Une inauguration sous le site de la profanation


Notre Dame, un des symboles majeurs de notre appartenance à la chrétienté, a été souillée par les « marchands du Temple ». Le fossoyeur de notre pays a réussi malgré le tiède refus du clergé, à être le centre de l’attention durant son laïus à l’INTERIEUR de l’édifice à cause de la pluie. Pas de chants liturgiques, ni de musiques sacrées, l’ orgue hurlant un vacarme infernal sans harmonie, un duo d’instruments à cordes avec un morceau dissonant et tout aussi dis-harmonieux. Je passe sur la déco qui n’a rien de catholique, le baptistère noir m’a choquée, il m’a fait penser à un bidet démesuré. Pour clore cet outrage à la Vierge Marie, l’hymne national la « Marseillaise » avec ses paroles de vengeances et de sang. Appelle -t-on « aux armes » dans un lieux de Paix et de recueillement ? Combien de catholiques ont été humiliés par cette mascarade sacrilège ? Il y en a beaucoup, beaucoup…. Et… combien vont nous coûter ces « festivités » somptuaires, en plus dans une France ruinée ?

Source : Le Blog de l’éveillé

Ce 8 décembre 2024 marquait la réouverture au public de la Cathédrale Notre-Dame de Paris après cinq années de travaux et fût célébrée par tous les croyants chrétiens (dont de nombreux incultes) comme un événement historique. Au-delà de l’apparence d’une restauration triomphante, cette cérémonie soulève pourtant des interrogations majeures.

Comme tous les éléments ornementaux de cette cathédrale transformée en supermarché, le choix de cette date, qui coïncide avec la fête de l’Immaculée Conception, n’est évidemment pas anodin. Cette date de solennité catholique célébrant normalement la pureté originelle de la Vierge Marie et symbolisant une élévation spirituelle. Pourtant, cette inauguration paraît être bien plus qu’un hommage à ce haut lieu de la foi catholique et du patrimoine national, avec un mise en scène macabre et vouée aux démons qui peuplent dorénavant notre pays, s’apparentant plus à viol de la Sainte Vierge qu’à sa mise en valeur. 

Cependant, ce moment dérangeant incarne parfaitement une nouvelle tentative de pervertir les esprits des français et sa signification profonde en la détournant vers cet agenda globaliste et matérialiste soutenu par les loges maçonniques, manipulées par la synagogue de Satan, et dont Macron est le trublion zélé.

Certes, le calendrier liturgique chrétien confère une importance particulière au 8 décembre, mais dans ce contexte, ce jour sacré est utilisé pour servir des desseins opposés à ses valeurs spirituelles séculaires. L’Immaculée Conception, qui célèbre la Lumière divine et l’élévation vers le Ciel, se retrouve totalement pervertie par une logique d’inversion, si chère aux psychopathes qui nous gouvernent actuellement. Ainsi, au lieu d’exalter une quête spirituelle personnelle, l’inauguration de Notre-Dame de Paris s’inscrit dans un cadre grandiloquent, dominé par des rituels collectifs ténébreux et imposés par cette caste qui se prend pour une élite technocratique et globaliste.

Dans cette logique, les valeurs profondes du christianisme – la prière, le mystère et la transcendance – sont irrémédiablement remplacées par une vision matérialiste où l’Homme est façonné et manipulé à outrance pour servir des objectifs de domination marxo-communiste promus par le WEF. 

La restauration de Notre-Dame apparaît donc pour ce qu’elle est, à savoir comme une étape stratégique dans une entreprise plus vaste de remodelage et d’inversion des symboles religieux chrétiens pour les soumettre à une idéologie mortifère, déconnectée de toute spiritualité authentique, dont tous les dictateurs (tous socialistes) ont usé.

Ce n’est pas seulement un lieu de culte qu’on défigure, c’est toute une vision du monde qui est pervertie. Les principes chrétiens, fondés sur l’humilité, la charité et la transcendance, sont remplacés par un culte de la vanité technocratique, du matérialisme déshumanisant, où l’Homme est une simple unité de consommation soumise à des intérêts idéologiques totalitaires.

Historiquement, Notre-Dame de Paris n’est pas seulement un chef-d’œuvre architectural. C’est un point nodal de l’identité française, un lieu où se rejoignent spiritualité, histoire et nation. Symbolisant également une Lumière divine qui guide l’humanité vers l’élévation spirituelle. Pourtant, cette inauguration semble marquer une inversion symbolique et une volonté farouche de profanation. 

Depuis le Moyen Âge, elle est un témoignage vivant de l’alliance entre le sacré et le pouvoir temporel, sous l’impulsion de figures comme Maurice de Sully et Louis VII, ou encore Louis XIII. Pourtant, la restauration entreprise après l’incendie de 2019 semble avoir opéré une transformation qui va bien au-delà d’une simple remise en état en désacralisant ce lieu emblématique.

Il est clair que le nouvel aménagement intérieur, conçu par le designer Guillaume Bardet, incarne cette rupture totale et cette salissure abjecte à l’encontre de cet emblème national. Le mobilier liturgique (Maçonnique) moderniste s’éloigne tellement des canons traditionnels pour adopter un style neutre, voire profane et déconnecté de l’histoire spirituelle du lieu, qu’il s’agit bien d’un second attentat contre cette Cathédrale. Les choix inesthétiques et criards de pseudo progressisme renforcent, dès l’entrée dans ce lieu, l’impression que Notre-Dame est désormais pensée comme un musée ou un centre culturel, et non comme une maison de prière dédiée à la Vierge Marie.

Même l’éclairage de la Cathédrale, tout juste digne d’une discothèque ou d’un casino de Las Vegas, participe à cette transformation sinon à cette défiguration. Là où la pénombre et la lumière tamisée des bougies favorisaient autrefois le recueillement et la méditation, l’intensité des nouveaux dispositifs lumineux ne laisse plus de place à l’obscurité et au mystère mais offrent une vision « disneylandesque » du lieu. Ce sur-éclairage tout comme la clé de voute étoilée, évoquant stricto sensu les loges maçonniques, illustre cette volonté de saccager, de rationaliser et de dépouiller l’espace de toute dimension transcendante.

Chaque détail de cette rénovation semble enfoncer un clou dans le cercueil de ce qui fût un sanctuaire de lumière spirituelle. L’éclairage, loin d’évoquer la Lumière divine, projette une ombre froide, uniforme, marquée par l’indifférence, comme si l’on voulait effacer les traces mêmes du sacré. La clé de voûte étoilée, quant à elle, ne fait plus référence à l’âme chrétienne, mais rappelle des symboles ésotériques et maçonniques, substituant le ciel étoilé à la Providence divine.

Ainsi la réouverture de Notre-Dame s’inscrit également dans un contexte idéologique bien plus large, marqué par une tentative de marginaliser les racines chrétiennes de l’Europe au profit d’une idéologie mondialiste et technocratique qui est le socle indubitable de la franc-maçonnerie. Toujours sous prétexte de modernisme et de progressisme dont personne ne veut, les élites globalistes effacent systématiquement les symboles d’une foi millénaire pour promouvoir une pseudo-religion universelle dénuée de transcendance divine. Celle qu’ils nomment « laïcité » mais dont ils oublient là aussi jusqu’à ces fondements. Un peu comme lorsque Tsahal ose parler de la Torah, sans jamais suivre les Dix Commandements !

Or, ce processus ne se limite malheureusement pas à Notre-Dame. Il s’inscrit dans une tendance générale à transformer tous les lieux de culte chrétiens qui ont fait la grandeur et la renommée de notre pays en espaces vidés de leurs substances mystiques, où la spiritualité est écrasée par une célébration de mauvais goût, vulgaire et décadente de ce fameux progrès qui mène à l’abîme de la civilisation.

Les travaux de restauration et d’aménagement de Notre-Dame reflètent encore cette dynamique où le beau, le bon et le vrai sont annihilés par la laideur, la grandiloquence et l’inversion des valeurs où le mensonge règne en maître. Ainsi, la Cathédrale, autrefois un haut lieu de prière et de dévotion, est devenu un outil vulgarisé de ce « soft power » au service d’un agenda mondialiste dictatorial.

Cette désacralisation est d’autant plus pernicieuse qu’elle se présente sous des apparences trompeusement festives pour les chrétiens qui croyaient retrouver leur lieu de culte restauré à l’identique. Et en faisant coïncider la réouverture avec la fête de l’Immaculée Conception, les promoteurs Lucifériens de ce projet qui prétendaient honorer la foi catholique et l’héritage national, ont réussi à massacrer une seconde fois la pauvre Notre-Dame qui protégeait la France depuis des siècles. En réalité, ils ont parfaitement inversé toutes ces valeurs en violant la Sainte Vierge, après avoir tenté de tuer par le feu une fois encore son Fils, qu’ils haïssent au plus profond de leur être.

Les catholiques eux-mêmes, devenus si incultes et moutonniers, risquent de ne pas saisir toute l’ampleur de cette manipulation méphitique. Habitués à des décennies de sécularisation, ils vont simplement se réjouir de la réouverture de la Cathédrale sans voir, ni même comprendre qu’elle marque une étape décisive dans la profanation progressive de leur patrimoine spirituel.

L’inauguration politique de Notre-Dame, le 7 décembre 2024, a été orchestrée avec une mise en scène savamment étudiée, et s’inscrit dans une logique affichée de défiguration volontaire du christianisme, portée par Macron et ses alliés de la loge de l’Ordre de l’Étoile Orientale. Signant leurs forfaits avec l’affichage des couleurs ostentatoires de cette loge, présentes sur les chasubles des officiants dessinées par Jean-Charles de Castelbajac. Et ayant marqué leur passage avec une vulgarité cynique, comparable à celle d’un chien marquant son territoire en pissant sur les piliers rénovés.

Les éléments anti-chrétiens n’étaient pas en filigrane mais bien exposés à la vue de tous. Tels que les Archanges peints de noir, le tableau kabbaliste autour de la Couronne d’épines enfermée dans des formes géométriques, les Croix protestantes dépourvues du Christ, le Baptistère aussi saccagé que l’Autel devenu celui de sacrifice de la Chrétienté… Tout cela constituait une insulte, comme un claque en pleine figure à la tradition catholique. À cela s’ajoutait une musique d’orgue d’une tonalité infernale, jouée par un organiste qui semblait plus invoquer les ténèbres que célébrer la Lumière divine. 

Enfin, la présence de figures politiques telles que le truand Sarkozy et son épouse échangeable, François Hollande et sa Gayet, (tous divorcés) ou encore une Sandrine Rousseau – ouvertement anticléricale – et tout un parterre de raclures haïssant Jésus-Christ en particulier et Dieu en général. 

Sans oublier d’autres ignobles, tels qu’un Zelensky, ayant fermé les églises dans son pays mais venant quémander, non pas sur le parvis comme les clochards de son espèce le font, mais directement à l’intérieur, ont donné à cette inauguration un caractère de parodie macabre où aucune marque de vulgarité n’a été omise. Un événement tragique, mais accepté sinon plébiscité par une caste politique et culturelle en quête de « désencombrement » spirituel et identitaire.

Macron et ses alliés, tout comme leurs prédécesseurs, ont non seulement permis cette profanation, mais l’ont activement orchestrée, dans un alignement parfait avec les objectifs de destruction des racines chrétiennes de notre pays. Leur présence, celle de ces individus qui ont depuis longtemps renié leur héritage spirituel, est une insulte ouverte aux générations qui ont sacrifié leur sang pour défendre cette foi.

Les discours officiels, les choix esthétiques et l’organisation de l’inauguration témoignent d’une volonté de réinterpréter Notre-Dame comme un espace dépouillé de sa transcendance Divine. Loin d’être un hommage à l’héritage chrétien de la France, cet événement s’est transformé en une véritable profanation filmée en mondovision. A l’instar de la cérémonie d’ouverture des J.O.2024 à Paris, cette inauguration montre à quel point la capitale française, envahie par un matérialisme sans âme, est devenue un symbole de la déchéance spirituelle et de la domination démoniaque des mondialistes.

Ce « progressisme » n’est rien d’autre qu’une tentative systématique de diluer l’identité spirituelle et historique de notre nation. De la destruction des églises à la révision de l’histoire, tout est fait pour effacer les racines chrétiennes de l’Europe. Ce processus ne se limite pas à Notre-Dame, mais s’étend à toute une civilisation qu’ils cherchent à déconstruire pour instaurer un monde sans transcendance, sans repères, où l’Homme n’est plus qu’un pion dans un jeu global.

Notre-Dame de Paris avait toujours été plus qu’un simple édifice religieux. Elle est un point zéro, un centre de gravité et de ralliement symbolique pour la nation française. Depuis le Moyen Âge, elle incarne l’Opus Francigenum, cet « art de France » qui mêle foi, royauté et peuple. Sa restauration aurait pu être l’occasion de renouer avec cette continuité historique. Au lieu de cela, elle semble participer à un programme de fragmentation culturelle et de déracinement spirituel où le petit poudré, heureux de refaire la vedette (mais éclipsée par Trump !), s’est encore une fois permis l’innommable en faisant ces 2 discours à l’intérieur malgré des injonctions légales. Se prenant cette fois pour un monarque et se croyant toujours chef d’état !

Le choix vestimentaire des officiants, celui du mobilier, la mise en lumière, et la tonalité de cette réouverture témoignent d’une volonté d’imposer une nouvelle interprétation totalement dévoyée du christianisme et de ce monument désormais moins attirant qu’une cafétéria d’autoroute. Ce n’est plus la Cathédrale de la Vierge Marie, Fille aînée de l’Église. C’est un espace vide, sans âme ni énergie céleste et soumis aux exigences d’une modernité déshumanisante, sinon aliénante. Dans ce contexte, on peut parler d’un acte luciférien au sens propre, où la « Lumière » devient un outil de domination intellectuelle et spirituelle, plutôt qu’un chemin vers Dieu. Ce n’est plus la Lumière divine de l’Immaculée Conception, mais une lumière profane qui enferme l’Homme dans une logique de contrôle technocratique.

Depuis, non seulement Notre-Dame se transforme en un symbole d’oppression, mais nous franchissons un seuil dans la guerre spirituelle qui se joue contre notre civilisation. Ce n’est plus une question de restauration d’un bâtiment, mais celle de la survie de notre âme collective. Si nous laissons ces profanateurs poursuivre leur entreprise, nous abandonnons tout ce qui fait encore l’essence de la France avec la foi, la culture et la dignité humaine. Ce jour marquera donc à jamais la date officielle du saccage de Notre-Dame de Paris et pourrait bien marquer un tournant abyssal dans l’histoire de ce monument qui avait résisté aux plus grandes guerres et invasions jusque-là. 

L’incendie de Notre-Dame en 2019 et sa réouverture en 2024 ne sont pas des événements isolés. Ils s’inscrivent dans une guerre spirituelle globale, où les fondements religieux et culturels de nos sociétés sont méthodiquement érodés. La rapidité avec laquelle certains ont évacué l’hypothèse criminelle – alors même que l’ampleur et la nature du feu évoquaient l’usage possible d’accélérateurs – interpelle. Face à ce second attentat organisé par le gouvernement Macron, le premier étant désormais caché sous le sceau du « secret défense », il est essentiel de s’interroger sur ce que peut représenter véritablement Notre-Dame aujourd’hui. 

La réouverture de Notre-Dame n’a pas été un hommage, mais un véritable acte de domination. Par ses gestes maçonniques, Macron a envoyé un message clair : la cathédrale appartient désormais à un nouveau symbole, déconnecté de sa dimension chrétienne. Cet acte n’a pas seulement profané le lieu sacré, il a aussi mis en lumière la soumission de l’Église de France aux pouvoirs politiques. En autorisant ce discours, l’archevêché a renoncé à sa mission spirituelle, cédant à un agenda idéologique qui cherche à effacer l’essence chrétienne du monument. Notre-Dame n’est plus un sanctuaire pour Dieu, mais un temple au service des marchands chassés par le Christ.

Est-elle encore un lieu de prière et de recueillement ? Ou est-elle devenue un outil au service d’un agenda idéologique qui cherche à remodeler les valeurs et les croyances au cœur de nos sociétés ? Cet événement invite à une réflexion plus large qui est de savoir comment préserver l’âme d’une nation dans un contexte où ses symboles sont détournés et dénaturés ? Le mystère et le sacré, qui faisaient de Notre-Dame un sanctuaire vivant, ont disparu, remplacés par un vide aussi aseptisé que l’esprit maçonnique et aussi clinquant que leur hybris leur permet. 

Loin d’être une célébration de la résilience ou de l’héritage, cette réouverture scelle la transformation de la Cathédrale en un symbole d’une modernité décadente et mondialisée qui nie ses racines spirituelles. À l’image de Notre-Dame, la France est confrontée à un choix décisif : renouer avec ses racines ou s’abandonner à une modernité qui la prive de son essence.

Si cette réouverture de Notre-Dame n’est pas une prise de conscience collective, alors il sera trop tard. Car lorsque l’on voit ce qui se passe aujourd’hui, il est clair que la prochaine étape sera de réduire les derniers bastions de la foi chrétienne à des ruines. À ceux qui veulent encore croire en une France chrétienne, il est temps de se lever et de défendre notre héritage, avant que tout ne disparaisse sous l’ombre de la domination des ténèbres. 

La France, Fille aînée de l’Église, semble avoir abandonné son héritage pour embrasser une vision post-nationale et post-spirituelle. Ainsi, une belle page de France se tourne, mais la prochaine ne sera pas forcément celle que l’on croit…

Phil BROQ.

Tous les articles, la tribune libre et commentaires sont sous la responsabilité de leurs auteurs. Les Moutons Enragés ne sauraient être tenus responsables de leur contenu ou orientation.



Source link

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *