Proposé par Ouvre.Lesyeux
Par Phil BROQ pour le Blog de l’Éveillé
L’État français, sous ses airs de protecteur des citoyens et de garant de l’intérêt général, fonctionne en réalité comme une entreprise prédatrice digne de la Mafia calabraise. Ce constat glaçant, qui s’est aggravé sous la présidence de Macron et son obsession pour la « Start-up Nation », révèle un système où le peuple n’est plus qu’une ressource à exploiter. Les impôts, taxes et amendes qui accablent les citoyens ne servent plus à financer un bien commun, mais à enrichir une minorité tout en maintenant une oppression systématique. La violence institutionnelle, qu’elle soit économique ou policière, n’est qu’un outil pour préserver un ordre injuste. Il est temps que le peuple cesse de cautionner ce système mafieux, qu’il refuse de financer sa propre spoliation, et qu’il exige une reddition de comptes de la part de ceux qui l’ont trahi.
Tout d’abord, il est essentiel de souligner que l’État français opère juridiquement comme une entreprise. Les numéros SIREN attribués aux institutions publiques, de la police aux tribunaux en passant par les ministères, témoignent de leur immatriculation commerciale. Ces données, disponibles sur des bases publiques comme societe.com, prouvent que l’État n’est pas seulement une entité administrative ou républicaine, mais surtout un acteur économique intégré aux marchés financiers internationaux. À travers des identifiants tels que les numéros DUNS ou LEI, utilisés pour les transactions globales, l’État agit donc comme un organisme marchand. Ces structures, censées servir le peuple, se révèlent être des rouages d’un appareil commercial implacable qui place la rentabilité et les intérêts financiers au-dessus de tout.
Ce glissement vers une logique d’entreprise se reflète également dans la fiscalité. En France, les prélèvements obligatoires atteignent des niveaux records, avec plus de 45% du PIB absorbé par des taxes et impôts. Officiellement, cet argent est destiné à financer des services publics, mais la réalité est bien différente. Une partie significative de ces fonds est siphonnée vers des projets opaques, des subventions injustifiées à de grandes entreprises, ou encore des remboursements d’une dette publique qui n’est pas celle du peuple. En vérité, cette dette de 3 300 milliards d’euros a été contractée par les gouvernements successifs pour servir leurs propres intérêts et ceux de leurs alliés économiques. Les citoyens, pourtant, sont contraints de la payer par des sacrifices incessants, alors qu’ils n’ont jamais été consultés ni bénéficiaires des choix politiques qui l’ont engendrée.
Dans ce système mafieux, le ministère de l’Économie, connu sous le nom de Bercy, joue un rôle central. Agissant comme une véritable organisation criminelle, il exerce une pression fiscale disproportionnée sur les petites entreprises, les artisans et les ménages. Pendant ce temps, les grandes multinationales bénéficient de traitements de faveur, de négociations discrètes et d’exonérations fiscales scandaleuses. Prenons l’exemple de Google, qui, après avoir fraudé le fisc français à hauteur de plusieurs milliards d’euros, a réglé un simple chèque de 500 millions pour clore l’affaire. Dans le même temps, les petits entrepreneurs et les indépendants subissent des redressements fiscaux arbitraires, souvent destructeurs pour leurs activités. Cette inégalité flagrante est une preuve supplémentaire que l’État ne sert pas ses citoyens, mais protège une élite économique et financière.
Les méthodes utilisées pour extorquer ces sommes au peuple ne sont pas seulement économiques, mais également coercitives. Les contraventions, amendes et autres sanctions administratives sont devenues des instruments de racket. En 2022, les radars routiers ont généré plus de 860 millions d’euros, non pas pour améliorer la sécurité sur les routes, mais pour alimenter les caisses de cet État. Des infractions minimes, comme un dépassement de vitesse de quelques kilomètres par heure, sont lourdement sanctionnées dans le seul but de maximiser les recettes. Ces amendes s’apparentent à un impôt déguisé, imposées par une force policière qui agit clairement comme le bras armé d’un système oppressif que comme un garant de la sécurité publique.
La violence policière elle-même illustre cette dérive. Elle ne se contente pas de réprimer des comportements illégaux, elle cible directement les citoyens qui osent remettre en question l’ordre établi. Les manifestations des Gilets Jaunes, par exemple, ont été violemment réprimées, non pour préserver l’ordre public, mais pour dissuader toute opposition au modèle économique en place. Les mutilations, arrestations arbitraires et violences systématiques démontrent une volonté claire de réduire les contestations au silence. Cette répression n’est pas l’apanage des grandes villes ou des mouvements sociaux médiatisés. Elle s’étend aux luttes locales, comme celle contre les mégabassines ou d’autres projets controversés où l’État mobilise ses forces armées pour défendre des intérêts privés au détriment de l’intérêt collectif. Ainsi, les contraventions, par exemple, ne seraient pas de simples sanctions administratives, mais des contrats commerciaux déguisés. Pire encore, la criminalité elle-même pourrait être vue comme un « fond de commerce » pour ces entités, rendant illusoire l’idée d’une volonté réelle de réduire les délits dont ils profitent tous les jours…
La répression policière et judiciaire constitue le pilier coercitif d’un système conçu pour neutraliser toute contestation. Les syndicats, ou même les associations en ont fait l’expérience : toute tentative de remise en question de l’ordre établi est immédiatement confrontée à une violence disproportionnée, puis finalement à une interdiction de défendre nos droits. Cette violence n’est pas le fruit d’excès isolés, mais d’une stratégie délibérée visant à dissuader toute opposition à ce clan. Le recours aux sanctions financières, aux amendes exorbitantes, et aux restrictions administratives agit en complément, étouffant les mouvements citoyens avant qu’ils ne prennent de l’ampleur. Il faut dénoncer cette violence comme un symptôme de la dérive mafieuse de l’État, où la répression remplace le dialogue, et où les institutions publiques n’agissent qu’en tant que forces privées au service des puissants.
Pour promulguer et appliquer des lois criminelles sur un peuple souverain, le gouvernement doit lui aussi être souverain, une règle de droit qui découle de l’ancienne loi des rois. Les entreprises, en revanche, ne peuvent jamais être souveraines. Elles ne sont que des fictions juridiques qui n’existent que sur papier. Ainsi, toutes les lois créées par ces entités gouvernementales ne sont que des règlements privés déguisés sous des termes tels que droit public, lois, codes et ordonnances, afin de dissimuler leur véritable nature. Et le juge, ainsi que votre avocat, en sont-ils conscients ? Assurément. Ces organes gouvernementaux, n’étant pas souverains, ne peuvent pas promulguer ou appliquer des lois pénales ; leur pouvoir se limite à créer et faire respecter des lois civiles, soumises à la loi des contrats. Or, la loi des contrats exige des accords écrits, signés et transparents. Avez-vous, vous-même, accepté d’être arrêté et jugé selon l’une de leurs lois basées sur des entreprises ? Avez-vous consenti à un contrat implicite en acceptant de vous voir poursuivi pour avoir enfreint leurs règlements d’entreprise ?
La question de la légitimité de ces prélèvements fiscaux et de cette violence étatique est donc fondamentale. Une constitution républicaine impose que la fiscalité soit juste et proportionnelle. Or, le système actuel sape ces principes en concentrant les charges sur les classes moyennes et populaires, tout en épargnant systématiquement les plus riches. Ces impôts et taxes, perçus sous menace de sanctions, ne sont donc pas seulement immoraux, ils sont illégitimes. En continuant de les payer, les citoyens deviennent complices de leur propre spoliation.
Les agences françaises, qu’il s’agisse de France Travail, des Agences de l’eau, ou de l’invraisemblable constellation de comités dits « Théodules », incarnent un gaspillage organisé des fonds publics, sous le masque d’un service rendu au citoyen. Ces structures, souvent opaques et inefficaces, ne sont en réalité que des leviers de redistribution de l’argent des contribuables vers une élite administrative et économique qui se sert grassement, sans aucun véritable contrôle démocratique. Sous couvert de répondre à des missions d’intérêt général, elles fonctionnent comme des machines à produire des coûts injustifiés, des emplois fictifs ou redondants, et des opportunités de détournement de fonds publics en faveur de ceux qui en détiennent les rênes.
France Travail, par exemple, perçoit des budgets colossaux pour prétendument accompagner les demandeurs d’emploi. Mais son efficacité est régulièrement remise en question, et sa gestion bureaucratique contribue davantage à maintenir un système absurde qu’à fournir des solutions concrètes. Une partie non négligeable de son budget se dilue dans des contrats avec des prestataires privés, dans des dispositifs coûteux et peu efficaces, ou encore dans des salaires confortables pour ses cadres supérieurs. Les Agences de l’eau, quant à elles, absorbent des sommes astronomiques pour des études et des actions dont l’impact reste souvent invisible pour les citoyens. Pire, elles contribuent parfois à protéger des pollueurs institutionnels par des approches laxistes ou des partenariats troubles. Ces exemples ne sont qu’une infime partie d’un réseau bien plus vaste d’agences et comités inutiles, où les postes sont souvent des sinécures réservées à des proches du pouvoir.
Le détournement des subventions et crédits alloués à la recherche et au développement est un scandale encore plus flagrant. Ces aides, financées par les impôts, sont octroyées à des entreprises qui, sous prétexte d’innovation, délocalisent leurs activités, licencient leurs salariés ou utilisent ces fonds pour optimiser leurs marges sans créer de valeur ajoutée réelle pour le pays. Des programmes comme le Crédit Impôt Recherche, supposément destinés à stimuler la compétitivité, deviennent des caisses noires pour des multinationales comme Sanofi ou Renault, qui empochent des milliards tout en fermant des sites industriels. Ce mécanisme, toléré et même encouragé par des gouvernements complices, constitue une spoliation pure et simple des fonds publics. En d’autres termes, les contribuables financent les licenciements et la destruction du tissu économique national.
De plus, le détournement de la vérité et la manipulation de l’opinion publique sont devenus des armes redoutables entre les mains de ceux qui, sous couvert de « fact-checking », œuvrent pour étouffer toute contestation. Prenons l’exemple du site Conspiracy Watch, fondé par Rudy Reichstadt, qui s’auto-proclame garant de la vérité tout en étant financé par le détournement du Fond Marianne ou des sources douteuses, souvent proches des intérêts des oligarques et de figures comme Bill Gates. Cette prétendue vigilance contre la désinformation sert en réalité à masquer des vérités dérangeantes et à dissimuler les pratiques mafieuses du système dans lequel ils se vautrent. Derrière les apparences de neutralité et d’objectivité, se cache une volonté de maintenir le peuple dans l’ignorance, de contrôler la narration pour justifier les dérives du pouvoir.
Le rôle de ces pseudos « fact-checkers » n’est pas d’éclairer les citoyens, mais de les maintenir dans un état de soumission en leur imposant une version officielle des événements. De plus, des associations telles que le CRIF ou la LICRA, sous prétexte de lutte contre l’antisémitisme et la discrimination, bénéficient de financements publics et privés qui ne servent qu’à financer des causes étrangères, souvent en contradiction avec l’intérêt national, comme le génocide en cours à Gaza. Ces organisations, plus proches des puissances internationales que de la défense des citoyens français, détournent ainsi des fonds publics vers des projets qui nuisent directement à la souveraineté de la France. En fin de compte, ce système d’alliances entre les puissants et les institutions prétendument innocentes n’est qu’un autre aspect d’une entreprise mafieuse où l’argent des contribuables est utilisé pour soutenir des agendas étrangers, au détriment des besoins urgents du peuple français déjà à l’agonie.
Cette gestion scandaleuse bafoue non seulement les principes de la Constitution française, qui garantit une administration juste et équitable, mais également les règles du droit international, qui condamnent l’abus de pouvoir et la corruption systémique. Ces agences et dispositifs sont les outils d’une caste de truands en cols blancs, qui ont transformé la France en une entreprise mafieuse. Il est donc impératif de reprendre le contrôle sur ces structures, de chasser les responsables de ces abus, et de restaurer un véritable service public, au service du peuple, et non de l’enrichissement d’une minorité.
La dette publique, constamment brandie pour justifier les politiques d’austérité et de pression fiscale, n’est pas une fatalité économique, mais un outil politique soigneusement entretenu. Les 3 300 milliards d’euros de dette accumulée ne profitent pas au peuple français, mais enrichissent des banques privées et des investisseurs qui prélèvent des intérêts astronomiques sur des prêts que l’État aurait pu, et aurait dû, émettre par sa propre Banque centrale. En abandonnant la souveraineté monétaire au profit des marchés financiers (Loi Rothschild-Pompidou-Giscard de 1973), les dirigeants successifs ont sciemment enchaîné la nation à une spirale infernale, où chaque euro d’impôt supplémentaire est absorbé non par les services publics, mais par le remboursement de cette dette aussi illégitime qu’illégale. Une analyse rigoureuse de cette mécanique démontre que les gouvernements successifs, loin d’être des gestionnaires maladroits, ont agi en complicité avec ces créanciers, sacrifiant le bien-être collectif à des intérêts privés. Les citoyens doivent donc revendiquer non seulement l’audit, mais l’annulation de cette dette illégitime, qui n’a jamais été contractée pour leur bénéfice.
L’absence totale de contrôle citoyen sur les institutions constitue une autre pièce maîtresse de ce système prédateur. Les agences et comités prolifèrent dans une opacité totale, sans rendre de comptes sur leurs dépenses ni leurs résultats. Cette opacité est institutionnalisée où les budgets sont votés en bloc, les audits sont rares et partiels, et les conflits d’intérêts ne sont jamais sérieusement examinés. Cette structure déresponsabilisée est le terreau idéal pour l’enrichissement personnel et le clientélisme, où les élites administratives et politiques agissent en toute impunité. Une réforme en profondeur, imposant des mécanismes de contrôle démocratique direct – tels que des référendums d’initiative populaire ou des audits citoyens réguliers – est essentielle pour mettre fin à cette captation des ressources publiques. Sans ces garde-fous, les citoyens resteront enfermés dans un rôle passif, condamnés à financer leur propre spoliation voire leur suicide.
Enfin, il est indispensable d’insister sur la responsabilité collective et la capacité d’agir du peuple. Si l’État est devenu une entreprise mafieuse, c’est aussi parce qu’une grande partie de la population a été conditionnée à l’inaction, à la peur, et à l’acceptation d’un système oppressif. Pourtant, l’histoire montre que lorsqu’un peuple décide de se lever, aucun régime, aussi puissant soit-il, ne peut lui résister. L’objectif ne doit pas être une simple dénonciation, mais une prise de conscience massive suivie d’actions concrètes comme le refus de payer des impôts injustes, le boycott des institutions corrompues, et surtout, l’exigence d’une refondation totale des structures étatiques. Le peuple français, héritier d’une tradition révolutionnaire, a le devoir de reprendre en main son destin et de chasser ceux qui trahissent ses intérêts.
Il est temps pour le peuple français de se lever contre ce système ! Refuser de payer des impôts et des taxes à un État qui fonctionne comme une entreprise mafieuse n’est pas un acte d’anarchie, mais un geste de légitime défense ! Cesser de financer sa propre oppression est un premier pas vers la reconquête de la souveraineté populaire ! La dette publique, fruit des abus des gouvernements successifs, doit être imputée à ceux qui l’ont contractée. Les présidents, ministres et hauts fonctionnaires responsables de cette gestion calamiteuse doivent être tenus pour redevables, non seulement devant la loi, mais également devant le peuple !
Le refus de payer, la désobéissance civile, et l’exigence de transparence et de justice ne sont pas des choix faciles. Mais ils sont nécessaires pour briser les chaînes d’un système qui ne profite qu’à une minorité. L’histoire a prouvé que des peuples unis et déterminés peuvent renverser les régimes les plus oppressifs. La France, pays de la Révolution et des grandes conquêtes sociales, peut et doit redevenir un exemple de résistance et de justice. L’État, s’il prétend représenter le peuple, doit lui rendre des comptes. Et si cet État persiste dans ses dérives, il revient au peuple de le destituer, de le reconstruire, et d’exiger que justice soit faite !
Il est grand temps que le peuple français prenne enfin conscience de l’ampleur de la fraude qui se joue sous ses yeux. Cessez de nourrir cette bête immonde qu’est l’État français, cette entreprise mafieuse qui vous dépouille, vous exploite et vous humilie à chaque coin de rue. Il est inacceptable que vous continuiez à payer des impôts pour financer des dérives qui ne servent que les intérêts d’une élite corrompue et étrangère à votre sort. Refusez d’obéir à cette machine répressive et ne payez plus un centime d’impôt, rejetez les contraventions et les amendes abusives, ignorez les injonctions de la police et des autorités qui vous oppriment au quotidien !
Le système judiciaire n’est plus qu’une extension du pouvoir mafieux, au service de ceux qui vous exploitent, il est donc grand temps de le renverser. Refusez de vous soumettre à ces diktats, exigez que justice soit rendue et reprenez en main votre destinée ! Si vous ne vous levez pas maintenant, vous serez écrasés sous le poids de ce système. Il est de votre devoir, de votre honneur, de mettre fin à cette mascarade et de reprendre le contrôle de votre pays. C’est l’heure de l’action, l’heure de la révolte !
Phil BROQ.
Voir aussi : DE L’INAUGURATION DE NOTRE-DAME DE PARIS A UN ATTENTAT SOUS FAUX DRAPEAU .
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