Une petite précision s’impose !


Contrairement à ce que certains d’entre vous ont pensé à tort en lisant mon édito d’hier « et si Macron s’inspirait de Trump pour transformer et libérer le pays » jamais, je n’ai pensé, ne serait-ce qu’un très bref instant, pas même imaginé qu’Emmanuel Macron pourrait avoir un quelconque respect pour la France, ni une quelconque estime pour les Français. Je me permets de rappeler l’édito écrit pour une version papier de France-Soir sortie le 1ᵉʳ avril 2022 : « l’homme qui n’aimait pas la France ».

Notre regretté dessinateur ARA avait saisi l’occasion pour illustrer l’évènement. 

Ara Macron

Pardi ! On a bien pu constater en quoi consiste le « Parce que c’est notre projet ! » pour lequel il a été placé à l’Élysée. La destruction de la France. Il l’a d’ailleurs dit lui-même, à commencer par l’Hôpital :

Et, en cela, j’indique ceci à l’attention de tous ceux qui affirment que les sept années de gouvernance du pays par Emmanuel Macron ont accouché d’un désastre. C’est faux. C’est totalement faux !

En effet, du point de vue de ses commanditaires, la gouvernance du pays par Emmanuel Macron est un succès total. Fabuleux. Historique !

Emmanuel Macron a été mis en place par les patrons du CAC40 (sur ordre des institutions occidentales supranationales, institutions qui toutes sans exception sont au service des intérêts américains) pour détruire la France et la dépecer.Le temps de l’édito « la facture de la fracture s» j’avais évoqué en détail les questions essentielles, je vous les remets en note (1) afin que vous puissiez en discuter en famille ou à la machine à café. Vous êtes nombreux à vouloir les comptes de ce démantèlement en règle,  en quelque sorte le catalogue de la Redoute, version Emmanuel Macron
 

Cela consiste à détruire un à un tous les domaines étatiques et privés autour desquels la Nation articule sa vie et assure sa cohésion : brader l’industrie française aux trusts américains, tuer l’agriculture française (2), réduire à néant les services publics, détruire le système de retraites, couler la Sécurité sociale, et finaliser le grand remplacement initié sous François Hollande, par un envahissement massif de la France par des hordes subsahariennes financé par l’argent des Français. Car l’insécurité que cet envahissement génère, associée à celle générée par le pourrissement volontaire des banlieues et les mains libres laissées pareillement exprès à la criminalité organisée (le trafic de stupéfiants notamment), accroît le risque de guerre civile, synonyme du chaos qui facilitera l’instauration « En Marche » (j’y reviens un peu plus loin) d’une dictature inextricable. Une coercition et un contrôle total et permanent de la population, grâce aux nouvelles technologies : intelligence artificielle, armes à impulsions, etc.

« Je vis ça comme une mission » avait d’ailleurs déclaré Emmanuel Macron à ce sujet. Rappelez-vous, c’était fin 2016, au tout début de la pré-campagne présidentielle de 2017. Et donc, hélas pour la France et le peuple français, force est de constater qu’Emmanuel Macron peut dire ceci, aujourd’hui, toujours à ce sujet : « Mission accomplie. »

Diable !  Celui que certains n’hésitent pas à qualifier de « psychopathe » a été placé à l’Élysée pour démanteler l’économie française (PME et artisanat, afin qu’il ne reste plus sur le marché que les grandes entreprises du CAC40), couler le pays financièrement, et rendre ainsi ses habitants asservis à la dette publique qu’ils vont être contraints à rembourser sur l’entièreté de leur patrimoine. Et ceci sans pouvoir s’y opposer. Le système bancaire dans lequel nous sommes tous enfermés, a été centralisé et automatisé à cette fin despotique et hégémonique. Si ! Pour imposer au peuple de France une dictature du style « crédit social à la chinoise. » Cela, donc, sur le fondement d’une dette publique qu’Emmanuel Macron a fait exploser, artificiellement, au profit de ses commanditaires (les patrons du CAC40). Une dette qui, en réalité, n’a nulle consistance véritable, ni une quelconque légitimité à justifier le paiement des intérêts facturés au contribuable français à ce titre.

En effet, l’argent que Macron et Cie nous disent devoir « emprunter » sur les marchés boursiers, pour financer le déficit des comptes publics, cet argent n’a pas de matérialité. Il ne résulte pas de la valeur ajoutée qu’une personne a générée par son activité créatrice de valeur ajoutée : extraction de matières premières, conditionnement et transport de celles-ci sur leur lieu de vente, transformation ou utilisation, fabrication, conditionnement, transport et vente de produits et services en tous genres, participation à la vie économique et sociale de la communauté humaine à l’intérieur de laquelle toutes ces activités créatrices de valeur ajoutée officient, et assurer la sécurité et la santé des personnes qui y participent et forment celles qui sont appelées à le faire. L’argent que les marchés boursiers nous « prêtent », c’est du vent, du flan. C’est uniquement une ligne de crédit qu’ils ouvrent  au pays qui emprunte auprès d’eux.

Toutefois, à l’inverse, nous tous qui devons travailler pour rembourser ces emprunts et les intérêts de ces emprunts, c’est avec du « vrai » argent que nous le faisons. À savoir avec la valeur ajoutée que nous générons avec notre travail. Nos salaires et bénéfices bruts sur lesquels l’état nous prend au total (tous impôts, taxes et amendes confondus) 78% de ce que nous gagnons.

Grâce au système dit « des vases communicants » qu’Emmanuel Macron a mis en place au profit de ses commanditaires, ces ultra-riches sont devenus sept fois plus riches qu’ils ne l’étaient déjà.

Si ! En sept ans de gouvernance du pays par Emmanuel Macron, la part du P.I.B. de la France, détenue par les 500 Français les plus riches, est passée de 7 % du P.I.B. à 51 % du P.I.B.

Oui. C’est par les lois qu’il a fait adopter en ce sens, que le « Robin des Riches » qu’est Emmanuel Macron a procédé. Par application de ces lois rigoureusement contraires aux intérêts des Français,  il a pris aux pauvres (« Les gens qui ne sont rien ») pour donner aux riches. Les ultra-riches qu’il sert avec zèle et à qui il doit tout, raison pour laquelle il les appelle : « Les gens qui sont tout. ».

Enfin, la dimension « spirituelle » de la mission dont Emmanuel Macron a été chargé, a consisté, elle (dans le prolongement du mariage pour tous et dans la continuité de la théorie du genre initiée sous François Hollande), à substituer, comme norme, à la société française traditionnelle (naguère 100 % articulée autour de valeurs religieuses et morales ancestrales, elles-mêmes articulées autour de la famille nucléaire), la dégénérescence en tous points du wokisme. Un wokisme roi et adjoint à ce qui s’apparente au culte satanique. Ce dernier semble avoir été substitué au culte de Jésus par Emmanuel Macron et ses disciples. Une substitution affichée haut et fort lors des cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux olympiques, et elle a été consacrée pleinement hier après-midi.

Si ! Honte à tous ceux qui ont concouru aux transformations qui matérialisent cette mystification ! En ce samedi 7 décembre de l’An de « disgrâce » 2024, ça y est, dorénavant c’est officiel : c’est un culte bien différent qui a pris possession de Notre-Dame.

Et l’incendie de Notre-Dame était d’ailleurs le symbole de tout cela. La destruction par le feu d’absolument tout ce qui faisait la France de naguère, sa grandeur, son éclat et sa beauté.

Nous pouvons dès lors le formuler en ces termes, tout en restant laïc, tout a été offert sur un plateau à Satan, par cet homme qui aurait apparemment vendu son âme au diable : Emmanuel Macron.

Donc effectivement, il en est ainsi. Pardonnez-moi de devoir retourner ainsi le couteau dans la plaie, car l’exposé journalistique, honnête et probe de la réalité l’exige, du point de vue des commanditaires d’Emmanuel Macron, sa gouvernance de la France est un succès plein et entier. Total.

Malheureusement pour la France et pour les Français de base, les « gueux » que nous sommes pour Emmanuel Macron et toute sa clique, puisque, en l’état actuel des forces en présence, c’est entre les mains des commanditaires de ce petit escroc que se situe véritablement le pouvoir, leur point de vue s’impose à nous.

À nous, alors, de faire en sorte d’inverser ce rapport de force.

Si ce rapport de force est en notre défaveur, c’est parce qu’il intervient à l’intérieur d’un cadre institutionnel, le système politique imposé au peuple de France par les grands bourgeois (c’était il y a 235 ans), justement pour que ce rapport de force soit et demeure en leur faveur perpétuellement : la République.

Oui, c’est par l’entremise félonne de ce système politique tronqué dénommé « la République », qu’un petit groupe de personnes illégitimes (moins d’un pour cent de la population française) accapare tous les pouvoirs et impose sa volonté au 99 % restants en exploitant la rente du système. Cela non pas dans une communion sociale où les dirigeants œuvrent pour le bien commun, mais à l’intérieur d’une dictature déguisée où ce sont les intérêts privés de ce petit groupe de personnes illégitimes qui priment, au détriment de l’intérêt public, et au lourd, au très lourd préjudice physique (sécurité, santé, tranquillité et paix sociale) et en pécuniaire du peuple de France.

Je vous en reparlerai plus en détail dans mon édito de demain.

 

(1) Donc, au nom du peuple français, justement, dont je fais partie, je vous présente la facture (2) :

  • Accroissement toujours en cours de la dette publique : 1.150 milliards. Sans qu’aucune diminution ne soit visible. Il y a même l’outrecuidance d’avoir l’intention d’augmenter le budget de l’Élysée, de l’Assemblée nationale et du Sénat alors que l’on demande au peuple de se rationner.
  • Un déficit à la dérive avec des erreurs de trajectoire plus que prévisibles tel que l’explique l’économiste Marc Touati avec l’agence Fitch qui prévoit un terrible ratio dette/PIB de 118,5 % en 2028.

  • Des emplois perdus avec la destruction de l’industrie, des PME et de l’artisanat : estimation de 500-700 milliards sur 7 ans. Ce n’est pas nouveau, un rapport de l’Insee en parlait déjà en 2010, mais cela s’est accéléré avec « les experts qui prévoient une marée haute en 2025 » : 250 000 emplois en péril, +25 % de faillites.
  • Covid (achat des vaccins, vaccination, effets secondaires, « emmerder les non-vaccinés », chômage partiel et autres dépenses « quoiqu’il en coûte » au contribuable) : estimés à 600 milliards, mais dont seulement 180 milliards peuvent être tracés. Où sont passés les 420 milliards ?
  • Destruction des services publics, de la Sécurité sociale et des transports : 150-200 milliards
  • Destruction de l’indépendance énergétique de la France par vos décisions de fermer dogmatiquement Fessenheim pour après proposer le nouveau nucléaire : 130-180 milliards
  • Déficit du commerce extérieur (non-compétitivité de la France, contrats résiliés et marchés perdus à l’étranger, du fait du comportement hautain et condescendant d’Emmanuel 1ᵉʳ, « Méprisant de la République » et insultant envers ses anciennes colonies) : de 75 à 150 milliards.
  • Inflation artificielle : 100 milliards
  • Soutien à l’Ukraine : 38 milliards recalculés par Hervé Hannoun mais probablement plus si l’on considère les aides indirectes avec un accord franco-ukrainien qui violent probablement la constitution. Cela a-t-il été effectué sciemment ?
  • Dépenses de fonctionnement exorbitantes de l’Élysée et des ministères : 80 milliards
  • Organisation et tenue des élections législatives anticipées de 2024 : 250 millions.
  • et organisation, sécurité, nourriture et alcool (et autres ?) des dîners du roi Emmanuel 1ᵉʳ, ses invités et sa cour, aux frais de la princesse, à Versailles et ailleurs : 30 millions.

Cela nous fait un total de 1.150.000.000.000 euros. 

(2) un démantèlement en règle de notre agriculture désormais acté, avec la signature effective depuis hier, par Ursula von der Leyen, pour le compte de l’Union européenne, de l’accord sur le « Mercosur » ; cet accord de libre échange (produits alimentaires d’un côté, et produits manufacturés de l’autre) entre l’Amérique du Sud et l’Union européenne, catastrophique pour nos exploitants agricoles, auquel Emmanuel Macron et Michel Barnier ont faussement indiqué être opposés et dit s’y opposer.  Ils sont à l’initiative de cet accord, et ils n’ont aucunement agi pour empêcher à sa validation.





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