de l’ombre et du secret, crachent leur venin sur celle d’une ombre bienfaisante pour un recueillement dans la solitude. Cet aspect vital en nous. De ce fait, d’après eux et telles les ondes, il y aurait les bonnes et les mauvaises. Parjure, abjure et injure, sont les trois mamelles de leur secte néolibérale.

C’est pour cela que nous aurons besoin d’hommes, (au sens être humain du terme), avertis, érudits, de surcroit saint d’esprit. Des personnes pragmatiques mais éclairées à la fois. En outre, n’attendons pas la perfection chez un tel ou une telle. Le Christ, de Gaulle ou bien Louise Michel, avaient leurs défauts comme tout un chacun. Il n’existe pas d’êtres providentiels. L’important, c’est le souffle influant qui émanera de la personne. Le nouveau, (pareil au Beaujolais), la forte envie de. L’allant dans une réflexion cohérente, innovante et non calculatrice. Un recadrage complet, un plan réfléchi et bâtisseur. Quand il le faudra, une ouverture d’esprit salvatrice. Dès lors, ex aequo au rêve, on attend, on espère !



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